COUP DE GUEULE

   NON NON MOI PAS ME SOUVENIR.... ALZHEIMER

Christian Pépé69

Pour mon Pépé69



[size=33]Comment piloter le futur régime des retraites ?[/size]

[size=33]Comment revaloriser les points acquis dans le futur système universel ? Comment indexer les pensions ? Autant de questions cruciales pour la réforme à venir.[/size]

 Par Marc Vignaud
Publié le 28/02/2019 à 09:15 | Le Point.fr



Jean-Paul Delevoye est le haut commissaire en charge de la réforme des retraites. Il consulte les partenaires sociaux depuis des mois sur le futur régime universell par points.  



Comment piloter le futur système de retraite universel par points ? Le haut commissaire en charge de la grande réforme voulue par Emmanuel Macron, Jean-Paul Delevoye, a commencé à discuter de ce sujet crucial avec les organisations patronales et syndicales. De multiples sujets déclicats sont sur la table, qu'il va falloir trancher.
La question se pose d'abord de savoir comment revaloriser les droits acquis sous forme de points au cours de la carrière. Depuis la fin des années 80, ces droits accumulés sont indexés sur l'inflation et non pas sur la progression des salaires. Une façon discrète, pour les gouvernements successifs, de faire des économies sur les dépenses de retraites : ainsi, entre 2002 et 2008, c'est-à-dire avant l'éclatement de la crise financière, les salaires ont en effet progressé de 4 à 5 % par an alors que l'inflation n'était que d'environ 2 % en moyenne par an, selon les équipes du haut commissaire. Si les écarts n'ont pas toujours été aussi élevés, la masse des salaires progresse, la plupart du temps, plus vite que l'inflation.




Si ces dernières décennies, la maîtrise des dépenses de retraites est venue des mesures destinées à retarder l'âge légal de départ au cours des réformes successives, pour un quart environ, elle est aussi due – de façon beaucoup moins perceptible – à une indexation des droits acquis sur l'inflation et non sur les salaires, pour 25 à 30 %, souligne l'entourage de Jean-Paul Delevoye. La maîtrise du déficit des régimes de retraite est aussi passée, plus modestement, par des hausses de cotisations.
Mais continuer à indexer les droits acquis sur l'inflation dans un régime par points, ou chaque euro cotisé donne lieu à un point, serait illogique. Cela voudrait dire que les points accumulés en début de carrière ne valent pas autant que ceux obtenus en fin de carrière puisqu'ils seront revalorisés moins vite que l'augmentation du salaire moyen par tête sur la période. Cela défavoriserait les carrières courtes et hachées et profiterait au contraire aux carrières ascendantes et sans heurts, puisque, dans un régime par point, chaque euro cotisé est pris en compte pour le calcul de la retraite, quel que soit le moment où il a été acquis. Indexer les points sur l'inflation supposerait de se priver d'un des avantages majeurs de ce type de régime qui est justement d'adapter le système de retraite à un monde dans lequel les personnes connaîtront des ruptures de carrières de plus en plus fréquentes.

Indexation des pensions sur l'inflation ou les salaires ?

Une seconde interrogation porte cette fois sur la revalorisation des retraites, une fois les points convertis en pension. Le haut commissaire semble là aussi pencher pour une indexation sur les salaires et non plus sur l'inflation, comme c'est le cas aujourd'hui. Mais comme cela serait beaucoup trop coûteux pour le régime de retraite par rapport au système actuel, il faudrait alors appliquer un coefficient minorant ( % d'évolution des salaires chaque année - x). Alternativement, si l'évolution des retraites est indexée sur l'évolution stricte des salaires, le « coefficient de liquidation » utilisé pour convertir les points acquis pendant la carrière en euros à la retraite devra être réduit.
L'intérêt de revaloriser les pensions en partie sur les salaires et non plus sur l'inflation est de permettre d'adapter les paramètres du système à l'évolution de la croissance. Ce qui permet d'intéresser les retraités aux performances économiques du pays. Quand tout ira bien, les salaires augmenteront vite et donc les pensions également. Mais, d'un autre côté, quand la croissance ralentira, et avec elle le salaire moyen, la progression des pensions ralentira également, ce qui évite de trop déséquilibrer le système financièrement. Les dépenses de retraites seraient ainsi davantage modulées en fonction de la conjoncture que lorsqu'elles sont indexées sur l'inflation, notamment les mauvaises années (les salaires augmentent parfois moins vite que l'inflation).
Indexer les points et les pensions de retraites sur les salaires permettrait donc de rendre le pilotage du système un peu plus automatique, l'équilibre financier du régime de retraite étant toujours très dépendant de la croissance économique et donc de la masse des salaires versés.

Tenir compte de la démographie

À ces considérations s'ajoute la nécessité de prendre en compte les évolutions de la démographie, notamment l'allongement probable de l'espérance de vie. Pour maintenir le niveau de dépenses de retraites constant par rapport au PIB, à environ 14 %, objectif fixé à Jean-Paul Delevoye, il va bien falloir prendre en compte cet allongement. Cela devrait passer par une sous-indexation de la valeur des points au cours de la carrière en cas d'allongement de la vie à la retraite, sans aller jusqu'à faire baisser leur valeur, ce qui serait jugé inaceptable.
Une telle prise en compte de l'espérance de vie doit inciter les actifs à partir en retraite un peu plus tardivement pour maintenir leur niveau de vie à la retraite. Le Haut-Commissariat évoque également un « coefficient démographique », qui permettrait de tenir compte d'une dégradation du rapport entre cotisants et retraités lié à un possible choc démographique comme une dégradation du taux de natalité. En octobre, à l'issue d'une première phase de concertation, Jean-Paul Delevoye avait plaidé pour des « règles d'or » mais qui « n'impactent pas les générations futures ».

Que faire des réserves de certains régimes ?

Il faudra aussi prévoir des réserves financières pour affronter les périodes difficiles. Se pose donc la question de l'utilisation de celles accumulées par quelques-uns des 42 régimes différents existants. Les retraites complémentaires du privé ont par exemple mis de côté 70 milliards d'euros pour faire face à un coup dur, une manne que ses gestionnaires n'entendent pas apporter les yeux fermés au futur régime universel. Le Haut Commissariat suggère que ces réserves pourraient être mutualisées dans le nouveau régime, mais qu'une partie de cet argent pourrait être flêchée vers ceux qui auraient dû en bénéficier.




D'autres questions non moins délicates seront mises sur la table début mars, comme celle de l'intégration des régimes spéciaux dans le système universel ou sa gouvernance. Le haut commissaire espère pouvoir présenter son projet de système détaillé fin mai ou début juin pour une discussion au Parlement en septembre. À moins que le calendrier ne soit bouleversé par la conclusion du grand débat national censé répondre au mouvement des Gilets jaunes... La réforme serait alors encore prudemment retardée.

Hello,

Indexation au PIB: l'autre arnaque des propositions Delevoye

• 28 JUIL. 2019
  
  

De la consultation publique cousue de fils blanc du chargé de mission Delevoye, il était clair dès le début que devait émerger une règle d'or du financement des retraites. Non pas une règle d'or protégeant les retraités, comme aurait pu l'être la garantie de leur pouvoir d'achat, mais la garantie que ces retraites ne pèseraient pas excessivement sur les finances publiques (et par voie de conséquence sur les entreprises, dont la compétitivité ne devait pas être amputée par le financement des retraites).
C'est donc sans grande surprise que les propositions Delevoye comportent une "règle d'or' limitant à 14% du PIB le budget des retraites. La cristalline et mathématique pureté de la dénomination du mécanisme ne cache pas la corruption du procédé: amenés à être plus nombreux, les retraités ne peuvent espérer bénéficier à l'avenir d'un effort de la nation constant par individu; les besoins de la population ne sauraient dicter à l'Etat son budget.
Mais au-delà de ce mécanisme évident, il en est un autre plus pervers de la mesure. Ce n'est en effet pas aux revenus (salaires, et autres), que se trouverait indexé le budget des retraites, mais au PIB. Or, ce PIB est la variable qui réagit instantanément aux crises financières, comme ce fut le cas en 2008 (voir graphique), tandis que les salaires et revenus lissent les crises, et tendent à stagner plutôt qu'à chuter comme le fait le PIB.
La conséquence est claire: à la prochaine crise, lorsque par exemple la finance s'effondrera gavée de prêts à taux négatifs, la répercution sur le budget des retraites sera potentiellement immédiate. Alors qu'il a beaucoup été souligné que le modèle social français avait contribué à amortir les effets de la crise de 2008, les propositions Delevoye envisagent d'exposer directement les retraites aux mécanismes viciés de la finance mondiale.

Conclusion .... investissez dans la pierre, depuis la nuit des temps c'est elle qui est le plus sûr pour les retraités (il y a aussi l'Or, mais c'est un autre monde).

Jife a écrit:Conclusion .... investissez dans la pierre, depuis la nuit des temps c'est elle qui est le plus sûr pour les retraités (il y a aussi l'Or, mais c'est un autre monde).

Tu en fais quoi de la pierre, tu la loues ?? Tu tombes sur un mauvais payeur qui après moult péripétie te saccage tout et tu es marron.

Sur un de mes investissements le loueur à disparu cela a du aller au procès et donc attendre avant de récupérer mes billes.

Je comprends ce qui tu dis, mais il y a déjà quelques années que nous vivons dans un monde procédurier et tu fais peut-être donc partie de la génération qui fait facilement confiance ... Ce n'est plus possible aujourd'hui, il faut donc juste bien encadrer le contrat de bail et demander au minimum 1 caution personnel et solidaire en béton et ne pas hésiter à la mettre en cause à la première alerte.

  et merci Philippe et Philippe, de m'avoir permis de prendre une nouvelle crise d'urticaire en lisant et relisant les idées "remarquables" de notre haut commissaire.
 Je ne me lasse jamais de comprendre certains qui t'expliquent "très bien" comment vivre avec toujours moins (car le résumé de toute ces mesures c'est ça) alors qu'EUX font tout pour en avoir toujours un peu plus (le nombre impressionnant de titres et fonctions de ce monsieur - pas toutes déclarées - lui ont d'ailleurs coûté sa place).
 Il n'est pas à plaindre, il doit lui en rester assez pour ne pas se mettre à la place de tous ces "nantis" que l'on fait culpabiliser car ils ont une retraite (correcte et non volée) pour avoir travaillé plus de 30 ou 40 ans en cotisant.
 Bon j'arrête, j'ai une nouvelle poussée de boutons.
A+
Christian Pépé69

Pépé69 a écrit:  et merci Philippe et Philippe, de m'avoir permis de prendre une nouvelle crise d'urticaire en lisant et relisant les idées "remarquables" de notre haut commissaire.
 Je ne me lasse jamais de comprendre certains qui t'expliquent "très bien" comment vivre avec toujours moins (car le résumé de toute ces mesures c'est ça) alors qu'EUX font tout pour en avoir toujours un peu plus (le nombre impressionnant de titres et fonctions de ce monsieur - pas toutes déclarées - lui ont d'ailleurs coûté sa place).
 Il n'est pas à plaindre, il doit lui en rester assez pour ne pas se mettre à la place de tous ces "nantis" que l'on fait culpabiliser car ils ont une retraite (correcte et non volée) pour avoir travaillé plus de 30 ou 40 ans en cotisant.
 Bon j'arrête, j'ai une nouvelle poussée de boutons.
A+
Christian Pépé69

Désolé mon Pépé je t'envois de la pommade 

A regarder 



très intéressant

 Cela me révolte mais grave 

 merci pour le partage  


La savoie

Même si depuis 2010 il y a eu quelques petits accrocs, le raisonnement global est toujours valable  

 ,  Merci à Domi91 et Kuczynski pour leur éclairage 

Batteries conventionnelles pour véhicules, « fournies avec bidons d’acide sulfurique », restrictions à la vente directe le 1er février 2021.
Et si on vous disait qu’une réglementation européenne destinée à décourager les terroristes va avoir une incidence directe sur les batteries de nos motos ? Ce n’est hélas pas une blague… À compter du 1er février 2021, la législation encadrant la commercialisation de certaines substances chimiques susceptibles d’entrer dans la composition des explosifs va se durcir. Et parmi ces « précurseurs d’explosifs » on trouve l’acide sulfurique utilisé comme électrolyte de nos batteries. Voilà une nouvelle qui risque de compliquer la tâche des amateurs de motos et voitures anciennes pour lesquelles les batteries scellées au nouveau format n’existent pas encore. Même souci pour ceux qui achetaient leurs batteries sur Internet ou longtemps à l’avance, et les activaient en temps voulu. Il restera possible d’acheter une batterie conventionnelle seulement en magasin et sous réserve que le remplissage soit effectué en atelier par le vendeur. Comme d’habitude, cette bureaucratie Européenne suspicieuse et envahissante à souhait, au nom d’une sécurité absolue totalement illusoire, complique tout, réglemente tout, interdit tout !!!!

Infos, détails ICI : https://www.lofficielducycle.com/article/acide-batterie-bientot-interdit-a-vente

 Bin moi ............une bonne révolution .............et on met en place la guillotine ..................

La savoie

  Christian, une erreur a du se glisser sournoisement dans ton lien, ou c'est l'acide qui a bouffé les contacts, car il ne fonctionne pas (avec moi en tous cas).
Christian Pépé69

Modification du lien

 , 


Merci HD pour l'info car du coup j'ai une batterie de secours sans l'acide, du coup je vais en commander 

Tout doucement il se met en place et je pense qu'il va ouvrir de nouvelles problématiques, si demain on a pas pu se faire vacciner, si on réouvre enfin les restos avec des priorités, ou pour partir muser un peu plus loin que sa cour, ça risque de faire monter un ras le bol bien inutile ...

Officiel: les 24H motos en avril se feront à  huis clos....

et pendant ce temps, nos enculés de députés pensent bien à eux :

Le plafond annuel de la dotation matérielle des députés (DMD), qui permet aux élus de couvrir une partie de leurs frais de mandat (téléphonie, taxis/VTC, affranchissement), va passer de 18.950 euros à 21.700 euros. Une décision qui provoque des remous au sein même du collège des questeurs de l’Assemblée.

écoeurant

c'est normal

nous on a moins de salaire donc ils leur en faut plus

      15% d'augmentation, c'est un minimum. Ma retraite n'a pas bougé depuis plus de six ans, que dis-je, elle a même baissé avec l'augmentation de la a CSG. On vit une époque formidable.
Moi je ne dirai pas que ce sont des enc.... mais des gens (dés)intéressés qui n'ont qu'un seul souci, c'est notre bien être (qui t'expliqueront si tu as besoin de quelque chose, comment t'en passer).
Moralité : on n'est jamais mieux servi que par soi même.
Christian Pépé69

les pauvres...+ de 21000 € de frais divers et variés !!! Soit calculé sur 11 mois puisqu'ils prennent 5 semaines de vacances celà représente 1900 € par mois d'activité. A celà ajoutez 6000€/mensuel d'indemnité. Faudrait-il qu'avec de telles rentrées d'argent ils soient au boulot à l"assemblée Nationale où de nombreux sièges sont vides durant les séances.
En retraite je touche un peu plus de la moitié de leur somme pour frais divers et variés et ceci depuis 13 ans, pas vu beaucoup d'augmentation mais plus de prélèvements.
Mais je roule en Gold de 1994 signe extérieur de richesse probablement.

Si je ne me trompe pas, on est presque revenu à un monde "normal", sauf pour l'histoire du couvre-feu.... Même si les gens ont plus commandé sur les sites pendant les restrictions, je pense que ça s'est pas mal calmé. A tel point que les livraisons arrivent en avance ! 
J'explique : j'ai commandé un produit qui vient à priori d'Espagne (je l'ai su seulement au moment de l'avis d'expedition). Au départ de la commande, produit livré entre le 18 et le 22 février. Donc je prends mes dispositions pour être disponible le 18... seulement voila, malgré un suivi presque en temps réel du colis, il est arrivé un jour plus tôt. 
Vous me direz :"de quoi je me plains, c'est livré plus tôt", oui mais... j'ai trouvé l'avis de passage dans ma boite aux lettres stipulant que le colis serait disponible au point relais le plus proche. Pourtant, l'avis comporte plusieurs choix mais le livreur décide pour moi à priori (j'ai dû lui donner procuration un jour ?) de le mettre en relais colis. 
Donc pas de relivraison, pas de choix. Bon, je me dis que c'est pas trop grave, il y a des points relais pas loin, ce sera l'occasion de sortir... c'était sans compter sur la bonne volonté du livreur qui me la déposé à 13 kms de chez moi alors qu'il y en a un à 3,5 kms (en plus je devais aller par là demain)...   donc je vais devoir me taper 26 kms pour récupérer mon colis ! Je me disais que finalement, le port gratuit ne l'était pas ! 
Résultat des courses, ces blaireaux me font perdre mon temps !  (et de l'argent accessoirement)

J'avais lu un commentaire sur internet sur cette société de transport dont le livreur a balancé le colis au dessus d'un portail de 2m20 et que heureusement que la marchandise était bien emballée et n'a pas souffert. 
Du coup, j'ai commandé dernièrement du matériel photo, on me proposait le transport par GLS et UPS un peu plus chère, j'ai choisi cette dernière.  

Sous prétexte de suractivité dans ce secteur, ça devient n'importe quoi !

La semaine dernière , je commande chez AGPL motos , de quoi refaire la fourche ainsi que des plaquettes de freins AV/AR entre autres  ( la révision des 100 000 approche . . .).
La veille de la réception , colissimo m'annonce que mon colis me sera livrée en temps et heure ...Et le lendemain me dit que ça ne sera pas pour aujourd'hui suite à une erreur d'adressage ! Par acquis de conscience , je vais sur le site de pièces et vérifie mon adresse : erreur de code postal , mon colis est parti dans les landes ... Je modifie et envoie un mail à colisimo pour leur signaler le problème et je double le coup de sécurité en leur téléphonant . Après 10 minutes d'attente , mon interlocuteur prend en compte le pb mais me signale que c'est à l'expéditeur de signaler le changement de code postal à leur service . Ce qu'ils font immédiatement après mon appel ! (je ne vois ce que ça change que ce soit moi ou eux qui demandent la modif. mais bon . ..)
Dans l'après-midi , le chef de centre répartition de la poste des landes me téléphone pour me dire qu'il vient de recevoir mes doléances mais que , malheureusement , le colis est reparti sur le centre régional de Bordeaux . Qu'à cela ne tienne , eux aussi ont reçu ma notification , j'ai confiance . . . Sauf que , deux jours après , c'est au tour du centre de l'Isère de me téléphoner pour me dire qu'ils ont reçu le colis et se sont décidés à le renvoyer à l'expéditeur ! Pas la peine de se faire ch.. à faire des mails au service colissimo !
Bon ,il n'est pas perdu puisque le site va me le renvoyer . . . Mais ce coup-ci sans signature pour éviter trop de frais ! Je garde espoir !

Didou57 a écrit:

Si je ne me trompe pas, .......
Sous prétexte de suractivité dans ce secteur, ça devient n'importe quoi !

Didou tapes pas sur les livreurs STP!  bon c'est vrai qu'ils n'ont pas tous les câbles bien branchés...  tu verrais ce que je côtoie...  En même temps avec la pression que l'on a si tu n'es pas un tant soit peu zen et organiser y a de quoi partir en vrille! DHL,UPS, FEDEX, TNT, GLS et autres emploient des sous traitants qu'ils prennent pour de la merde (entendu en live par un "chef") et mettent des pénalités pour n'importe quoi (a la base la pénalité c’était pour des bonnes raisons) même moi je me fais piégé régulièrement ces derniers temps, mes states sont trop bonnes alors faut trouver le moyen de descendre le gars et la société qui l'emploie.