Rechercher
Derniers sujets
» Goldwing > 2018 . Tuto pose de déflecteurs supérieurs pour les nuls par francno Aujourd'hui à 14:56
» Joyeux anniversaire aujourd'hui à ...
par Pépé69 Aujourd'hui à 10:27
» Vidéos à la suite....
par g2loq Aujourd'hui à 8:19
» Une image marrante ou insolite par jour...en forme toujours
par g2loq Aujourd'hui à 7:53
» Malus pour voitures neuves et d'occasion, le gouvernement veut tout augmenter
par chris5 Hier à 21:10
» Météo
par DenisFont85 Hier à 11:07
» Fin de ma période Goldwing
par Claude 38 Hier à 10:18
» Citations
par g2loq Hier à 8:40
» changement d'embrayage sur GL 1200 Aspencade ?
par Philoup61CH Hier à 8:14
» Visu Ariège Septembre 2025
par chris 36 Jeu 21 Nov 2024 - 11:20
» elle est bonne ! (vos blagues du jour ici)
par easy rider Jeu 21 Nov 2024 - 7:31
» Un belge en plus en Goldwing (Axelfoley)
par charpentier09 Mer 20 Nov 2024 - 22:55
» Balade des Papas Noël motards Toulousains con
par chris5 Mer 20 Nov 2024 - 19:34
» Château Lavardens et ses expositions dont des santons
par chris5 Mer 20 Nov 2024 - 18:33
» Rencontres toulousaines
par chris5 Mar 19 Nov 2024 - 20:48
» origine de votre pseudo
par Axelfoley Mar 19 Nov 2024 - 18:43
» Malus bruit sur les motos en 2025
par boris-jc Lun 18 Nov 2024 - 17:21
» Que se passe t'il au jardin?
par eddy tionspéciale Lun 18 Nov 2024 - 16:31
» Le V6 PRV fête ses 50 ans, et il vaut mieux que sa réputation !
par g2loq Lun 18 Nov 2024 - 9:33
» historique modèles goldwing et leur immatriculation (VIN)
par g2loq Sam 16 Nov 2024 - 22:29
Qui est en ligne ?
Il y a en tout 356 utilisateurs en ligne :: 11 Enregistrés, 0 Invisible et 345 Invités :: 3 Moteurs de recherchecharpentier09, chris5, cidji, dany&marie, doudou36, Gil29, Gold65, Panagil, Pépé69, True0_2, VintageBiker
Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 1170 le Mar 5 Déc 2023 - 20:42
Connexion
Billets d'humeur / Billets d'humour
+31
DenisFont85
Romad
Maxrunner31
jcdu47
Papififi
boris-jc
cidji
easy rider
jm62
Gold65
teurteul73
Pépé69
GOLDTH
Jife
fiblan
chounig
Macfly2b
Centaurdedé
charpentier09
Didou57
ledany
chris 36
jacgl67
kuczynski
eddy tionspéciale
Churchill
nono_80
Canadian Man
domi 35
g2loq
Phil86
35 participants
Page 8 sur 13
Page 8 sur 13 • 1, 2, 3 ... 7, 8, 9 ... 11, 12, 13
Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Dans le même style de complexe de supériorité, Luc ferry,ancien ministre de l’éducation qui expliquait ce matin à la télé que giscard était trop intelligent pour se mettre au niveau du peuple et donc n’était apprécié que par des gens intelligents ...
Pour moi , la vraie intelligence , c’est justement de savoir se mettre au niveau de chacun pour se faire comprendre, mais bon ,je dois être trop con...
Heu , vous m’avez compris ?
Pour moi , la vraie intelligence , c’est justement de savoir se mettre au niveau de chacun pour se faire comprendre, mais bon ,je dois être trop con...
Heu , vous m’avez compris ?
Gold65- Membre incontournable !
- Messages : 641
Date d'inscription : 24/05/2017
Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Gold65 a écrit:Dans le même style de complexe de supériorité, Luc ferry,ancien ministre de l’éducation qui expliquait ce matin à la télé que giscard était trop intelligent pour se mettre au niveau du peuple et donc n’était apprécié que par des gens intelligents ...
Pour moi , la vraie intelligence , c’est justement de savoir se mettre au niveau de chacun pour se faire comprendre, mais bon ,je dois être trop con...
Heu , vous m’avez compris ?
ou là il a fallut que je relise plusieurs fois pour comprendre mais j'y suis arrivé
je dois pas être trop con car j'y suis arrivé
teurteul73- Membre incontournable !
- Messages : 430
Date d'inscription : 11/10/2020
Age : 59
Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Ben ,si tu m’as compris , c’est qu’on est aussi con l’un que l’autre
Gold65- Membre incontournable !
- Messages : 641
Date d'inscription : 24/05/2017
Age : 58
Un des "66 000 000 de Procureurs" le 21 janvier
Olivier Sauvy
Sœur Anne
Que personne ne bouge ! Ceci est peut-être un Hold-up !
Où sont les doses ? Où est Mr Vaccin ? Quelqu’un a des nouvelles du comité des 35 citoyens ?
La vaccination des plus de 75 ans et des personnes vulnérables devait être le deuxième étage de la fusée made by Mac Kinsey.
Après les « fiasco » des masques puis des tests, remise au goût du jour du mot « bronca », celle des maires qui ont ouvert en urgence leur vaccinodromes (euh... centres de vaccination) et qui, comme la sœur Anne, ne voient toujours pas les doses arriver. « S'il n’y a pas assez de vaccins, dites-le-nous ! » : implore Martine Aubry qui somme le gouvernement de « dire la vérité, rien que la vérité » !
Toujours aussi affûté en déclarations à forte teneur informative, « Olivier Grand Guérisseur Véran » joue les démineurs :« tout le monde ne peut pas être vacciné en un jour ou une semaine » ! Que des paroles fortes !
Alors que le monde entier est lancé à tombeaux ouverts (ah, ah) dans la folle course au vaccin, la Norvège a jeté un froid faisant état de « 23 morts dûs à des effets indésirables ayant contribué à une évolution sévère chez les personnes âgées fragiles ». Ah bon alors ça va...
En France, les premiers morts seraient des personnes « âgées ou très âgées avec des comorbidités ». Une enquête est ouverte : Ah bon ça va alors...
Aux dernières nouvelles, Mauricette vient de recevoir sa deuxième dose. Jusqu’ici tout va bien...
Quelles nouvelles des « deuxièmes lignes », ces derniers de cordées héros du premier confinement ? Tels la Sœur Anne remontée à toute allure en haut de sa tour pour faire ses prières de la sérénité, ces travailleurs retournés dans l’ombre ne voient toujours pas venir la prime promise par sa Seigneuriale Sainteté. En attendant les jours heureux qui pourraient faire le coup de la panne, les restaurateurs placés en coma artificiel viennent d’apprendre (de source non encore officielle) qu’ils n’ouvriront pas avant (au mieux) le 6 avril et que les cafetiers qui remuent encore attendront juin pour offrir leur tournée !
Ce mercredi 20 janvier, le gouvernement vient de doucher les derniers espoirs des « montagnards » en annonçant que les stations de ski s'orientaient vers une « saison blanche ». Pas d’annonce prévue ce jeudi 21 janvier de JC... « On donne sa chance au couvre-feu », t’a expliqué « P’Tit Gabi où est ta maman ».
Et pendant ce temps-là, la folie s’empare à nouveau des marchés financiers. Habitués des bulles spéculatives et des dérapages en tous genres (remember 2008), les indicateurs ne cessent de dépasser leurs sommets historiques...
Pas belle la vie des banquiers ?
A la cour, il se murmure que l’ex-banquier qui vient de se taper une mousse à Brest avec des jeunes fusiliers-marins bien musclés au milieu desquels il s’est dit heureux et fier, se lasserait de cette société victimaire où il va falloir que la Ministre en personne explique à la génération des « jeunes distanciés » que « non, se suicider, ce n’est pas bien ».
Le Poudré se fatiguerait aussi des plaintes incessantes de ces chômeurs toujours récalcitrants à traverser la rue sans être accompagnés et qui persistent à ne rien comprendre à l’innovation sociale « nécessaire pour s’adapter à la mobilité constante de la modernité ».
En proie à des accès colériques de plus en plus fréquents, Sa Majesté goûterait peu ces temps troublés où il lui faut dépêcher sa Première Dame sur les plateaux de TF1 pour lancer l’opération pièces jaunes.
Cette année, tout est dématérialisé. C’est une révolution ! Merci manant de flasher ton QR code !
Ayant vécu dans sa chair un Covid de forme médiane (?), Brigitte en a profité pour te livrer en exclusivité son témoignage poignant - non, on ne rit pas - te racontant ce 6ème jour de bascule où, tout essoufflée, elle a peiné à soulever son verre d’eau pour prendre son doliprane.
Rassurons-nous : elle a beaucoup appris de cette expérience, beaucoup parlé virus à la veillée avec son mari, compris à quel point cette pandémie d’une complexité folle pouvait être anxiogène pour le bon peuple. Pleine d’empathie et de lexomil pour ses sujets, la fille Trogneux qui est prête à te donner sa recette de macarons te livre un précieux conseil : « si tu sens que tu as du mal à respirer, il vaut mieux appeler ton médecin ».
Objectif atteint ! Ton esprit s’est vidé de toute substance.
Seule flotte une question parasite : Première Dame, Notre Dame... A combien vont s’élever le coût de ces rénovations ?
g2loq- Co-administrateur
- Messages : 22944
Date d'inscription : 29/04/2013
Age : 70
Faut-il interdire la moto dans les bouchons ?
Jean Savary Le 29 Mars 2021 à 16h00
Billet d'humeur
Faut-il interdire la moto dans les bouchons ?
Pendant cinq ans, la Sécurité routière a conduit une expérience : autoriser les motards à remonter les files dans les encombrements. Expérience purement fictive… Ou comment l’administration décroche parfois du monde réel.
Entre le 1er février 2016 et le 31 janvier 2021, les conducteurs de deux-roues à moteur ont été autorisés à remonter les files de voiture sur 3 000 km de 4 voies et de rocades dans trois départements - Bouches du Rhône, Rhône, Gironde - et la région Ile-de-France. Il s’agissait de l’expérience CIF (circulation inter-files) lancée par la Sécurité routière avec pour objectif « d’organiser un partage apaisé de la route, respectueux de l’ensemble des usagers, et d’encadrer et de sécuriser une pratique fortement répandue chez les conducteurs de deux-roues motorisés (2RM). »
Cinq ans plus tard, fin de l’expérience car il a été constaté que dans les zones concernées, l’accidentalité des « 2RM » avait augmenté. Ou plutôt « aurait augmenté » car, comme avoué dans le rapport, « les données étant plus faibles [NDR que pour l’ensemble des accidents de moto], il convient de les analyser avec plus de précautions. Par ailleurs, les circonstances des accidents ne sont pas toujours connues avec exactitude. » Et plus loin : « La délégation à la Sécurité Routière observe des incertitudes quant aux données analysées. »
Une expérience qui n’a jamais eu lieu
Je me surprends à écrire ces lignes, me relis et suis saisi par le vertige avec la nette impression de flotter dans une autre dimension : je me suis fait piéger dans un monde parallèle, une bulle d’irréalité, celle de l’administration française.
Permettez, je me donne deux baffes et revenons sur terre : cette expérience de circulation inter-files n’a jamais eu lieu. Il s’agit d’une pure fiction que se racontent une poignée de fonctionnaires, des mots sur du papier, des communiqués et au final un rapport surréaliste.
Mais dans le monde réel, il ne s’est rien passé, strictement rien, absolument rien, pas de nouveau panneau, pas même des traits de peinture sur la voie des motos.
Et surtout, pendant ces cinq ans, sur ces 3 000 km comme partout en France, dans les bouchons et les ralentissements, les motards (et les scooteristes) n’ont pas davantage remonté les files qu’avant. Et ne les remontent pas moins depuis que c’est interdit.
Pas interdit, pas autorisé, mais toléré et parfois sanctionné
Au fait, cela n’a jamais été interdit contrairement à ce qu’avance le rapport de la Sécurité routière et jamais autorisé non plus : dans le Code de la route, la circulation inter-files (Cif) d’un deux-roues n’existe tout simplement pas et ne peut par conséquent pas être une infraction.
Au point que les forces de l’ordre, quand on leur ordonne une vaine opération « coup de poing », doivent pour la sanctionner invoquer et additionner toutes sortes de motifs spécieux - dépassement par la droite, non-respect de la distance de sécurité et même changement de file par conducteur de véhicule non justifié par un changement de direction, avec de dissuasifs mais heureusement rares PV à 6 points et 305 €.
Pourtant, aussi vieille que les bouchons, la « Cif » n’était que tolérée et par conséquent jamais enseignée en auto-école. Dommage, car cela pourrait sauver quelques vies, assez peu en vérité, car elle n’est qu’une cause marginale de mortalité à moto.
Depuis quarante ans qu’au guidon de mes bécanes je remonte les files du périphérique, de l’A1, de l’A3, de l’A4, de l’A6, de l’A86 et de la N118 - sans m’être jamais cassé un ongle ni avoir récolté un PV -, je me demande pourquoi je roule au-dessus d’un vide juridique. Pourquoi cette pratique n’a-t-elle jamais été légalisée, comme depuis dix ans en Belgique où aucune hécatombe particulière n’a été constatée ?
Parce que c’est vilain de ne pas faire la queue ? Parce qu’« il n’y a pas de raison que tout le monde poireaute et pas eux » ? Par hostilité atavique au blouson noir ?
Pourquoi ne pas l’autoriser puisqu’on ne peut l’interdire ? Car la donnée de base, celle que ne semblent pas avoir intégrée les expérimentateurs, est qu’on ne peut pas interdire à un motard de remonter les files, pas même aux gendarmes et aux policiers
Le steak haché dans le hamburger…
La première raison est qu’une moto a besoin de rouler pour refroidir sa mécanique. Arrêtée, avançant a toute petite vitesse ou alternant arrêts et redémarrages, une moto à refroidissement par air casse très vite son moteur. Pas celle à refroidissement liquide qui ventile la chaleur sur les jambes du pilote. Pas désagréable en hiver, mais insupportable en été, jusqu’à la brûlure ou aux varices.
Il est stupéfiant que des réalités aussi triviales soient ignorées par ceux qui sont en charge de tout ce qui roule sur nos routes. Imaginent-ils seulement qu’en été, le motard casqué, botté, ganté, sous son jean renforcé et son blouson coqué, chauffé par son moteur, a lui aussi besoin d’avancer pour se ventiler ?
La seconde raison, évidente pour toute personne ayant tourné une poignée de gaz, est que dans une file de voitures, un motard doit conserver une distance de sécurité plus importante car il freine moins court. Un intervalle qu’il ne peut maintenir dans un trafic chargé car il ne faut pas cinq secondes pour qu’une voiture s’y incruste si sa file avance moins vite que l’autre. Coincé devant, le motocycliste - son nom officiel - l’est aussi derrière par un caisseux - son surnom officieux - qui le colle sans plus de précaution qu’en suivant une Twingo.
C’est pourquoi, même quand le trafic avance à 30 ou 50 km/h, presque tous les conducteurs de deux-roues persistent sur l’inter-files. Pas par goût du risque ni parce qu’ils sont pressés, mais bêtement pour ne pas, en cas de brutal ralentissement, être le steak haché dans le hamburger. Et aussi pour voir plus loin que le SUV de devant et ainsi conserver une certaine capacité d’évitement, la principale sécurité du motard, bien avant le freinage.
Obliger un conducteur de deux-roues à rouler sur la voie des voitures dans un bouchon est une aberration. Un peu comme si l’on imposait aux automobilistes arrêtés à un stop manquant de visibilité, de descendre de sa voiture pour traverser la route et s’assurer que, des deux côtés, personne n’arrive.
Surtout ne décidons de rien…
Il serait pourtant malhonnête de prétendre que tout va pour le mieux entre les files de voitures. Si la majorité des motards y roule raisonnablement, certains se comportent comme des pitbulls enragés dans un troupeau de Yorkshire. Jusqu’à forcer, quand le cortège de deux roues ne va pas assez vite à leur goût, le passage entre motos et voitures. Ce que je redoute désormais dans les bouchons, plus que l’automobiliste distrait, c’est le crétin à T-Max qui m’accroche la sacoche ou le guidon en me dépassant dans un trou de souris. Et c’est souvent lui que je retrouve par terre trois portes plus loin.
Ce qui devrait être interdit et verbalisé, ce n’est pas de remonter les files de voitures, mais de remonter celles de motos…
En attendant, constatant l’impossibilité d’interdire la circulation inter-files et n’osant pas l’autoriser, la Sécurité routière va relancer l’expérience d’ici le mois de juin, pour une durée que l’on ignore encore, avec « de nouvelles règles de circulation, une méthodologie de collecte de données automatisée, une communication adaptée et continue pour parfaire la pédagogie de tous les usagers de la route sur le sujet ».
Surtout ne décidons de rien…
g2loq- Co-administrateur
- Messages : 22944
Date d'inscription : 29/04/2013
Age : 70
Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
enfin quelqu'un qui ose parler du comportement incivique de certains 2 roues dans les bouchons. Mais il n'y a malheusement pas que les crétins en Tmax cités par le journaliste, j'en vois aussi beaucoup en moto qui forcent le passage en interfile, particulierement en BM dont le freinage tres performant leur donne un sentiment d'invincibilité. Bref surveillons tous notre comportement en interfile.
bonne route à tous.
bonne route à tous.
fiblan- Membre incontournable !
- Messages : 351
Date d'inscription : 27/02/2020
Age : 62
5 avril - L'invention de Joan Law en 1715 revisitée
Le BITCOIN expliqué aux Nuls
Il y avait beaucoup de singes qui vivaient près d'un village dans la jungle. Un jour, un marchand vint au village et déclara vouloir acheter des singes. Il annonça qu'il les achetait 100 $ chacun.
Les villageois se dirent que cet homme était fou: Comment pouvait-on acheter des singes errants à 100 $ chacun? Pourtant, certains d'entre eux attrapèrent des singes et les apportèrent au marchand qui leur donna effectivement 100 $ pour chaque singe.
La nouvelle se répandit comme une traînée de poudre et beaucoup de gens attrapèrent alors des singes et les vendirent au marchand.
Après quelques jours, le marchand déclara qu'il achetait des singes à 200 $ chacun. Même les villageois les plus paresseux coururent pour attraper les singes restants et les lui vendirent à 200 $ chacun.
Puis, le marchand annonça qu'il achetait des singes à 500 $ chacun. Les villageois commencèrent à perdre le sommeil. Ils attrapèrent les six ou sept singes restant qu'il parvinrent à trouver et obtinrent 500 $ pour chacun.
Les villageois attendaient anxieusement la prochaine annonce.
C'est alors que le marchand annonça qu'il rentrait à la maison pendant une semaine, mais que lorsqu'il reviendrait, il achèterait des singes à 1.000 $ chacun !
Il demanda à son employé de prendre bien soin des singes dans la cage, en attendant son retour.
Les villageois étaient désolés, car il n'y avait plus de singes à vendre à 1.000 $ chacun. À cet instant, l'employé leur dit qu'il leur vendrait secrètement des singes à 700 $ chacun.
La nouvelle se répandit comme une traînée de poudre: Puisque le commerçant achèterait des singes à 1.000 $ chacun, il y aurait un profit de 300 $ pour chaque singe !
Le lendemain, les villageois faisaient la queue près de la cage des singes. L'employé leur vendit tous les singes à 700 $ chacun.
Les riches achetaient des singes par lots. Les pauvres empruntaient de l'argent à des usuriers et achetèrent aussi des singes.
Les villageois prenaient soin de leurs singes et attendaient le retour du marchand. Mais personne ne vint !
Ils coururent alors chez l'employé. Mais il était parti à son tour.
Les villageois se rendirent alors compte qu'ils avaient acheté les singes errants inutiles à 700 $ chacun et étaient incapables de les revendre.
Le Bitcoin est la prochaine monnaie de singe. Il va mettre beaucoup de gens en faillite en enrichissant des personnes sans scrupule.
Il y avait beaucoup de singes qui vivaient près d'un village dans la jungle. Un jour, un marchand vint au village et déclara vouloir acheter des singes. Il annonça qu'il les achetait 100 $ chacun.
Les villageois se dirent que cet homme était fou: Comment pouvait-on acheter des singes errants à 100 $ chacun? Pourtant, certains d'entre eux attrapèrent des singes et les apportèrent au marchand qui leur donna effectivement 100 $ pour chaque singe.
La nouvelle se répandit comme une traînée de poudre et beaucoup de gens attrapèrent alors des singes et les vendirent au marchand.
Après quelques jours, le marchand déclara qu'il achetait des singes à 200 $ chacun. Même les villageois les plus paresseux coururent pour attraper les singes restants et les lui vendirent à 200 $ chacun.
Puis, le marchand annonça qu'il achetait des singes à 500 $ chacun. Les villageois commencèrent à perdre le sommeil. Ils attrapèrent les six ou sept singes restant qu'il parvinrent à trouver et obtinrent 500 $ pour chacun.
Les villageois attendaient anxieusement la prochaine annonce.
C'est alors que le marchand annonça qu'il rentrait à la maison pendant une semaine, mais que lorsqu'il reviendrait, il achèterait des singes à 1.000 $ chacun !
Il demanda à son employé de prendre bien soin des singes dans la cage, en attendant son retour.
Les villageois étaient désolés, car il n'y avait plus de singes à vendre à 1.000 $ chacun. À cet instant, l'employé leur dit qu'il leur vendrait secrètement des singes à 700 $ chacun.
La nouvelle se répandit comme une traînée de poudre: Puisque le commerçant achèterait des singes à 1.000 $ chacun, il y aurait un profit de 300 $ pour chaque singe !
Le lendemain, les villageois faisaient la queue près de la cage des singes. L'employé leur vendit tous les singes à 700 $ chacun.
Les riches achetaient des singes par lots. Les pauvres empruntaient de l'argent à des usuriers et achetèrent aussi des singes.
Les villageois prenaient soin de leurs singes et attendaient le retour du marchand. Mais personne ne vint !
Ils coururent alors chez l'employé. Mais il était parti à son tour.
Les villageois se rendirent alors compte qu'ils avaient acheté les singes errants inutiles à 700 $ chacun et étaient incapables de les revendre.
Le Bitcoin est la prochaine monnaie de singe. Il va mettre beaucoup de gens en faillite en enrichissant des personnes sans scrupule.
g2loq- Co-administrateur
- Messages : 22944
Date d'inscription : 29/04/2013
Age : 70
Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Qui est le clown qui a sorti cette histoire "revisitée" de Law? Quel rapport entre les cryptos et cette fadaise. De plus aller chercher un écrit de Law pour argumenter alors que c'est le type qui a "inventé" le papier monnaie... La monnaie fiduciaire qui ne vaut plus rien depuis 1971 lorsque Nixon a supprimé la convertibilité du dollar en or. Il n'y a qu'à voir les milliards imprimés en ce moment par toutes les banques centrales et qui ne reposent sur rien alors que l'or et le Bitcoin sont en quantité fixe et non ajustable au gré des circonstances. Sûr qu'à ce jour il vaut mieux faire confiance à l'or et au Bitcoin ( l'auteur de l'article devrait se renseigner sur le fonctionnement des cryptos ) qu'au dollar ou à l'Euro. Quant aux soient disant valeurs de l'or ou du Bitcoin qui montent ou qui descendent, il suffit de renverser le problème. Considérons que l'or ou le Bitcoin ont des valeurs fixes mais que ce sont les monnaies de papier qui fluctuent au gré de leurs errances. Bon je ne sais pas si c'était un billet d'humour mais en ce qui me concerne c'est un billet d'humeur.
J'attends la suite à savoir "la monnaie fiduciaire du 21ème siècle" expliquée aux nuls.
J'attends la suite à savoir "la monnaie fiduciaire du 21ème siècle" expliquée aux nuls.
kuczynski- Membre incontournable !
- Messages : 6220
Date d'inscription : 22/10/2012
Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Trouvé sur un site humoristique, cette histoire peut-être canadienne au départ.
Mais, je suis bien content qu'elle suscite des réflexions et des prises de position.
Réflexion bien argumentée d'ailleurs et qui m'ouvre d'autres perspectives, à moi qui justement suis Nul sur le sujet des Bitcoins (et des monnaies)...
Joyeuses Pâques !
g2loq- Co-administrateur
- Messages : 22944
Date d'inscription : 29/04/2013
Age : 70
Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
et pourtant oublions les monnaies et restons sur les valeurs. J'ai revu le film "le sucre" ces derniers jours (avec Depardieu et Carmet) ... c'est drôle et on a bien rigolé, mais cela nous rappelle aussi que les grosses fortunes peuvent aussi se construire par la manipulation des profanes par les initiés et à notre époque où les moyens de communication ont une vitesse de propagation tres élevée ça doit être efficace. Pour la suite l'histoire nous dira mais cette bonne blague pourrait nius inciter à remonter notre vigilance d'un cran !
fiblan- Membre incontournable !
- Messages : 351
Date d'inscription : 27/02/2020
Age : 62
Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
un ptit detail!, en cas d'explosion nucléaire le bitcoin n'existe plus ..... l'or oui....
Maxrunner31- Membre incontournable !
- Messages : 1728
Date d'inscription : 13/04/2016
Age : 61
Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
En cas d'explosion nucléaire on n'existe plus non plus
kuczynski- Membre incontournable !
- Messages : 6220
Date d'inscription : 22/10/2012
Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
kuczynski a écrit:En cas d'explosion nucléaire on n'existe plus non plus
pas tous non plus mais les bitcoins eux oui!
Maxrunner31- Membre incontournable !
- Messages : 1728
Date d'inscription : 13/04/2016
Age : 61
26 avril
J'essuie, donc je penche
Texte de Thomas / Photo(s) de Rédaction
“Enfin, le genou !” Voilà ce que je lis de plus en plus souvent sur les réseaux sociaux.
Poser le genou sur route semble être un passage obligé dans la vie des jeunes motards. Ils s’en vantent. Et je vous avoue que cela me rend perplexe.
Car la plupart du temps les conditions ne sont pas réunies pour le faire sans risques.
Il me semble important de le rappeler : sur route ouverte cette pratique exige d’être conscient des dangers possibles.
Alors, poser le genou, oui, mais pas à n’importe quel prix !
Beaucoup de motards rêvent de frotter leurs sliders sur le bitume. Comme je les comprends ! Réalisée dans les règles de l’art, il est vrai que cette sensation est unique et la montée d’adrénaline qui s’ensuit a un goût de reviens-y. Tout à fait logique et justifié sur piste, l’acte est nettement plus risqué sur route.
Techniquement il est possible d’y parvenir à faible vitesse mais au prix d’un effort digne d’un équilibriste. Et se déhancher dans ces conditions fait courir un risque évident de perte d’équilibre et donc de chute, car la moto n’a pas suffisamment de force d’inertie. Mais alors dans quelles conditions poser le genou est-il pertinent, me direz-vous ? La première condition est évidemment celle d’avoir un équipement adapté, c’est à dire une combinaison 1 ou 2 pièces en cuir avec sliders intégrés. Deuxième condition, et pas des moindres : connaître sa moto et faire confiance en ses pneus. Enfin, il est important et judicieux de choisir le lieu adéquat pour le faire. Sans surprise, c’est le circuit qui est tout indiqué pour frotter ses sliders. Parce qu’on n’y trouvera ni circulation ni obstacles, une chute éventuelle aura des conséquences nettement moins lourdes/graves.
Il faut savoir que même lorsque toutes les conditions seront réunies, certains y arriveront rapidement tandis que d’autres auront besoin de plus de temps ainsi que de conseils de la part d’un coach. Personnellement, ma première fois (lors d’un roulage sur piste à Dijon-Prenois) s’est passée à l’endroit où je m’y attendais le moins ! C’est même dans le virage où je me considérais comme le moins à l’aise que le slider a frotté ! Pour dire que ce n’est pas quelque chose qui se commande mais qui se vit au moment opportun, presque naturellement, ai-je envie de dire.
Quel plaisir que cette sensation de connexion totale du pilote, de la route et de la machine ! En résumé, poser le genou ne doit certainement pas devenir un but en soi et n’est pas non plus synonyme de pilotage d’élite. En effet, on peut être un très bon motard sans jamais avoir posé le genou sur le bitume. L'acte est simplement la conséquence logique et physique d’une vitesse de passage en courbe ainsi que d’une position.
Et puis entre nous, si vous persistez à vouloir poncer du slider, trouvez une alternative, comme Kuczynski par exemple, en plein entrainement ici sur son simulateur hi-tech...
g2loq- Co-administrateur
- Messages : 22944
Date d'inscription : 29/04/2013
Age : 70
Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
On y a tous pensé un jour ou l'autre... Y'a plein de parkings de grandes surfaces libres le dimanche.
MAIS:
1/ si on se vautre on passe pour un conneau ( quoique ça c'est peut être déjà fait )
2/ Si on met en balance la "gloire" qu'on peut en tirer et le prix des pièces de Gold si ça foire, ça fait réfléchir
MAIS:
1/ si on se vautre on passe pour un conneau ( quoique ça c'est peut être déjà fait )
2/ Si on met en balance la "gloire" qu'on peut en tirer et le prix des pièces de Gold si ça foire, ça fait réfléchir
kuczynski- Membre incontournable !
- Messages : 6220
Date d'inscription : 22/10/2012
2ème injection. Je me sens de mieux en mieux !
Plein le cul
Je vous le dis : On n'est pas sortis de l'asperge.
D’accord, ce que j'ai à vous dire ne casse pas trois briques à un canard, mais il faut avouer qu'on ne fait pas d'omelette sans cligner des yeux. Alors, même si je n'ai pas inventé la machine à courber la banane, j'affirme qu'une goutte d'eau peut mettre le feu aux poutres.
J’aurais bien une idée de génisse, mais une question me turlutte : Peut-on vendre la peau de l'ours avant d'avoir tué le bœuf, sachant que plus on est de tous, moins y a de riz ?
Il ne faut pas pousser mémé dans les orgies et même si la bite ne fait pas le moine, chassez le naturiste, il revient au bungalow.
Passons plutôt du coca light : Pour certains, c'est l'hôpital qui se fout de la charcuterie. Mais, ne mettons pas la charia avant l'hébreu. Parce que donner c'est donner, mais repeindre ses volets !
Voilà, c'est comme chercher une anguille dans une meute de chien, cependant vieux motard que jamais.
S'il vous plait, ne le prenez pas au pied de la lèpre: un clavier azerty en vaut deux, n'oubliez pas!
g2loq- Co-administrateur
- Messages : 22944
Date d'inscription : 29/04/2013
Age : 70
Quand la vitesse était un argument publicitaire
Michel Holtz Le 15 Mai 2021
Quand la vitesse était un argument publicitaire
À l'heure ou Renault, après Volvo, décide de brider ses autos à 180km/h, changeons d'époque le temps de quelques pubs qui, plutôt que d'occulter les performances des autos, les mettaient en avant.
Votre pouls s'accélère, votre cœur bat plus fort… En 1984, la campagne de lancement de la Golf GTI 2 ne tourne pas autour du pot : la vitesse c'est l'émotion.
Veuillez cacher ce compteur que je ne saurais voir.
Aujourd'hui, toute allusion, dans la pub, aux performances d'une voiture, à sa vitesse de pointe ou à ses capacités d'accélération vouerait immédiatement son constructeur au pilori. Et aucun annonceur ne s'y risque plus. C'est d'ailleurs un paradoxe : au moment ou les autos n'ont jamais été aussi performantes, on n'a jamais autant occulté les performances en question. Mais il n'en a pas toujours été ainsi. Retour sur quelques "réclames" du temps d'avant, parmi des centaines d'autres.
Il fut un temps, ou la vitesse était un gage de qualité, quitte à prendre quelques libertés avec la réalité. Ainsi, la Ford Capri entretient l'ambiguïté, dans cette pub de 1973. Est-ce elle qui atteint 240 km/h au Mans, ou sa version très très modifiée ? Ce n'est évidemment pas la Capri de série, mais sait-on jamais.
Pousse-toi quand tu vois ma BMW
En ce tout début des années 70, l'agressivité au volant n'est pas problématique. Elle est même revendiquée à bord d'une BMW. Et lorsqu’une calandre affublée d'un haricot collait au train d'une auto qui roulait trop doucement, son tranquille conducteur n'avait qu'à se pousser, ou s'offrir lui aussi une BM.
Alfa, une auto pour les gars
Un homme, un vrai, conduit une Alfa Romeo. C'est une évidence dans ces années-là. maîtriser l'engin, le pousser à ses limites ne peut être du ressort d'une femme. Mais il s'agit aussi de garder les pieds sur terre, de s'offrir une auto au prix raisonnable et à l'entretien qui ne l'est pas moins. Là encore, ce sont des considérations de garçon, puisqu'il est non seulement plus sportif qu'une fille, mais moins dépensier aussi, c'est bien connu.
Quid de notre striatum ?
Les années 70 et 80 sont loin. Aujourd'hui, les pubs automobiles évitent soigneusement toute allusion à la vitesse. l'agressivité y est bannie, les performances en sont exclues, et il n'y est plus question que de frugalité des moteurs et de convivialité des intérieurs. Mais quid de notre striatum ? Cette structure nerveuse située dans notre cerveau nous pousse depuis le temps des cavernes à nous mesurer aux autres, à gagner, et à nous reproduire. Aujourd'hui, elle a tendance à être étouffée par un couvercle de civilisation. D'aucuns trouvent que c'est fort dommage. À ces derniers, on se contentera de rappeler deux chiffres : en 1972, il y avait 18 000 morts sur les routes françaises. En 2019, l'hexagone a enregistré 3 239 décès.
Avec tous nos remerciements à Nicolas Bergon et au site auto-pub.net qui a retrouvé et classé des centaines de pubs automobiles.
g2loq- Co-administrateur
- Messages : 22944
Date d'inscription : 29/04/2013
Age : 70
Conduite à gauche
Un brin de conduite à gauche ?
Pierre-Olivier Marie Le 16 Mai
Conduite à gauche, en voiture avec François Mitterrand
On célébrait cette semaine les quarante ans de l’accession de François Mitterrand à l’Elysée, et c’est l’occasion de se pencher sur Conduite à gauche, un ouvrage écrit par Pierre Tourlier, qui fut son chauffeur de 1974 à 1995.
François Mitterrand et Pierre Tourlier en 1979, deux ans avant l'accession à l'Elysée.
Pas de grandes considérations géopolitiques à attendre ici, mais des dizaines d’anecdotes qui dressent le très intéressant portrait d’un homme qui surfait entre les obligations élyséennes, les courtisans, sa vie privée agitée et bien sûr les contraintes que faisaient peser sur lui une longue maladie.
Au fil des pages, on voit émerger la véritable proximité, voire la connivence qui finit par s’établir de fait entre le Président socialiste et son chauffeur, ancien de l’OAS, qui va avoir à connaître nombre de petits et grands secrets, à commencer par celui de l’existence de Mazarine.
On apprend au passage que François Mitterrand ne s’intéresse nullement aux véhicules qui le transportent : « l’aspect de la voiture, sa couleur et celle des sièges, sa marque, toutes ces considérations le laissent parfaitement indifférent », précise Tourlier.
Et celui-ci d’évoquer la CX, héritage de Giscard à l’Elysée, qui servait pour de petits trajets alors que les deux R30 officielles étaient réservées aux longs déplacements. Un jour de 1982, juste après avoir joué au golf, Mitterrand prend place à bord de la Citroën alors que la suspension est en position basse.
Il en résulte un probable faux mouvement, ce qui provoque de vives douleurs au dos du Président, et va alimenter la machine à rumeurs concernant sa santé dans tout Paris. En réalité une simple lombalgie, qu’un rebouteux venu expressément des Landes soignera en une séance…
Chauffeur sans permis
Le Président adorait rouler fenêtre ouvertes, ce qui suscitait une vive inquiétude.
Dialogue avec son chauffeur :
- Vous vous rendez compte, on a dépensé plus d’un million de francs pour s’équiper en véhicules blindés, et vous ouvrez les fenêtres.
- Mais moi je n'ai rien demandé...
Et Pierre Tourlier de préciser que, pour limiter les risques, il empruntait les couloirs de bus et « les feux rouges n’existaient pas. »
Autre scène cocasse, un jour où le convoi présidentiel croise celui du Premier ministre Edouard Balladur en plein Paris : « Notre service de sécurité a estimé que les véhicules du Premier ministre devaient lui céder la priorité. Ce qui fut fait, au grand dam des services de police chargés de la sécurité du Premier ministre.
A ce moment-là, les insultes et les noms d’oiseaux ont fusé entre les deux cortèges, donnant à cette scène un caractère proprement surréaliste. »
Bref, on s’amuse beaucoup à la lecture de cet ouvrage, au terme duquel on apprend que Pierre Tourlier, chauffeur de François Mitterrand pendant plus de vingt ans, n’avait jamais passé le permis de conduire…
g2loq- Co-administrateur
- Messages : 22944
Date d'inscription : 29/04/2013
Age : 70
Z'humeurs : la communauté motarde
par La Rédac' | 27.05.2021
Z'humeurs : la communauté motarde
La communauté motarde, c'est terminé ?
Avant il y avait une grande famille, puis des bandes par marque et des clubs par modèles mais aujourd'hui plus de communauté au sens large ?
La Rédac vous donne son avis sur la question
g2loq- Co-administrateur
- Messages : 22944
Date d'inscription : 29/04/2013
Age : 70
Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Bien sur que la communauté motarde c'est fini, et depuis longtemps. Même dans les clubs, les organisateurs se plaignent d'avoir de plus en plus de "consommateurs" plus que de membres.
J'entends par consommateur, ceux qui ne participent que parce que tout est organisé, profitent comme pour des vacances, et souvent sont les premiers à se plaindre ou critiquer au retour. Jamais de proposition ou d'investissement, toujours du profit.
Sur le nombre de motards en France, il y a énormément de motards "solaires", et/ou solitaires, et ceux-ci ne sortent que pour profiter.
C'est comme dans les associations, les organisateurs se lassent de tout çà et lâchent l'affaire. Force est de constater que peu de monde se bouscule pour reprendre l'activité...
Donc pour en revenir aux motards, le salut de la main est un signe de reconnaissance qui a tendance à se perdre, et pour l'avoir testé, l'entraide motarde est plutôt une utopie.
Pourquoi ? ben parce que tout le monde aujourd'hui a un portable donc peut appeler des secours, parce que les motos deviennent de plus en plus compliquées à réparer au bord de la route, que si on vous ne parle pas de cet esprit d'entraide motarde à un moment ou un autre, ce n'est pas un réflexe ou devenu un état d'esprit. Un petit peu d'égoïsme ? pas envie de s'arrêter (pour ne pas casser sa moyenne ou peur de "l'autre") ?
Je ne pense pas que ce phénomène s'arrange dans les années à venir.
_________________
A bientôt !
"Aides toi, le ciel t'aidera"
"Qui veut aller loin ménage sa monture." .............. Roulez prudemment !
Le Père Noël a lu vos publications toute l'année. La plupart d'entre vous recevront un dictionnaire.
Didou57 - Administrateur et fondateur du forum .................
Même si mon nom est dans la liste des connectés au forum, je ne suis pas forcément derrière mon écran... merci pour votre patience.
Montages 2010 - 2011
montages 2013-2014
montages 2014-2015
Montages 2017-2018
Ma chaine Youtube
l'arnaque de la voiture propre, ou les limites de l'électrification
Un peu de lecture de chevet ?
Michel Holtz Le 04 Juin 2021
L'arnaque de la voiture propre, ou les limites de l'électrification
C'est un ouvrage au titre provocateur qui déboule en librairie ces temps-ci.
L'arnaque de la voiture propre met à mal quelques illusions: celle de l'absence de pollution des nouveaux véhicules, celle de la durabilité de ces autos, et enfin, celle d'une décision politique cohérente.
Pour parvenir à ces conclusions, son auteur, Nicolas Meunier, a quelques solides arguments à faire valoir.
L'arnaque de la voiture propre - Nicolas Meunier - Hugo Doc - 9,95 euros
D'emblée, commençons par commettre un crime de lèse-majesté en modifiant le titre de l'ouvrage. Plutôt que l'arnaque de la voiture propre, pourquoi ne pas l'appeler les limites de la voitures propre. Certes, la nouvelle appellation du livre est bien moins vendeuse, mais Nicolas Meunier le reconnaît lui-même, et l'écrit dans l'avant-propos de l'ouvrage qu'il vient de publier : "ce livre n'est pas là pour dénigrer la voiture électrique" à laquelle l'auteur trouve d'ailleurs bien des qualités mais aussi de très nombreux défauts.
Nissan Leaf et Renault Zoe : celles par qui tout a commencé, pour Nicolas Meunier.
L'arnaque de la décision politique
Mais si les véhicules ne sont pas mis en cause, leur environnement et leur omniprésence programmée le sont sur bien des points. Pour l'auteur, tout aurait commencé en 2010, lorsque Carlos Ghosn, président de l'Alliance Renault Nissan a annoncé l'avènement de la Renault Zoe et de la Nissan Leaf. "Mais la véritable décision politique s'est opérée en 2015, lors du dieselgate'", rendant le basculement vers l'électrique inéluctable en raison des normes qui envoient, à moyen terme, les thermiques à la casse. Une décision aux conséquences lourdes pour l'industrie, comme pour l'usager soumis à des infrastructures de recharge cafouilleuses et attiré par cette fameuse illusion de propreté.
Il n'y a pas que l'électrique dans la vie : Nicolas Meunier est au volant d'une Bugatti Divo.
Tout au long des 150 pages de l'ouvrage, le journaliste, ingénieur de formation, éparpille façon puzzle les différentes croyances liées à l'auto électrique, ou électrifiée, comme l'hybride rechargeable. Pour cette dernière technologie, Nicolas Meunier met en avant la volonté politique qui oblige les constructeurs à basculer vers le zéro émissions (en roulant mais pas en fabriquant), mais aussi les aberrations liées aux incitations fiscales faites aux particuliers et aux entreprises. Ces dernières paient leur TVS (taxe sur les véhicules de société) en fonction des émissions de C02 des autos qu'elles achètent. Or, les PHEV en émettent peu, sur le papier, du moins.
L'arnaque de la consommation réelle des PHEV
Car dans la réalité, si ces engins ne sont pas rechargés, ils consomment plus que de mesure. Et nombre de cadres qui disposent de voitures de fonction hybrides rechargeables n'ont pas de dispositif de charge, ni au bureau, ni à la maison. Quant à la valeur résiduelle (qui intéresse en premier lieu les entreprises comme les particuliers), elle fond comme neige au soleil lorsque les électriques vieillissent. En cause ? La trop rapide évolution technologique de ces engins qui les rendent rapidement obsolètes.
L'arnaque des infrastructures de recharge
En ce qui concerne les 100 % électriques, l'auteur livre une charge contre les opérateurs, et notamment contre leurs complexes systèmes de paiement devant leurs bornes, citant notamment cet usager qui, malgré sept cartes différentes, correspondant à divers organismes, n'a pas pu recharger son auto. Soit aucune de ses cartes ne correspondait à une borne prête à l'accueillir, soit celles à laquelles il était abonné étaient en panne. Le journaliste en profite, au passage, pour livrer un tableau de la véritable consommation des principales autos électriques du marché. Selon des tests effectués par ses soins, une Volkswagen ID3 58 kWh, donnée pour 425 km d'autonomie, n'en effectue que 210. Instructif.
L'arnaque d'une propreté supposée
Ouvrage à charge (et sans jeu de mots) l'arnaque de la voiture propre l'est indubitablement, mais c'est une charge parfaitement argumentée et fort pertinente, même s'il ne livre pas de prospective vers un futur qui pourrait se diriger vers une fabrications voitures plus propres et des infrastructures de charges en grand nombre et enfin standardisées. Mais l'alarmisme de son auteur envers la croyance sans condition en la propreté supposée de l'électrification commence à être partagé. C'est ainsi que BMW, pour le lancement de son SUV électrique IX, évoque désormais une conduite sans émissions locales, plus proche de la réalité que le "sans émissions totales" auxquelles les constructeurs et les pouvoirs publics nous ont habitués. Nicolas Meunier doit avoir des lecteurs à Munich.
g2loq- Co-administrateur
- Messages : 22944
Date d'inscription : 29/04/2013
Age : 70
Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Voilà un sujet déjà bien débattu. Difficile de se faire une opinion "bien renseignée" et objective sans tomber dans les clichés et les extrêmes. Y a toujours les bons exemples et les mauvais pour y croire ou pas.
- Voiture électrique : arnaque? Je pense pas, y a du bon mais pas que.
Le écologiquement Correct impose de cacher la poussière sous le tapis, et ça nos "bons" politiques savent bien le faire quand il s'agit d'aller à la pêche aux voix.
donc pour moi,
- arnaque politique : OUI.
Moi, pas trop aimer être pris pour un pigeon. Aime bien comprendre.
Christian Pépé69
Pépé69- Membre incontournable !
- Messages : 2345
Date d'inscription : 26/08/2020
Age : 72
12 juillet
Une réflexion sur FB ce matin. Gonflé, non ?
Un professeur a donné un ballon à chaque élève, qui devait le gonfler, écrire son nom dessus et le lancer dans le couloir.
Le professeur a ensuite mélangé tous les ballons.
Les élèves ont eu 5 minutes pour trouver leur propre ballon.
Malgré une recherche mouvementée, personne n'a trouvé son ballon.
À ce moment-là, le professeur a dit aux étudiants de prendre le premier ballon qu'ils avaient trouvé et de le remettre à la personne dont le nom était écrit dessus.
En 5 minutes, chacun avait son propre ballon.
Le professeur a dit aux étudiants:
"Ces ballons sont comme le bonheur. Nous ne le trouverons jamais si tout le monde cherche le sien.
Mais si nous nous soucions du bonheur des autres ... nous trouverons le nôtre aussi."
g2loq- Co-administrateur
- Messages : 22944
Date d'inscription : 29/04/2013
Age : 70
16 juillet
Appelez-moi Boomer, si vous voulez, mais pour moi cette étude est juste une illustration de ce que la "modernité" nous amène en guise de "progrès"...
Je suis fatigué !
Corentin Parbaud — 14 juillet 2021 à 9h00
Facebook est devenu le réseau des boomers
Plus âgée, plus réac, plus virulente, l'audience de la plateforme a profondément changé ces dernières années.
Pendant ce temps, les nouvelles générations trouvent leur bonheur ailleurs.
Le taux d'utilisation de Facebook parmi les internautes français n'a augmenté que de 1% entre 2020 et 2021. | ijmaki via Pixabay
«Oui, c'est devenu pénible. C'est une partie du métier qui est un peu chiante, un peu minante…» Community manager pour un important média français, Julia* souffle son ras-le-bol.
«Dès qu'on va partager un sujet sensible, on s'attend à avoir des commentaires virulents. Avant, on se disait “ce papier va marcher”, maintenant on se dit “ce papier va avoir des commentaires sales”. L'échange et la discussion, ça a complètement disparu.»
Un réseau, plus que les autres, cristallise ce phénomène: Facebook.
À son lancement, le bébé de Mark Zuckerberg était the place to be pour tous les ados et jeunes adultes.
Désormais, il a été déserté par la jeunesse et investi, du moins pour la partie visible de l'iceberg, par les plus vieux, notamment par certains réactionnaires, parfois agressifs et très vocaux, ceux qui sont désormais surnommés les «boomers».
Une tendance qui s'est dessinée au fil des ans, à mesure que d'autres réseaux sociaux ont pris de l'ampleur. Julia a pris ses fonctions en novembre 2018. En trois ans, elle a vu le profil des utilisateurs qui commentaient les publications de son média changer drastiquement et l'atmosphère de Facebook se vicier. «Avant, j'avais l'impression que c'était plus jeune, se souvient-elle. Maintenant, en regardant dans les profils, on a davantage de gens entre 34 et 45 ans, beaucoup d'hommes. Surtout, on a beaucoup de prises de positions réacs, dès qu'on parle de féminisme ou d'écologie par exemple, alors qu'on essaie de partager beaucoup de sujets porteurs et bienveillants.»
L'exode de la génération Z
Pourtant, le réseau social est toujours, et d'assez loin, le plus usité au monde, avec pas moins de 2,85 milliards d'utilisateurs mensuels. En France, ce sont 40 millions de visiteurs uniques qui se rendent sur Facebook tous les mois. Si ces chiffres bruts sont encore bons, les tendances sont plus alarmantes. Entre 2020 et 2021, le taux d'utilisation de Facebook parmi les internautes français n'a augmenté que de 1%, beaucoup moins que les autres réseaux sociaux majeurs (19% pour WhatsApp, 10% pour YouTube, 8% pour Instagram). Chez les jeunes, la tendance est même au recul. En 2017, 93% des internautes âgés de 16 à 25 ans utilisaient Facebook. En 2019, ils ne sont désormais plus que 61%.
Si Snapchat (de 82 à 74%) et Twitter (de 53 à 33%) ont également perdu des visiteurs sur cette tranche d'âge, aucun réseau n'a connu un tel exode. Plusieurs raisons peuvent expliquer ce désamour massif de la génération Z. Pour elle, d'autres réseaux sont devenus incontournables, progressant ces derniers semestres: Instagram (de 64 à 81%) et TikTok (de 4 à 10%). «Il y a un désintérêt, voire une ignorance de Facebook, éclaire Emmanuelle Patry, consultante en réseaux sociaux et fondatrice de Social Media Lab. Ce qui plaît aux jeunes, c'est l'usage 100% mobile, les réseaux beaucoup plus visuels et interactifs, où ils peuvent suivre leurs influenceurs.»
Les boomers arrivent à rebours sur les plateformes en vogue, aujourd'hui sur Facebook, demain sur Instagram.
Les réseaux axés sur l'image rencontrent donc un succès grandissant…d'autant que «les parents en sont souvent absents».
À l'inverse, les quadras et plus ont toujours eu un train de retard dans les usages numériques. «Facebook, ça leur convient parce que ça reste un site, pas qu'une application, on peut faire du texte, ils y sont plus à l'aise, poursuit Emmanuelle Patry. Il y a eu un bond de l'utilisation pour cette tranche d'âge-là, notamment pendant le confinement.»
Moins au fait des innovations sur le web, les baby-boomers arrivent à rebours sur les plateformes en vogue, aujourd'hui sur Facebook, demain sur Instagram. Si la tranche des 50 ans et plus est la moins représentée sur le réseau, elle est, d'assez loin, celle qui progresse le plus vite.
Environnement social
Si le public de Facebook a évolué en dix ans, il en va de même, inévitablement, pour les propos qui y sont tenus. Là où le réseau était initialement conçu pour échanger des nouvelles et des tranches de vie, il est vite devenu, comme les autres, une zone de partage d'informations et de débat politisé.
Selon la consultante, «les personnes aux opinions politiques fortement marquées ont tendance à beaucoup s'exprimer sur les réseaux, entre autres parce qu'il y a du texte. C'est devenu un vecteur pour diffuser ses idées et ça ne fait que s'accentuer, parce que ce sont des outils très puissants et qu'il y a peu de contrôle. On l'a très bien vu pendant la campagne de Trump avec les fake news et l'émergence de micro-influenceurs.»
Sur Facebook, plus qu'ailleurs, les idées en question sont souvent de droite, parfois carrément réactionnaires, un constat qui n'est sûrement pas décorrélé de son vieillissement, puisque historiquement les personnes âgées votent de manière plus conservatrice. Le constat est autant empirique que sourcé. Kevin Roose, journaliste pour le New York Times, tient un compte Twitter sur lequel il compile les dix posts Facebook les plus partagés chaque jour.
Parmi les noms qui reviennent régulièrement: Fox News, la chaîne d'information américaine en continu conservatrice, Sean Hannity, l'un de ses présentateurs, Ben Shapiro, journaliste et commentateur politique pro-Républicain, Dan Bongino, animateur radio et fervent supporter de Donald Trump, ou encore le pasteur Franklin Graham, lui aussi soutien de l'ancien président américain, favorable entre autres aux thérapies de conversion.
«Sur les réseaux sociaux, les modérés sont voués à s'effacer.»
Darren Lilleker, professeur de communication politique
En France, des statistiques de ce genre n'existent pas, mais les commentaires politiques tranchés sont aussi légion. «Voir d'autres personnes exprimer librement des visions relativement proches des leurs les incite à exprimer à leur tour ce qu'ils veulent. Cela contribue à rendre acceptables les idées extrêmes, expliquait en 2016 le professeur de communication politique Darren Lilleker dans une interview à L'Écho. Cela peut plus spécialement concerner ceux qui expriment des visions politiques typiques ou modérées, et qui peuvent très vite constater que les expressions d'idéologies politiques plus tranchantes, clivantes, tendent à prendre naturellement le dessus, à dominer le débat. Sur les réseaux sociaux, les modérés sont voués à s'effacer.»
De son côté, le chercheur Gianmarco De Francisci Morales avançait, dans une étude qu'il a menée en 2018, que «même quand on a au départ des opinions peu affirmées, plus on interagit avec son environnement social, plus celles-ci se renforcent».
«Une vision différente»
Cette métamorphose de la plateforme n'a pas l'air d'effrayer outre mesures ses actionnaires, qui ne changent pas leur fusil d'épaule. Au niveau de la modération, le réseau prend quelques décisions fortes, comme la suspension du compte de Donald Trump pour deux ans, en janvier dernier, la suppression de la page de Génération identitaire en 2018, ou la lutte annoncée contre les fake news, mais rien ne semblent indiquer une volonté de pacifier les débats.
«Une des choses dont on parle peu à l'intérieur de l'entreprise, c'est le fait que la communauté dont on s'occupe est, en moyenne, idéologiquement plus conservatrice que nos employés», expliquait Mark Zuckerberg, en 2020 lorsqu'il était interrogé sur l'influence de Jœl Kaplan, vice-président de Facebook et ancien conseiller de George Bush, dans les décisions de l'entreprise. «Si nous voulons servir ces gens correctement, il faut prendre en compte que nous avons une vision différente des choses et que, si quelqu'un n'est pas d'accord avec nous, ça ne veut pas dire qu'il tient des propos haineux ou malintentionnés…»
*Le prénom a été changé.
g2loq- Co-administrateur
- Messages : 22944
Date d'inscription : 29/04/2013
Age : 70
1er septembre
Déontologie et... Co----rie !
Florent Ferrière Le 01 Septembre 2021
Code de la route : quand la publicité automobile crée de fausses places de parking
Pour ne pas être épinglés, les constructeurs créent des places de stationnement insolites !
La publicité automobile est encadrée par de nombreuses règles. Il y a les contraintes législatives, mais aussi des aspects déontologiques. Ces derniers sont décrits par l'ARPP, l'autorité de régulation professionnelle de la publicité.
La plus connue des recommandations concerne la vitesse. Rien ne doit argumenter sur la vitesse, que ce soit dans le visuel, le sonore, les messages écrits. Autre domaine, qui a d'ailleurs suscité de nombreux débats ces dernières années : les équipements de sécurité active ne doivent pas être mis en scène en donnant à penser qu'ils permettent de transgresser les règles élémentaires de prudence qui s’imposent à tout conducteur.
Autre aspect très logique : le respect des règles du Code de la route. Ainsi, la publicité "ne doit pas mettre en scène, dans des conditions normales d’usage, des véhicules en contravention avec les règles du Code de la route ou les impératifs de sécurité". Impensable donc de voir un conducteur rouler sans sa ceinture, tourner sans clignotant, franchir une ligne blanche…
Pour éviter d'être épinglés, les constructeurs sont attentifs et jouent la carte de l'extrême prudence. On peut le voir sur un aspect précis du Code de la route : le stationnement. Regardez bien les pubs qui passent à la télévision, lorsqu'une voiture est à l'arrêt sur le domaine public, la marque veille à ce qu'elle soit bien sur une place dédiée au stationnement.
Cela semble évident quand la voiture évolue dans un univers urbain, avec des places aménagées qui semblent bien réelles. En revanche, dans une zone éloignée des parkings, le publicitaire invente une fausse place de parking ! Il y a ainsi une séparation visuelle au sol et un panneau mentionnant le "P" habituel.
Et cela donne parfois des mises en scène cocasses et peu crédibles, où l'on se retrouve avec une place de stationnement aménagée virtuellement dans un endroit inattendu. Exemple récent, la place en plein milieu de la forêt pour la Dacia Sandero !
g2loq- Co-administrateur
- Messages : 22944
Date d'inscription : 29/04/2013
Age : 70
Pollution, la théorie et la pratique
Parfois, je me demande quel monde on va laisser à Michel Drucker...
Caradisiac - Jean Savary Le 04 Octobre 2021
Billet d'humeur
Pollution, la théorie et la pratique
On peut bien durcir les normes Euro et inventer la vignette Crit’air, si les municipalités entretiennent les embouteillages pour réguler le trafic et si une partie des conducteurs « repolluent » leurs moteurs, le fond de l’air ne va pas s’éclaircir.
Je ne voudrais pas refaire mon dernier billet, mais la semaine dernière, je me suis rendu trois fois dans Paris à moto. Trois fois ma dose maxi et je le paie cher : depuis une énorme sinusite me tamponne le front avec, entre fièvre et Doliprane, les idées aussi claires que le smog parisien.
C’est que j’ai les sinus très sensibles aux hydrocarbures, un véritable avion renifleur à moi tout seul.
J’aurais pu prendre le métro, mais l’air chargé de particules des souterrains de la RATP – plus pollués que la surface – ne me réussit pas d’avantage et cela m’aurait pris le double de temps. Enfin, normalement.
Car « normalement » n’a plus cours quand on se déplace à Paris où, en cette rentrée, les embouteillages ont augmenté d’un bon quart. Officiellement, ce serait à cause de la fin du télétravail, mais personne n’y croit. Encore moins les très nombreux télétravailleurs…
Bref, dans l’effroyable capharnaüm qu’est notre capitale depuis que la barrière de travaux - sans travaux derrière, une invention municipale – tient lieu de régulateur du trafic, j’ai inhalé par demi-litres de l’essence imbrûlée.
Principalement celle de mes camarades d’interfile, à deux roues et à moteur. Il y a d’abord eu, porte de Champerret, un gars énervé sur sa BMW S1000 RR, tout aussi coincé que moi dans l’enchevêtrement mais lui, dans un genre moins fataliste. Dix bonnes minutes durant, il aura essayé de faire s’ouvrir les flots de tôle à grands coups de gaz. J’étais 50 cm derrière lui, moteur coupé, dans la trajectoire de son pot Akrapovic. Au feu suivant, je me suis faufilé à sa hauteur et lui ai demandé confirmation.
- Pardon, elle est décatalysée votre moto ?
- Ben oui.
- Et vous n’avez pas revu les réglages d’injection ?
- Ben non, pas la peine.
- Ben si, parce que là, elle est réglée beaucoup trop riche, ça pue l’essence à plein nez.
Silence, regard noir, le gars engage la première - klong - et décolle ses 200 « ch’vos » du bitume.
Sur sa bulle, la vignette violette Crit’air 1.
Interdits à Pékin et Bombay, autorisés à Paris.
À vue de nez – et ce n’est pas une figure de style – entre le cinquième et le quart des motos franciliennes, gros scooters compris, ont subi une ablation de leur catalyseur. Et le plus souvent, secret de polichinelle, dès la première révision dans l’atelier du concessionnaire, dix ans au moins que cela dure.
Même sans avoir mon talent particulier, pas besoin d’analyseur « cinq gaz », cela pourrait se vérifier en une minute d’un coup de sonde à trente euros dans le pot d’échappement. Mais j’imagine que cela outrepasse l’imagination ou la compétence technique des concepteurs de la vignette Crit’air. Et puis ça mettrait les motards en colère…
Mais le pire, ce sont les innombrables scooters de livreurs à moteur deux temps qui fument bien gras, des machins interdits à Pékin ou Bombay depuis deux décennies tant ils sont toxiques, mais qui reviennent en force chez nous. Même les ASVP de la préfecture de police en sont équipés, pour vous dire le sérieux de notre administration. Les traînées de ces fumigènes, je les renifle à cinquante ou cent mètres et parfois même, je les vois. Leurs conducteurs sont innocents, les coupables sont à la fois les constructeurs qui, pour écouler leurs moteurs 2T, les équipent de catalyseurs, un non-sens sur ce genre de mécanique. Et les législateurs qui feignent d’ignorer que ces dispositifs ne fonctionnent que le jour du test d’homologation puis, une fois colmatés par l’huile brûlée, évacuent les gaz en direct par un by-pass. D’accord, c’est moins raffiné que le logiciel truqué de VW, mais ça marche largement aussi bien - ça pollue peut-être même bien d’avantage - et le risque de sanction est nul.
Un billet de mauvaise humeur ?
Bref, je me tamponne une sinusite d’anthologie et au moment d’écrire ces lignes, j’hésite à demander à mon collègue Michel (Holtz, who else ?) de me remplacer pour cette livraison du lundi.
Plus rien ne m’intéresse ici-bas en dehors de mon prochain rendez-vous d’ORL.
Je sais, je devrais faire un billet sur la grande panne du marché automobile, l’attentisme de l’acheteur alimenté par l’incertitude réglementaire et technologique. Mais d’une certaine manière, le résultat de cette incertitude réglementaire et technologique, c’est lui qui me congestionne le lobe frontal et je ne suis pas d’humeur à écrire un billet d’humeur.
Ou alors un billet de mauvaise humeur…
Caradisiac - Jean Savary Le 04 Octobre 2021
Billet d'humeur
Pollution, la théorie et la pratique
On peut bien durcir les normes Euro et inventer la vignette Crit’air, si les municipalités entretiennent les embouteillages pour réguler le trafic et si une partie des conducteurs « repolluent » leurs moteurs, le fond de l’air ne va pas s’éclaircir.
Je ne voudrais pas refaire mon dernier billet, mais la semaine dernière, je me suis rendu trois fois dans Paris à moto. Trois fois ma dose maxi et je le paie cher : depuis une énorme sinusite me tamponne le front avec, entre fièvre et Doliprane, les idées aussi claires que le smog parisien.
C’est que j’ai les sinus très sensibles aux hydrocarbures, un véritable avion renifleur à moi tout seul.
J’aurais pu prendre le métro, mais l’air chargé de particules des souterrains de la RATP – plus pollués que la surface – ne me réussit pas d’avantage et cela m’aurait pris le double de temps. Enfin, normalement.
Car « normalement » n’a plus cours quand on se déplace à Paris où, en cette rentrée, les embouteillages ont augmenté d’un bon quart. Officiellement, ce serait à cause de la fin du télétravail, mais personne n’y croit. Encore moins les très nombreux télétravailleurs…
Bref, dans l’effroyable capharnaüm qu’est notre capitale depuis que la barrière de travaux - sans travaux derrière, une invention municipale – tient lieu de régulateur du trafic, j’ai inhalé par demi-litres de l’essence imbrûlée.
Principalement celle de mes camarades d’interfile, à deux roues et à moteur. Il y a d’abord eu, porte de Champerret, un gars énervé sur sa BMW S1000 RR, tout aussi coincé que moi dans l’enchevêtrement mais lui, dans un genre moins fataliste. Dix bonnes minutes durant, il aura essayé de faire s’ouvrir les flots de tôle à grands coups de gaz. J’étais 50 cm derrière lui, moteur coupé, dans la trajectoire de son pot Akrapovic. Au feu suivant, je me suis faufilé à sa hauteur et lui ai demandé confirmation.
- Pardon, elle est décatalysée votre moto ?
- Ben oui.
- Et vous n’avez pas revu les réglages d’injection ?
- Ben non, pas la peine.
- Ben si, parce que là, elle est réglée beaucoup trop riche, ça pue l’essence à plein nez.
Silence, regard noir, le gars engage la première - klong - et décolle ses 200 « ch’vos » du bitume.
Sur sa bulle, la vignette violette Crit’air 1.
Interdits à Pékin et Bombay, autorisés à Paris.
À vue de nez – et ce n’est pas une figure de style – entre le cinquième et le quart des motos franciliennes, gros scooters compris, ont subi une ablation de leur catalyseur. Et le plus souvent, secret de polichinelle, dès la première révision dans l’atelier du concessionnaire, dix ans au moins que cela dure.
Même sans avoir mon talent particulier, pas besoin d’analyseur « cinq gaz », cela pourrait se vérifier en une minute d’un coup de sonde à trente euros dans le pot d’échappement. Mais j’imagine que cela outrepasse l’imagination ou la compétence technique des concepteurs de la vignette Crit’air. Et puis ça mettrait les motards en colère…
Mais le pire, ce sont les innombrables scooters de livreurs à moteur deux temps qui fument bien gras, des machins interdits à Pékin ou Bombay depuis deux décennies tant ils sont toxiques, mais qui reviennent en force chez nous. Même les ASVP de la préfecture de police en sont équipés, pour vous dire le sérieux de notre administration. Les traînées de ces fumigènes, je les renifle à cinquante ou cent mètres et parfois même, je les vois. Leurs conducteurs sont innocents, les coupables sont à la fois les constructeurs qui, pour écouler leurs moteurs 2T, les équipent de catalyseurs, un non-sens sur ce genre de mécanique. Et les législateurs qui feignent d’ignorer que ces dispositifs ne fonctionnent que le jour du test d’homologation puis, une fois colmatés par l’huile brûlée, évacuent les gaz en direct par un by-pass. D’accord, c’est moins raffiné que le logiciel truqué de VW, mais ça marche largement aussi bien - ça pollue peut-être même bien d’avantage - et le risque de sanction est nul.
Un billet de mauvaise humeur ?
Bref, je me tamponne une sinusite d’anthologie et au moment d’écrire ces lignes, j’hésite à demander à mon collègue Michel (Holtz, who else ?) de me remplacer pour cette livraison du lundi.
Plus rien ne m’intéresse ici-bas en dehors de mon prochain rendez-vous d’ORL.
Je sais, je devrais faire un billet sur la grande panne du marché automobile, l’attentisme de l’acheteur alimenté par l’incertitude réglementaire et technologique. Mais d’une certaine manière, le résultat de cette incertitude réglementaire et technologique, c’est lui qui me congestionne le lobe frontal et je ne suis pas d’humeur à écrire un billet d’humeur.
Ou alors un billet de mauvaise humeur…
g2loq- Co-administrateur
- Messages : 22944
Date d'inscription : 29/04/2013
Age : 70
Page 8 sur 13 • 1, 2, 3 ... 7, 8, 9 ... 11, 12, 13
Sujets similaires
» Citations
» Une moto achetée en billets de cinéma
» Tout ce qu'il faut savoir sur le Bol d'Or 2018 au Castellet (14 au 16 septembre)
» Une moto achetée en billets de cinéma
» Tout ce qu'il faut savoir sur le Bol d'Or 2018 au Castellet (14 au 16 septembre)
Page 8 sur 13
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum