La GL Orangina: audio / full LEDs / angel eyes / feux trottoir / pare-brise électrique / TMPS / voltmètre...

Je vais dans ce post décrire les différentes modifications que j’ai apporté à GL…
 
Je ne reviendrai pas sur les (profondes) modifications apportées à mon système audio. Vous retrouverez tout ça en détails ICI
 
 Je vais commencer par tout ce qui est éclairage.
 
Phase 1 : Changement des ampoules codes et phares pour des modèles à LEDs.
 
Je ne vais pas débattre ici du pour ou contre des ampoules LEDs . Chacun y verra les avantages et inconvénients en fonction de ses propres goûts. Idem pour la question « légale », chacun prendra ses responsabilités…
A titre personnel, j’ai roulé pendant près d’une quinzaine d’années avec des kits HID dans mes optiques et je n’ai jamais eu de problèmes avec la maréchaussée (ni avec ceux que je croisais en face !). Et puis je préfère y voir clair la nuit et risquer une explication avec les forces de l’ordre si cela devait s’avérer nécessaire. Ma vie et celle de ma passagère vaut bien une « prune » éventuelle.
Le gain en contraste avec des LEDs est indéniable. La lumière est beaucoup plus blanche (~6000 °k). Ce type de lumière étant mieux réfléchie, les panneaux de signalisation ainsi que la signalisation au sol sont donc visibles de beaucoup plus loin. A contrario, en fonction de l’optique, ce gain peut être accompagné d’un élargissement du faisceau qui laisse penser que celui-ci porte moins loin. Tout est donc affaire de goûts, de préférences et aussi de budget.
 
La technique évoluant, je suis passé depuis plusieurs années sur des ampoules à LEDs . Il faut savoir que dans ce domaine, le meilleur côtoie le pire ! Il y a donc intérêt à faire bien attention à ce que l’on achète.
Dans un premier temps, j’ai voulu investir dans de la qualité (garantie de plus de 10 ans !) pour des modèles de chez Phillips.


Malheureusement, celles-ci se sont révélées impossibles à monter.
 
J’ai ensuite fait confiance à un vendeur spécialiste « incontournable » du net en lui achetant (très cher) 2 kits « spécial Goldwing » censés être 100% plug & play. Fiasco total… vous trouverez les détails ICI.
 
Il faut reconnaitre une chose : il m’a mis sur la piste d’adaptateurs d’ampoules dont je ne soupçonnais pas l’existence. Ceux-ci sont conçus pour, justement, pouvoir adapter des ampoules LEDs dans des optiques ayant une conception parfois particulière pour les culots d’ampoules. On en trouve facilement sur la Zone ou sur la Baie. J’ai donc acheté 4 entretoises pour équiper les 4 optiques :

Il faut les usiner un peu pour qu’elles s’adaptent parfaitement :
 

 
Côté ampoule, j’ai jeté mon dévolu sur un modèle que je connais bien puisqu’il a équipé mes 3 dernières voitures pour les feux de route (elles étaient toutes en HID pour les feux de croisement). Je les trouve sur la Zone. Elles sont équipées (comme beaucoup) d’un module extérieur de régulation du courant d’alimentation. Sans cette fonction primordiale, les LEDs surchauffent et finissent par cramer (c’est en général ce qui fait défaut aux modèles bas de gamme Made in china…).

Elles ont un gros avantage : le radiateur peut se dévisser du corps de l’ampoule. Phase OBLIGATOIRE pour pouvoir placer l’agrafe qui tient en place l’ampoule. On peut donc le dévisser totalement puis le remettre en place une fois l’ampoule mise en place.
 
Pour la pause, autant le dire tout de suite : si pour les feux de croisement il faut avoir des doigts de fée et un peu de dextérité, je ne vois pas comment poser les ampoules de feux de route sans déposer les parties gauche et droite du carénage intérieur. Vous voilà prévenus…
 
Comment on les installe :
Tout d’abord, on enlève l’ampoule d’origine.
 
On place ensuite l’ampoule LEDs sur laquelle on a dévissé le radiateur. En enfonce alors l’entretoise en plastique (on passe le faisceau de l’ampoule au travers) et on vient refermer le tout avec l’agrafe d’origine. Ici celle du feu de route gauche :
 
 Ensuite, il faut remettre le caoutchouc d’étanchéité. Mais au montage, celui-ci s’avère être trop profond. Alors il faut couper la « jupe » de retour au cutter.
 
 On met en place le caoutchouc. Puis on visse le radiateur par-dessus.

Il n’y a aucune crainte que celui-ci fasse fondre le caoutchouc avec la chaleur (au cas où certains se poseraient la question !). Le radiateur est là pour dissiper la chaleur et préserver ainsi les LEDs d’une surchauffe. Ce que ne craint pas une ampoule halogène. D’ailleurs, je n’ai jamais vérifié mais je ne suis pas certain qu’une ampoule LEDs chauffe plus qu’un modèle halogène…
 
Il faut savoir que ces ampoules déplacent le « point chaud » d’éclairage dans le phare. Une fois terminé, il convient donc de bien régler les optiques car moi, j’éclairais le plafond !
 
Il est toujours compliqué de rendre justice à un rendu d’éclairage. Mais je peux vous dire que cela « crache » !
 

 Orangina

Explication claire et précise   

BLACKBIRD38

et les bande blanche sur le dessus des phare tu a fait comment ?

guillaume692 a écrit:et les bande blanche sur le dessus des phare tu a fait comment ?

  J'y viens... tu as été plus rapide que moi !

Je voulais créer quelque chose d’original avec mes phares. J’avais bien vu sur « Ali » des modèles avec des Angel Eyes mais à plus de 700€ c’était hors de question !
 
J’ai donc regardé les choses existantes et il m’est venu une idée…
 
J’ai acheté 2 bandes LEDs comme celles-ci chez Ali :

Ce sont des bandes de 60 cms (elles peuvent être recoupées à la demande) qui sont pilotées par un petit boitier.

 
Elles sont en plastique, environ 5mm d’épaisseur et très souple (d’autant plus souple quand elles ont chauffé un peu).
 
Mais elles ont une particularité, elles fonctionnent également avec un mode séquentiel sur des LEDs jaunes. Les LEDs blanches s’éteignent alors, laissant place au jaune en mode « chenillard ». Une fois que le jaune n’est plus alimenté, l’éclairage blanc revient automatiquement.
  
Pour la pose, j’ai déposé le boomerang puis collé les bandes sur le dessus de chaque optique.
 

 
Comme les bandes descendent un peu plus bas que l’optique, j’ai opéré une petite découpe pour les laisser dans la partie inférieure du nez de carénage.
 

 
Pour le câblage, je me suis repris sur les veilleuses qui sont juste à côté et sur chacun des clignotants. Les modules ont été placés au double face entre les deux optiques. En mode éclairage, cela donne ça :
 

 
En mode clignotant, cela donne ça :
 

 
En mode warning,cela donne ça :
 



 
A suivre pour les autres montages…

donc je peut si je veux ne brancher que le mode blanc sur les veilleuses

guillaume692 a écrit:donc je peut si je veux ne brancher que le mode blanc sur les veilleuses

Tout à fait!
D'ailleurs, il existe plusieurs modèles avec différents éclairages:
Blanc/ jaune, rouge/jaune, Blanc fixe, Rouge fixe, etc...
Il suffit de choisir le modèle qui convient pour l'utilisation souhaitée.
Attention à ceux qui éclairent "bleuté" !

Il existe plusieurs longueurs. Sachant que certaines (dont celles que j'avais choisies) peuvent être recoupées tous les 3 cms pour s'adapter à la bonne longueur. Pour retrouver une étanchéité, j'ai coulé de "la résine UV" sur la tranche que j'ai coupée. Et comme je ne voulais rien voir d'autre que la bande, j'ai placé l'extrémité inférieure (qui ne s'allume pas) plus bas que l'optique. C'est ce qui m'a obligé à faire cette petite encoche dans le nez inférieur...

J’ai également souhaité changer toutes mes ampoules (clignotants, feux arrières, stop, plaque) par des modèles à LEDs.
Ayant conscience du problème de clignotements rapides avec les modèles à LEDs, j’ai donc choisi mes ampoules avec soin. J’ai pris ce modèle (chez Ali):

 Cette ampoule a le corps tout en aluminium est pèse bien plus lourd qu’une halogène classique. Elle est « garantie » sans erreur, blabla, blabla….

 
Une fois reçue, j’ai tout de suite mesuré la puissance consommée (c’est ce qui fait la vitesse de clignotement conjointement à la centrale) :
 
13.8v x 1.7A = 23,4w ce qui est légèrement supérieur à une ampoule halogène conventionnelle. Le clignotement aurait dû être (théoriquement) plus lent que la normale. Et bien lors des premiers essais, j’ai constaté exactement l’inverse ! sans être hyper rapide, le clignotement l’était bien plus… A ce stade, j’avais donc deux possibilités. Soit modifier la centrale d’origine, soit en acheter une spéciale LEDs (je n'avais aucune envie d'insérer dans le circuit des résistances "compensatrices" de forte puissance, qui ne servent à rien, si ce n'est dissiper une puissance inutile).
Finalement, j’ai opté pour une troisième solution ! J’en ai acheté une (chez Ali) dont la vitesse de clignotement est totalement indépendante de la charge mais surtout qui peut se régler en vitesse :

 Comme on peut le constater, le prix est modique. En tout cas, il justifie de ne pas chercher à bricoler quoi que ce soit sur la centrale d’origine !
Pour le montage, cela oblige à la dépose du boomerang, du pare-brise, de la plaque de protection. Il n’y a rien de compliqué là-dedans, c’est juste du temps à passer… Elle est alors placée sous cette barre :


 
On peut la décrocher de son support :


 
Avant de la débrancher, j’ai fait quelques mesures pour repérer le brochage :

 
 la centrale de remplacement :


 
On retrouve la correspondance pour le branchement :

 
J’ai soudé un connecteur type hitachi (comme l’origine) sur le faisceau afin que celui-ci s’adapte parfaitement :

 
Comme elle n’est pas identique à l’origine, je n’ai pas pu l’installer à son emplacement. Je l’ai donc fixée solidement à l’aide de Colson afin qu’elle ne bouge pas et aussi (et surtout) que le réglage de vitesse soit facilement accessible :

 
J’ai ensuite posée 2 ampoules LEDs pour tester et régler la vitesse de clignotements. La puissance d’éclairage est nettement supérieure aux ampoules halogènes d’origine (LEDs à gauche sur la photo). La vitesse d’éclairement est également aussi beaucoup plus rapide car avec mon APN et en mode warning, j’ai réussi à faire des clichés avec seulement l’ampoule LEDs allumée avant que l’halogène s’illumine ! Ce qui se vérifie d’ailleurs à l’œil nu. On ne constate pas de phénomène de latence :

 
LEDs à droite ici :

 
A suivre...

Encore une fois très bôôô taf Pascal.....................

Suzu'Kid a écrit:Encore une fois très bôôô taf Pascal.....................

Venant de toi Didier (Roi de la modif), je prends cela comme un vrai compliment ! 

La suite des modifications concernant mes ampoules d’éclairage…
 
J’ai monté des ampoules LEDs pour les feux arrière. Aussi curieusement que cela puisse paraitre, Honda a fait le choix de ne pas profiter de la capacité maximale d’éclairage. Chacun sait que lors de l’appui sur le frein, seules 2 ampoules sur 4 envoient le message lumineux correspondant. C’est quelque chose que je modifierai dans le futur mais que faute de temps je n’ai pas encore fait.
 
J’ai donc commandé des ampoules permettant les 2 fonctions (lumière + stop).
Chez « Ali », j’ai commandé ces modèles (le culot est identique, elles sont 100% plug & play) :
 
 
A la réception, ces ampoules semblent de bonne facture. L’aluminium est plus présent que le plastique contrairement aux modèles moins onéreux. Cela devrait à priori favoriser la longévité…
 
J’ai tout de suite mesuré les consommations. En mode "feu simple" cette ampoule consomme 85mA :

 
Ce qui est très peu car cela revient à peine à 1w consommé (mon alimentation stabilisée délivre 13.8v). Autant dire qu’en conduite normale, ce ne sont pas les 4w des feux arrière qui vont surcharger l’alternateur !
Tant mieux, cela compensera en partie le courant consommé par mon ampli audio…
 
En mode stop, la consommation est bien plus élevée mais reste très contenue : 350mA

 
Ce qui revient à un peu moins de 5w. 2x5w au lieu de 2x21w ! 30w de gagné pour l'alternateur...
Et le niveau d’éclairage fourni est bien plus élevé que sur les ampoules à incandescence.
Ici, les ampoules sont d’origine sur la gauche et LEDs sur la droite. Illumination en feux de route :

 
La différence est particulièrement frappante sans que ce soit aveuglant pour autant.
En mode stop :

 
Là aussi, la différence entre halogène et LEDs est frappante…
Sur le côté droit, on pourrait croire que les 2 ampoules éclairent en stop mais il n’en est rien. La différence est là, même si l’APN ne lui rend pas justice. Par contre, en mode stop, cela doit attirer encore plus l’attention du conducteur suivant (ce qui était un peu le but…).
Je ferai un complément d’article quand j’aurai câblé les 4 ampoules pour le mode stop (plus celles des valises !).
 
Maintenant question budget, j’ai dépensé moins de 50€ (centrale de clignotants incluse) pour équiper les 4 clignotants et les feux arrière. Sachant qu’un kit sensiblement équivalent est vendu près de 300€, l’économie est plus que substantielle...

Montage de mes feux de trottoir…
 
Je trouvais sympa l’idée de ces petits feux de "positionnement". Par contre, il était hors de question pour moi de dépenser 250€ (voire plus) pour des feux dont l’utilité reste très discutable !
J’ai donc étudié la question, pesé les "pour ou contre" et fait mes choix définitifs.
 
Sur la zone, j’ai donc acheté ces modèles-ci :

Je les avais déjà vu chez "Ali" mais j’ai préféré autant commander sur la zone. Ce qui permet de renvoyer facilement le produit en cas d’insatisfaction. J’avais également déjà ainsi pu voir les avis de certains clients.
A la réception, je les ai testés pour voir si le rendu me plaisait. Je trouve le côté "angel eye" vraiment sympa car très lumineux et très blanc. Cela se marie à merveille avec les angel eyes de mes phares. Par contre, le côté éclairage "feux de trottoir" m’a laissé plutôt… dubitatif !

Devant les LEDs (qui sont au nombre de 4, vérification faite après désassemblage des phares), il y a 2 sortes de lentilles qui font un effet loupe. A l’essai, le faisceau est large mais très, très étroit en hauteur !
Je dirais qu’il ne dépasse pas 1m de hauteur d’éclairement à une distance d’une dizaine de mètre de distance (je n’ai pas de photos, je ne manquerai pas d’en faire dès que l’occasion se présentera).
Théoriquement, si le faisceau est moins diffus en hauteur, il devrait être plus concentré en puissance. Théoriquement…
Maintenant, la puissance étant très limitée, il ne faut pas attendre grand-chose d’un tel produit. En tout cas, ce n’était pas mon but.
 
Côté conception, le boitier est en alliage d’aluminium ce qui assurera un refroidissement efficace des LEDs (qui sont fixées dessus dans le fond du boitier). L’optique et les lentilles sont en plastique.
 
Je me suis longtemps posé la question de la pose… reprendre les fixations d’origine… acheter un kit de fixation spécifique (plusieurs fois le prix des phares)… trouver une toute autre solution… ?
 
Finalement, après réflexion, j’ai décidé de faire au plus simple : j’ai percé un trou dans la partie haute du sabot pour fixer l’étrier de chaque phare. Les hauteurs correspondaient, cela m’arrangeait fortement…
De plus, j’avais déjà acheté sur "la baie" un kit de vis de carénage en version titane. Elles sont d’une jolie finition gris brillant.

Je les ai utilisées pour remplacer avantageusement celles d’origine. Au final, je suis certain que seul l’amateur éclairé remarquera la présence de cette tête de vis plate qui n’est pas là habituellement…


Pour le montage, il faut déposer le sabot et faire sauter les « bouchons » présents à l’endroit des phares. Pour se faire, j’ai utilisé une Dremel.


 

J’ai ensuite repéré le milieu de l’emplacement. J’ai fabriqué une rondelle en caoutchouc correspondant au diamètre de l’étrier de fixation du phare afin que, une fois serré, celui-ci puisse être ajusté mais qu’il ne tourne pas de lui-même…

 
Pour l’alimentation, j’ai beaucoup réfléchi. Une chose me chiffonne depuis le début que je possède cette moto : c’est que pour avoir un minimum d’éclairage à l’avant, on est obligé de mettre le contact, donc d’avoir tous les systèmes d’éclairages allumés ainsi que tous les consommateurs de la moto. Même en position ACC, rien ne s’allume à l’avant de la moto pour signaler sa présence. C’est TOUT ou RIEN !
J’ai raccordé le contact d’un relais automobile 1RT au +12v ACC (donc après contact). En position ON ou ACC du contacteur de clé, la bobine du relais n’est pas alimentée. Le courant passe simplement par le contact "repos" du relais : les angel eyes s’allument. Ce qui m’apporte un éclairage de présence à l’avant dès que je suis sur la position ACC mais aussi sur ON.
 
En feux de route, j’alimente la bobine du relais (j’ai tiré un fil depuis les pleins phares jusqu’à la bobine du relais), le relais colle, son contact bascule et le circuit "travail" coupe les angel eyes et alimente alors les feux de trottoir. Ayant une confiance limitée dans le matos chinois, je voulais éviter les surchauffes. Je souhaitais donc ne pas alimenter angel-eyes et feux de trottoir en même temps.
Toutefois, je souhaitais également avoir la possibilité de couper l’éclairage des angel eyes et/ou des feux de trottoir. Je ne souhaitais pas investir plusieurs dizaines d’euros dans un bloc qui se pose sur les réservoirs de Lockheed. Et je souhaitais quelque chose de plus permanent (que je n’ai pas besoin de démonter lors des intervention d’entretien). J’ai donc passé le circuit par deux interrupteurs sur un bloc de trois que j’ai commandé chez "Ali".

 
J’ai installé la version orientée à droite que j’ai fixé sur le support de maitre-cylindre d’embrayage. Les inter "courent" ainsi le long du câblage d'origine. De toutes façons, le L formé par la platine en acier inox n'est pas assez longue d'origine pour que celle-ci puisse passer sous la commodo de gauche.

 
Les boutons sont illuminés par un anneau de couleur (bleu ou rouge) sur le pourtour…

J’ai juste modifié le câble propre des interrupteurs pour que ceux-ci ne s’illuminent que lorsque la fonction est commandée et non pas en permanence.
 
 
Résumons :
- J’ai 2 inter qui permettent de couper l’alimentation indépendamment des feux ou des angel-eyes.
- En feux de croisement : les angel eyes sont allumés (ou coupés via leur inter).
- En feux de route : les angel eyes s’éteignent, les feux de trottoir s’allument (idem lors d’un appel de phare). Ou alors tout est éteint via l’inter des feux de trottoir.
- En position ACC du contacteur de clé : les angel eyes sont allumés (ou coupés via leur inter).
 
Voilà ce que cela donne au niveau Angel Eyes :

 
Pour les feux de trottoir :

 
Quand j’aurai l’occasion, je ferai des photos de nuit (même si je doute que cela apporte grand-chose…).

g2loq a écrit:

Chiche !

Montage d’une bavette avant.
 
A l’achat de ma moto, j’avais tout de suite compris que le montage d’une bavette avant s’avèrerait très vite nécessaire si je ne voulais pas continuer de "pourrir" le carter moteur avant. Ce dernier était déjà rempli d’impacts et de tâches de goudron diverses…
 
J’ai lu avec intérêt les différents post sur le sujet. Et je me suis ensuite intéressé sur les modèles existants. Le moins que l’on puisse dire est que le prix de vente de "ce morceau" est parfois prohibitif (près de 100€ !).
 
J’avais déjà monté une bavette en carbone sur mon GTR1400. J’ai donc fouillé et trouvé la même chose sur la baie pour ma GL…
 
 
D’une finition parfaite, elle est d’un poids plume !

 
Pour l’installer, j’ai préféré déposer la partie arrière du garde-boue. La bavette possède une forme qui épouse le garde-boue. Mais une fois celle-ci présentée, je la trouvais trop près de la roue. A mon sens, elle risquait de venir lécher d'éventuels cailloux. J’ai donc d’abord percé un trou en ayant déterminé le milieu,

 
 puis j’ai ensuite orienté ma bavette avant de déterminer l’angle qui me convenait le mieux. J’ai ensuite percé 2 petits trous sur les côtés.

 
J’ai utilisé des écrous borgnes pour l’extérieur, les vis inox les plus petites en diamètre que j’avais et avec une tête plate. Puis placé des rondelles sous les têtes de vis et écrous. J’ai placé du frein filet pour éviter que les écrous ne se desserrent. En carbone, je n’ai aucune appréhension quant à la solidité…

 
Afin d’éviter les coulures de boue entre le garde boue et la bavette, j’ai ensuite coulé un ruban de colle entre les 2 parties pour que l’eau de pluie ne s’infiltre pas.

 
Résultat :

 
On voit que la bavette descend bien plus bas que le sabot (je ferai attention en descendant les trottoirs):

 
 
L’espace entre le pneu et la bavette est suffisant :

Pose d’un tableau porte fusibles…
 
Compte-tenu du nombre important d’ajouts électrique que j’avais à faire, il me fallait protéger tout ça.
La GL comporte bien un fusible accessoire dans son tableau d’origine. Mais ses possibilités sont très réduites : 5A max sur le faisceau + une seule sortie sur de petites cosses.
Il était donc impératif que j’installe un tableau porte fusibles quelque part.
 
J’avais déjà déterminé qu’un tableau à une dizaine d’emplacements semblait assez adapté à mes besoins.
J’ai donc trouvé sur "la baie" ce type de tableau :


Il comporte 12 emplacements mais surtout, il comporte 2 points généraux d'alimentation (+12v et masse). Ce qui évite d’avoir souvent des cosses reprises un peu partout sur le cadre pour la masse !
En plus, il possède un capot qui le recouvre entièrement ce qui réduit les risques de court-circuit avec les éléments environnants. Une LED rouge est également présente sur chaque circuit. Elle s’allume lors du claquage du fusible. Cela permet de repérer rapidement un circuit en défaut.
 
J’ai longtemps cherché où placer ce tableau. Il faut avouer que la place est comptée sur nos GL !
Alors à force de tourner le problème dans tous les sens, j’en suis arrivé aux conclusions suivantes :
- Le tableau sert à protéger le circuit de la moto. Si tout va bien, il n’est donc pas prévu d’intervenir dessus. En toute logique on ne devrait même jamais avoir à intervenir dessus.
- Un fusible grillé implique forcément un problème à régler. Dans 99% des cas, cela demandera investigations, donc dépose de certains éléments. Il n’est donc pas question de faire ces opérations sur le bord de la route.
- Il ne s’avère donc pas forcément nécessaire de laisser cet élément à portée immédiate des mains.
 
J’ai donc au départ pensé placer cet élément sous la selle. Mais force est de constater que là aussi, la place est très comptée. Je me suis dit qu’au final, le seul espace qui me restait était ce petit logement qui se trouve au-dessus du garde-boue arrière, sous la partie top case. On y a accès en déposant la partie arrière.

 
L’idée peut paraitre saugrenue au départ mais finalement, il y a 4 vis à enlever pour déposer la selle et seulement 1 de plus pour déposer la partie arrière supportant la plaque minéralogique !
Le seul problème est que la vis centrale (empreinte BTR comme toutes les autres) placée derrière la plaque est particulièrement difficile à enlever. Qu’à cela ne tienne, je l’ai remplacé par un boulon à tête hexagonale. Il peut ainsi être facilement présenté à la main sous la plaque d’immatriculation. Pour le serrer ou le desserrer, j’utilise une clé plate à cliquet comme celles-ci :

 
Pour placer mon tableau de fusibles, je lui ai fait un petit nid douillet. J’ai d’abord nettoyé l’emplacement avec une bombe de nettoyant frein (produit que j’utilise souvent pour nettoyer et dégraisser). J’ai ensuite pulvérisé de la mousse polyuréthane expansée dans tous les interstices pour limiter les remontées d’eau. Je n’ai pas cherché à rendre quoi que ce soit étanche (je ne cherchais pas à faire un sous-marin !) mais simplement à limiter les remontées de poussières ou autre.

 
J’ai ensuite enlevé le surplus



Pour alimenter le porte fusibles, j’ai utilisé l’emplacement d’accessoires du tableau d’origine. Je lui ai fait commander un relais que j’ai placé sous la selle. Celui-ci va chercher l’alimentation de son contact "travail" directement sur la batterie moyennant un porte-fusible volant et un fusible de 10A. La masse a été reprise directement sur la batterie. La section du câble d’alimentation est de 2,5mm2.

 
Peut alors commencer le câblage qui alimente chacun des accessoires que j’ai eus à alimenter. Les fils peuvent passer sous la selle puis sous le top case. Il y a environ 1cm d'espace entre le bord du top case et le garde boue. Le tout est raccordé avec des cosses soudées.




Il s’agit de bien penser à organiser le faisceau pour pouvoir remettre le couvercle en place et pouvoir mettre le porte fusibles dans son logement.


 
Une fois tout réorganisé, tout peut trouver sa place.

Sacré boulot que tu fais là... saches que la boite passait sous la selle, juste devant le boitier des relais. 

Didou57 a écrit:

Sacré boulot que tu fais là... saches que la boite passait sous la selle, juste devant le boitier des relais. 

Salut Didou,

J’ai essayé de placer le bloc sous la selle à différents endroits. Mais quand je m’asseyais sur la selle, j’entendais un claquement et je retrouvais le capot de protection enfoncé sur le corps du porte fusibles. Il devait manquer 3 ou 4 mm. Trop haut... pas de bol...
Mais finalement, et compte tenu de ce que j’ai dit à propos des interventions à (ne pas) faire dessus, finalement, je le trouve parfait à l’emplacement où je l’ai mis....

,

je reste pantois devant toutes ces modifications et la connaissance de tous ces accessoires  

Comme Filip! J’en tombe de c..! 
Chapeau!

Orangina38 a écrit:Pose d’un tableau porte fusibles…
Pour placer mon tableau de fusibles, je lui ai fait un petit nid douillet. J’ai d’abord nettoyé l’emplacement avec une bombe de nettoyant frein (produit que j’utilise souvent pour nettoyer et dégraisser). J’ai ensuite pulvérisé de la mousse polyuréthane expansée dans tous les interstices pour limiter les remontées d’eau. Je n’ai pas cherché à rendre quoi que ce soit étanche (je ne cherchais pas à faire un sous-marin !) mais simplement à limiter les remontées de poussières ou autre.

 

J'avais placé, à cet endroit, un boitier électrique étanche dans lequel j'avais installé 2 relais (pour verrouillage et déverrouillage du coffre avec la télécommande de mon alarme). Les fils entrants dans ce boitier passaient par un presse étoupe étanche que j'avais enduit de silicone, j'ai également mis du silicones sur les fixations ainsi qu'autour du couvercle qui comprenait déjà un joint.
Après quelques mois d'utilisation ça ne fonctionnait plus, quand j'ai ouvert le boitier étanche il y avait de l'eau, l'eau avait réussi à s'infiltrer (je ne sais pas comment) mais n'a pas pu ressortir ce qui a grillé mes relais.
Par la suite j'ai supprimé ce boitier et j'ai installé mes relais sous la selle sans autre protection ni boitier et cela fonctionne depuis 10 ans maintenant.

Sur les Goldwing de 2001 à 2005, Honda avait installé le module de commande de l'ABS à cet emplacement et bizarrement à partir de 2006 ce module à été déplacé près du boitier du filtre à air.

J'ai également installé un boitier de connexion électrique, que j'ai acheté chez Cyclemax, à côté de la batterie.

Ce genre de boitier de connexion

Salut Pascal
J'ai l'impression de voir mon post mais pour 1800, ampoules a leds, bavette garde boue, feux de trottoir......
Tu vas finir avec autant de câblage que sur mon 1500, fais gaffe.........
Par contre tes deux de trottoir sont superbes avec ce tour qui s'éclaire j'adore........

à tous,
 
Je viens remettre quelques news concernant ma monture. Je vais faire une présentation du pare-brise électrique que j’ai monté.
Chacun juge de l’utilité (ou pas) d’un tel appendice en fonction de ses souhaits, de ses habitudes et/ou de son budget (car il a une « certaine » importance ici, je ne pourrais le nier). Comme la climatisation de nos autos, le régulateur de vitesse, la mise en route des essuie-glaces ou de la lumière (pour ne citer que ceux-là) ou la musique sur une Gold, certains conducteurs jugeront ces options totalement futiles alors que d’autres mettront ces avancées technologiques sur le compte d’un confort bienvenu.
Pour revenir au pare-brise il est bien évident que votre ligne de visée n’est pas du tout la même si vous roulez à 20km/h dans les épingles du Vercors ou à 130 sur une autoroute !
Après environ 1500kms parcouru, avoir baissé le pare-brise au plus bas dans les épingles, l’avoir mis à mi-hauteur sur les parcours autoroutiers et à sa hauteur maxi lors des "petits frais", je dois avouer que j’aurai du mal maintenant à me passer de cet accessoire.
A titre personnel, je roule depuis maintenant 1992 uniquement sur des motos ayant eu des bulles ou des pare-brise électriques. J’y ai toujours trouvé un côté pratique inégalable. Il faut dire que j’ai horreur de conduire avec une « pelle à tarte » comme écran devant les yeux. Sauf cas exceptionnel, j’apprécie toujours de pouvoir avoir ma ligne de vision au-dessus du pare-brise. Et le parcours de descente depuis la région Parisienne (durant lequel j’ai eu l’occasion de me frotter à la neige, voir mon profil de présentation…) n’a fait que confirmer cela.
Après, il est clair que lorsque l’on dispose de quelque chose, on s’en sert. Forcément…
A contrario, quand on n’en dispose pas et bien… on apprend à faire "sans" et on n’en voit pas forcément l’utilité !
En conclusion, à titre perso, je suis totalement convaincu et je ne veux SURTOUT pas alimenter un quelconque débat sur "l’utile ou pas" de cet accessoire…
 
Passons au cahier des charges que je m’étais fixé :
- un pare-brise réglable électriquement.
- quelque chose de fiable (donc le moins compliqué possible).
- quelque chose de pratique.
- quelque chose d’assez esthétique (ou du moins, le moins laid possible !  ).
 
J’ai parcouru le web en long, large et travers ainsi que le forum avec une grande attention. J’en ai déduis que (malheureusement), le choix était très limité et les prix forcément élevés (tout ce qui est rare est cher…).
 
Je me suis donc penché sur le pare-brise de chez Ergomot.

Je dois avouer qu’il avait pour lui un atout certain : sa parfaite intégration sur la moto !
Je lui trouvais par contre, deux défauts :
- une complexité certaine à l’assemblage et au réglage de tous ces petits éléments en mouvement.


- une plage de réglage "limitée" à 10cms. Vous me direz que c’est "comme d’origine". Certes, mais cela restera encore très loin de l’amplitude de réglage de mon GTR qui elle s’avère très pratique avec mon MRA X-creen !
Et puis, il a eu surtout à mes yeux un défaut totalement rédhibitoire…
En parcourant le site du fabricant, on peut lire ceci :


Il faut bien faire attention au petit astérisque qui renvoi à un texte que je trouve particulièrement insidieux :




"En Français dans le texte", le fabricant conseille de changer les moteurs électriques tous les 10 000kms ou au moins une fois par an ! Question fiabilité, ma confiance dans ce produit venait d’en prendre un sacré coup !
Juste pour le "fun", je suis tout de même allé voir si les moteurs se vendaient au détail et à quel prix. Et là, gloups… on découvre ça :


119€ le moteur !!! à multiplier par deux (puisqu’il y en a deux) et ça tous les ans ???? On nage en plein délire…


Evidemment, je suis certain que les possesseurs de ce type de pare-brise n’ont jamais changé ces moteurs. Mais j’ai tiré ma propre conclusion : le fabricant sait que ses moteurs sont les points faibles de son produit…
De plus, en parcourant la rubrique « installation » du site, on tombe sur ce petit morceau de choix :




En gros, si vous roulez au dessus de 120km/h, vous ne devez plus utiliser la commande électrique au risque de détériorer les moteurs ! Cela n’a fait que confirmer ma propre conclusion…
J’avoue donc que pour ce produit, j’ai été particulièrement refroidi !

Je me suis donc tourné vers un autre fabricant et je suis allé voir par ici.

Il s’agit d’un pare-brise qui a déjà été présenté brièvement dans un autre post. Le principe est très différent du premier puisque là, on part d’une « base fixe » qui prend lieu et place du pare-brise d’origine sur laquelle vient glisser mécaniquement ou électriquement la partie supérieure (en fonction de l’option choisie). La possibilité de réglage initiale de 10 cms est conservée et s’ajoute alors le déplacement de la partie haute qui glisse elle aussi sur une plage de 10cms. Ce qui permet une amplitude totale de réglage de 20 cms !
De quoi subvenir sans problème à tous les scénarios possibles…
Côté esthétique, j’avoue… ce n’est pas la meilleure intégration qui soit et on est très loin du concept du premier modèle Ergomot. On voit les glissières, le moteur électrique est apparent. On est donc clairement plus dans le côté pratique qu’esthétique et je comprendrai ceux qui trouvent cela très laid !
De conception, il existe 2 modèles distincts :
- un (le HP) avec lequel il est prévu de voir par-dessus (celui que j’ai choisi).
- Un (le ST) qui est plus grand et plutôt conçu pour voir au travers.

Si la hauteur de base reste toujours la même, il existe 4 hauteurs possibles ainsi que trois teintes différentes pour la partie supérieure, on arrive à un nombre important de combinaisons possibles…
« Martin », le patron est super sympa et si vous n’êtes pas rebuté avec l’Anglais, il saura répondre à toutes vos interrogations et patiemment trouvera LA solution qui vous convient le mieux en fonction de vos préférences et de votre morphologie.
On peut voir quelques exemples de réalisations.

A titre personnel, j’ai choisi un "HP11" soit le modèle le plus court, avec une base "dark" et la partie supérieure en "tinted".

L’assemblage est très simple pour qui est un minimum bricoleur. Pour ceux qui prennent l’option électrique, tout le câblage est fourni et aucune modification de la moto n’est (normalement) nécessaire.
La base est à mettre en lieu et place du pare-brise initial :


Petite combine pour l’écrou qui tient le boomerang et qui a tendance à vouloir tomber dans le fond du carénage lors du vissage ou dévissage. J’utilise un aimant télescopique qui me permet d’amorcer les premiers filets (ou de desserrer les derniers filets) sans risquer de voir tomber l’écrou :


L’interrupteur qui sert à la montée ou la descente est un modèle avec un point "repos" au milieu et un contact travail temporaire de chaque côté :


Moyennant un travail de patience et de minutie, j’ai placé l’interrupteur de commande dans la partie du satellite supérieur du commodo gauche. Il est donc manipulable d’un simple mouvement de l’index gauche. Pour le rendre étanche à la pluie, j’ai collé dessus un capuchon en caoutchouc (j’ai appris à mes dépends que même le pas de vis des interrupteurs est au format US et non métrique !)  :




J’avoue que le passage d’origine du câble d’alimentation du moteur, tel qu’il est décrit dans la notice de montage ne me convenait pas. J’ai donc soudé un autre connecteur 2 plots et allongé le faisceau pour le passer différemment. Les trous de fixation du moteur sont à faire soi-même en fonction des différentes hauteurs (minimales et maximales) désirées. Cela se perce très facilement et le forêt est même fourni… :


J’ai fait une série de clichés pour voir ce que cela donnait une fois le tout assemblé "à mes mesures". L’appareil photo a été placé sur un pied et n’a pas bougé sur les 4 clichés. Il a été placé bien à l’horizontal de ma ligne de visée qui se trouve être la hauteur maxi du pare-brise avec la base en position basse. Ces photos permettent ainsi de voir de quelles amplitudes on dispose (pour info, je mesure 1m84). Le premier cliché a été fait avec la base et la partie électrique en position basse. C’est cette position que je privilégie à basse vitesse, en ville, pour prendre les épingles de montagne, les routes à enchainement de virages ou bien simplement pour avoir un peu d’air (surtout lorsque les températures sont au plus chaud !). Dans cette position, à 80km/h, je récupère le vent au milieu du visage environ. Ce qui montre l’efficacité de la déflection de l’air :


Base en position basse, partie électrique en position haute. A 80 km/h, j’ai alors l’air qui vient lécher le haut de mon casque mais je vois toujours bien au dessus. De l’avis de ma passagère, elle n’a strictement aucun remous qui vient la gêner :


Base en position haute, partie électrique en position basse (la hauteur correspond à la position précédente mais la plage de réglage va être différente). Je n’ai encore jamais essayé cette position mais le résultat devrait être similaire à la précédente :


Base en position haute, partie électrique en position haute. Je vois alors au travers du haut du pare-brise. Je n’ai pas la moindre idée de ce que cela donne en roulant! Vous vous rappelez tout de même à ce moment que j’ai choisi le modèle de pare-brise le plus court… :

 
Avec le confinement, je n’avais pas eu l’occasion de tester ce pare-brise. Depuis nous avons effectué plus d’un millier de kms de ballade. Ma passagère et moi sommes ravis de cet accessoire. Son côté pratique est indéniable (mais ce n’est QUE mon avis !!!). Son côté esthétique est discutable et peut "heurter", j’en conviens… mais il y a longtemps que j’ai choisi entre l’esthétique et le côté pratique ou le confort !
Or contexte, cet appendice peut paraitre "étrange" (en tout cas peu commun) au premier abord. Mais finalement, je trouve qu'il ne s'intègre pas si mal...


Le pare-brise obéit au doigt et à l’œil. Je peux le manipuler sans problème, même sur autoroute, sans avoir l’impression que le moteur ralenti ou force d’une quelconque manière (il faut dire qu’avec cette conception, il n’a "que" la moitié du pare-brise à faire monter ou descendre).
Pour ce qui est du tarif, j’ai profité d’un pare-brise "2^e main" (car Martin propose même l’essai de ses pare-brise en local). Il était en état neuf mais j’ai ainsi pu profiter d’une petite réduction. Le tout, avec transport, payé par paypal (donc assuré) et frais de douane m’est revenu à un peu moins de 1000$. Certes, c’est une somme plutôt importante. Mais pour moi, il s’agit d’un excellent investissement sur lequel j’avais déjà pris quelques renseignements avant même que je devienne propriétaire de ma GL. Comme quoi, cela me tenait vraiment à cœur…

Pour moi cet accessoire rempli parfaitement son rôle et m’apporte un confort de conduite indéniable !

jadore te lire et tes bricolages!!

well done sir!