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au bar avec un verre, ou deux, ou trois...
Bon ça y est, on y est! mais quelle bande de cons on était . Non mais vous l'avez vu notre nouveau Président? Quelle allure, quelle prestance, comme il était beau ce matin à l'Arc de Triomphe . 39 ans et toutes ses dents, toujours le sourire... Et l'autre à côté qui semblait ne pas avoir encore compris comment ça se passe après 5 ans dans le costard de Président . Par contre Manu dans son manteau trois quart c'est autre chose. Je revois encore avec émotion son recueillement les yeux fermés pendant le chant des partisans. Ah mais qu'est ce qu'on a foutu avec nos votes blancs ou FN. Quelle erreur, il aurait pu obtenir facile 98% des voix si on n'avait pas déconné. Là franchement ça ne le fait pas, qu'elle idée d'aller donner un bulletin à la blondasse de Bretonnie. Ah y'en a qui doivent regretter d'être allé à la pêche ( en plus il ne faisait pas beau ). Et sa femme à Manu, vous avez vu sa femme? Elle est canon Birgitt pour ses 83 ans. Pas comme les boudins précédents, les Trierweller ou autre Attias. Même l'ancienne starlette Bruni ne fait pas le poids. Non vraiment on a été bien trompé dans cette campagne, je ne suis pas prêt de refaire les mêmes erreurs. Tiens, encore une preuve? Ce matin sur une chaîne y'avait Gattaz ( nous on l'appelle Pierrot ), et bien lui aussi il était content, ça veut tout dire non? Le pauvre il mouillait ses Pampers au premier tour quand tous les jours les sondages voyaient Mélenchon monter. Mais bon, là ça va il s'est bien requinqué. Sûr que là enfin on va vivre une époque formidable .
Vive la République. Vive la France!
Vive la République. Vive la France!
kuczynski- Membre incontournable !
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g2loq- Co-administrateur
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Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
kuczynski a écrit: Et sa femme à Manu, vous avez vu sa femme? Elle est canon Birgitt pour ses 83 ans. Pas comme les boudins précédents, les Trierweller ou autre Attias. Même l'ancienne starlette Bruni ne fait pas le poids.
Quoi ma gueule qu'est ce quelle a ma gueule ?
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Jac
jacgl67- Membre incontournable !
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Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Ben à force de fréquenter les phoques
kuczynski- Membre incontournable !
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Billets d'humeur / Billets d'humour
Copier/coller, trouvé ailleurs et dans le même sens :
« Panurge est de retour
Les vieilles histoires ne meurent jamais. Les grandes tragédies reviennent sur le devant de la scène sans qu’on y prenne garde. Le bon peuple, toujours aussi réfractaire aux leçons du passé, se laisse berner par les magiciens et les illusionnistes. Cette fois, il est vraiment gâté : il y a, d’un côté, un prestidigitateur magnifique qui a transformé sa baguette magique en bâton de berger, et de l’autre, la vilaine sirène qui ne cesse de se faire aimable pour prendre dans ses rets les naïfs et les crédules, les désespérés et les exaltés.
Ainsi, nous serions tous sur le même bateau, embarqués pour une aventure qui risque de tourner au naufrage. Les plus optimistes prétendent qu’il convient de tenir la barre, de ramer tous dans le même sens pour sauver l’esquif et éviter le pire. Les autres affirment que le nouveau capitaine nous conduira dans les hauts-fonds de la Finance, sans se soucier des pauvres moutons que nous sommes.
La sirène charmeuse sort parfois des profondeurs marines pour entonner son chant envoûtant, sa mélodie de séduction. Ses intentions sont, bien sûr, tout autres ; elle est cette hydre marine, cette bête féroce qui avale les équipages entiers pour les digérer dans les abysses de la haine. Elle est le monstre hideux qui, au fil des siècles, a pris bien des déguisements pour conduire les civilisations à la ruine.
Nous bêlons ; nous n’avons jamais autant bêlé que depuis quelques jours. Les uns se rangent derrière Panurge, le joli berger aux yeux bleus comme l’océan d’indécision sur lequel nous voguons. Les autres suivent les recommandations des béliers et des vieux boucs derrière lesquels ils se sont rangés. Tous, nous montrent une seule direction : celle du bon sens et de la duperie.
Car il n’y a pas d’illusions à se faire. Nous fûmes, en une autre vie, des pigeons; consciencieusement plumés par des taxes, des impôts, des dépenses ; contraintes qui n’ont eu de cesse d'augmenter, sans que rien ne se passe pour nous, les pauvres volatiles qu’on pense versatiles. Nous sommes restés le bec dans l’eau, échaudés par des promesses, toutes plus vaines les unes que les autres !
Puis nous sommes devenus des moutons à tondre et à mener par le bout du museau. Nous aimons ainsi suivre le grand chef : celui qui détient la vérité et se permet de penser à notre place. Il est le sauveur, la libérateur, il pointe du doigt un horizon nouveau, un pays de cocagne dans lequel nous devons nous jeter les yeux fermés. Le pâtre s’enflamme, il s’exalte et nous dit : « Suivez mon beau panache blanc ! »
Pour nous convaincre il agite un joli chiffon rouge, une peur ancestrale : celle du loup, du monstre mystérieux, de l’ogre ou bien du Diable. En vérité je vous le dis : si vous ne voulez pas être de mon troupeau, vous allez être dévorés par la bête immonde, le vilain monstre qui, régulièrement, revient déployer son empire maléfique sur les pauvres bêtes que nous sommes. On tremble d’effroi à cette évocation terrible, à cette perspective qui nous glace les sangs.
Alors, comme un seul homme, les moutons se jettent, les uns après les autres, dans le piège du joli pâtre. Son doigt pointe une terre promise, une prairie verdoyante, sans prédateurs ni tempêtes. Il leur parle d’un monde nouveau, d’un nouvel espoir, d’une autre manière de garder les moutons. Les animaux, ainsi hypnotisés, se mettent en marche et se jettent à l’eau, pensant atteindre ce paradis caprin. La noyade sera la récompense suprême de cette fidélité aveugle.
La sirène se désespère. Une fois encore, son piège n’aura pas fonctionné. Pourtant, elle n’aura pas longtemps à attendre. Bientôt, le désespoir sera tel, le mensonge sera si patent, qu’un nouveau bateau lui apportera l’occasion de cueillir le pouvoir. Les tempêtes seront de plus en plus violentes, le désespoir de plus en plus présent. Bientôt nous tomberons tous dans son piège maléfique.
Quand rien n’est organisé pour que nous devenions de véritables citoyens lucides, quand le mensonge et la tromperie sont les seuls moyens de mener le troupeau, quand il n’y a d’autre choix que d'accepter d'être plumés, tondus ou bien dévorés, l’espoir n’est plus permis ; et souvent le pire devient l’issue vers laquelle se précipitent les agneaux de lait. Prenez-y garde : cette victoire à la Pyrrhus annoncée pourrait bien être le point de départ des tourments qui se préparent. Le cataclysme est pour demain.
Cassandrement vôtre. »
Invité- Invité
Karl von Pok, l'inventeur du moteur à un temps
Kronik familiale...
Koud'Pied o'Kick | 16.05.2017 à 14:00
Karl von Pok, l'inventeur du moteur à un temps
Un moteur basé sur les idées d'Otto, d'Atkinson et de Daimler
Mon ancêtre Karl von Pok-Sauerschnitsell était un drôle de type. Passionné de mécanique, il mit au point le moteur à un temps en mêlant les idées d'Otto, d'Atkinson et de Daimler. Et puis il est mort.
C'est entre 1860 et 1890 que sont mis au point les moteurs que nous utilisons encore aujourd'hui -à quelques détails près. Mais à l'époque, si tout est en train d'être inventé, tout reste encore à être figé, ce qui implique de trouver ses clients. Et comme souvent dans l'Histoire, ce n'est pas du tout la meilleure solution qui est retenue, bien au contraire.
Mon ancêtre Karl von Pok-Sauerschnitsell était un progressiste convaincu. En 1874, il prend la direction de la célèbre école d'ingénieurs de Dortmund, sa ville natale ; parmi ses élèves, un certain Nikola Tesla. Il se passionne entre autres pour les moteurs fixes et se porte acquéreur d'un Otto-Langen à piston libre. Comme d'autres, il est convaincu que le progrès passe par l'adoption de tels moteurs par l'industrie et l'agriculture. Il suit de très près les travaux d'Otto, Daimler et Maybach et profite du rejet du brevet sur le cycle quatre-temps en 1879 pour expérimenter à son tour.
Ses premiers essais sont infructueux. Il travaille pendant toute l'année 1880 sur un moteur à trois temps comprenant un piston "mort" avant de tomber sur le moteur deux-temps de Dugald Clerk qui achève de le convaincre de l'imperfection du cycle à quatre temps. Il se met donc à développer son propre moteur deux temps, un bicylindre en "V" très ouvert. Le premier prototype donne des résultats décevants. Ce n'est qu'en 1885 qu'il finit par assembler toutes les pièces du puzzle, en utilisant l'idée du compresseur brevetée par Daimler et les toutes nouvelles bougies d'allumage à bobine haute tension inventée par Edward Butler.
En 1892, l'année même où Rudolf Diesel ébauche le concept du moteur qui porte son nom, Karl von Pok décroche un brevet sur un moteur où tous les temps sont moteur.
Le piston du moteur Pok ressemble à deux pistons d'un moteur deux-temps réunis par leur jupe mais dotés d'un seul axe ; il comporte donc deux jeux de segments à chaque extrémités. Il coulisse dans un cylindre fermé par deux chambres de combustion opposées comportant chacune une bougie d'allumage. L'admission et l'échappement se font par l'intermédiaire de lumières percées dans la jupe du piston et le cylindre. Il n'y a pas de carter pour jouer le rôle de pompe comme dans le cycle deux-temps, donc l'admission est forcée par un compresseur mécanique. Le cylindre comporte des ouvertures latérales pour laisser passer l'axe du piston, relié à deux bielles parallèles au corps du piston, elles-même reliées au vilebrequin qui tourne à l'air libre.
Tous les temps sont moteur puisque quand le premier demi-piston est en phase d'échappement, son homologue est en phase de compression. Le refroidissement est optimal en absence de distribution : le cylindre peut être abondamment aileté au niveau de la chambre de combustion et de l'échappement puisqu'il n'y a pas d'éléments périphériques à cet endroit. Le long piston profite d'un guidage optimal, sans phénomène de claquement de la jupe.
Du point de vue du rendement unitaire, le premier prototype, d'une cylindrée totale de 1.380cm3, donne des résultats très encourageants lors de ses essais en 1894. Le piston, même s'il est creux, est relativement lourd ce qui débouche sur des valeurs de couple importantes. Mais Karl bute sur l'entraînement du compresseur -du fait du brevet Daimler il a dû imaginer une autre disposition et son approche est moins efficace et sur l'étanchéité du couple piston-cylindre. Il doit de plus se frayer un chemin au milieu d'une forêt de brevets déposés partout dans le monde.
En 1895 il s'entaille profondément la main en tournant un pied de bielle. Il meurt des suites de l'infection de la plaie le 18 octobre 1895 au matin et son invention tombe dans l'oubli. Dommage, Eliane.
Dire que sans ce foutu copeau d'acier dans le doigt, aujourd'hui on roulerait assurément sur des R1 à moteur KPOK.
Koud'Pied o'Kick | 16.05.2017 à 14:00
Karl von Pok, l'inventeur du moteur à un temps
Un moteur basé sur les idées d'Otto, d'Atkinson et de Daimler
Mon ancêtre Karl von Pok-Sauerschnitsell était un drôle de type. Passionné de mécanique, il mit au point le moteur à un temps en mêlant les idées d'Otto, d'Atkinson et de Daimler. Et puis il est mort.
C'est entre 1860 et 1890 que sont mis au point les moteurs que nous utilisons encore aujourd'hui -à quelques détails près. Mais à l'époque, si tout est en train d'être inventé, tout reste encore à être figé, ce qui implique de trouver ses clients. Et comme souvent dans l'Histoire, ce n'est pas du tout la meilleure solution qui est retenue, bien au contraire.
Mon ancêtre Karl von Pok-Sauerschnitsell était un progressiste convaincu. En 1874, il prend la direction de la célèbre école d'ingénieurs de Dortmund, sa ville natale ; parmi ses élèves, un certain Nikola Tesla. Il se passionne entre autres pour les moteurs fixes et se porte acquéreur d'un Otto-Langen à piston libre. Comme d'autres, il est convaincu que le progrès passe par l'adoption de tels moteurs par l'industrie et l'agriculture. Il suit de très près les travaux d'Otto, Daimler et Maybach et profite du rejet du brevet sur le cycle quatre-temps en 1879 pour expérimenter à son tour.
Ses premiers essais sont infructueux. Il travaille pendant toute l'année 1880 sur un moteur à trois temps comprenant un piston "mort" avant de tomber sur le moteur deux-temps de Dugald Clerk qui achève de le convaincre de l'imperfection du cycle à quatre temps. Il se met donc à développer son propre moteur deux temps, un bicylindre en "V" très ouvert. Le premier prototype donne des résultats décevants. Ce n'est qu'en 1885 qu'il finit par assembler toutes les pièces du puzzle, en utilisant l'idée du compresseur brevetée par Daimler et les toutes nouvelles bougies d'allumage à bobine haute tension inventée par Edward Butler.
En 1892, l'année même où Rudolf Diesel ébauche le concept du moteur qui porte son nom, Karl von Pok décroche un brevet sur un moteur où tous les temps sont moteur.
Le piston du moteur Pok ressemble à deux pistons d'un moteur deux-temps réunis par leur jupe mais dotés d'un seul axe ; il comporte donc deux jeux de segments à chaque extrémités. Il coulisse dans un cylindre fermé par deux chambres de combustion opposées comportant chacune une bougie d'allumage. L'admission et l'échappement se font par l'intermédiaire de lumières percées dans la jupe du piston et le cylindre. Il n'y a pas de carter pour jouer le rôle de pompe comme dans le cycle deux-temps, donc l'admission est forcée par un compresseur mécanique. Le cylindre comporte des ouvertures latérales pour laisser passer l'axe du piston, relié à deux bielles parallèles au corps du piston, elles-même reliées au vilebrequin qui tourne à l'air libre.
Tous les temps sont moteur puisque quand le premier demi-piston est en phase d'échappement, son homologue est en phase de compression. Le refroidissement est optimal en absence de distribution : le cylindre peut être abondamment aileté au niveau de la chambre de combustion et de l'échappement puisqu'il n'y a pas d'éléments périphériques à cet endroit. Le long piston profite d'un guidage optimal, sans phénomène de claquement de la jupe.
Du point de vue du rendement unitaire, le premier prototype, d'une cylindrée totale de 1.380cm3, donne des résultats très encourageants lors de ses essais en 1894. Le piston, même s'il est creux, est relativement lourd ce qui débouche sur des valeurs de couple importantes. Mais Karl bute sur l'entraînement du compresseur -du fait du brevet Daimler il a dû imaginer une autre disposition et son approche est moins efficace et sur l'étanchéité du couple piston-cylindre. Il doit de plus se frayer un chemin au milieu d'une forêt de brevets déposés partout dans le monde.
En 1895 il s'entaille profondément la main en tournant un pied de bielle. Il meurt des suites de l'infection de la plaie le 18 octobre 1895 au matin et son invention tombe dans l'oubli. Dommage, Eliane.
Dire que sans ce foutu copeau d'acier dans le doigt, aujourd'hui on roulerait assurément sur des R1 à moteur KPOK.
g2loq- Co-administrateur
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T'as entendu Takahiro Hachigo le 8 juin ?
T'as entendu Takahiro Hachigo le 8 juin ?
Comment ça, non ?
Alors, le CEO et grand timonier de chez Honda se fend d'une interview à l'occasion de la sortie d'un scoot électrique et disserte sur les futurs produits électrique de la marque... et t'écoutes pas ?
Comment veux-tu que lui t'écoute quand tu te plaindras du prix de ta voiturette de golf ou du balourd dans les masselottes d'équilibrage de la régulation tachymétrique de ton déambulateur ?
Bon, soyons magnanimes... T'as plus qu'à lire cette capture d'écran:
Comment ça, ça le fait pas ?
M'enfin, t'aurais pu prendre grec classique et latin en secondaire, non mais !
Aaah ? T'as pris ES, option marketing ?
Bon alors t'as qu'à lire le même en anglais:
Comment ça, toujours pas ?
M'enfin... Tu sais que tu es un cas intéressant, toi...
Bon alors, t'as plus qu'à lire une reprise de l'article en français sur ce site (clique sur la signature):
André Lecondé - le Samedi 10 juin 2017
Comment ça, non ?
Alors, le CEO et grand timonier de chez Honda se fend d'une interview à l'occasion de la sortie d'un scoot électrique et disserte sur les futurs produits électrique de la marque... et t'écoutes pas ?
Comment veux-tu que lui t'écoute quand tu te plaindras du prix de ta voiturette de golf ou du balourd dans les masselottes d'équilibrage de la régulation tachymétrique de ton déambulateur ?
Bon, soyons magnanimes... T'as plus qu'à lire cette capture d'écran:
Comment ça, ça le fait pas ?
M'enfin, t'aurais pu prendre grec classique et latin en secondaire, non mais !
Aaah ? T'as pris ES, option marketing ?
Bon alors t'as qu'à lire le même en anglais:
Comment ça, toujours pas ?
M'enfin... Tu sais que tu es un cas intéressant, toi...
Bon alors, t'as plus qu'à lire une reprise de l'article en français sur ce site (clique sur la signature):
André Lecondé - le Samedi 10 juin 2017
g2loq- Co-administrateur
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Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
L'article se termine par "vivement la suite"... En effet car sur la Goldwing c'est un peu léger .
kuczynski- Membre incontournable !
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À travers presse, vouèbe et tout autour dans les coins
D'un autre Blogueur Éclaire (de Mécaniques anciennes, mais pas que)...
Par Zhumoriste dans Accueil le 6 Juin 2017 à 11:39
À travers presse, vouèbe et tout autour dans les coins
Outre sa laideur (je persiste et signe), on a beaucoup reproché au défunt scooter BMW C1 d'être sous-motorisé. Il est vrai que les 15 pferde (chevaux) sur le 125 et 18 pour le 200 (176 cm3 en réalité), ramaient à assurer le décollage des 195 kilos (!) de la bête.
Cependant, il y a des inconditionnels de la formule 'ma-moto-sous-mon-toit 'qui ont trouvé des solutions dont celle ci-dessus, emmenée par le 6 cylindres de la Honda Gold Wing. L'aérodynamique de l'ensemble semble très correcte, n'était le petit appendice arrière destiné au transport de la glacière et simplement fixé par deux sandows.
Manque juste un écran télé pour le passager qui doit s'ennuyer un peu... comme en voiture.
Autre réalisation sur une base de Guzzi, semble-t-il. Plus artisanale et donc plus à la portée de l'amateur-bricoleur (Chez Bricorama, se recommander du Zhumoriste)
La suite mène logiquement à deux roues de plus ...
Mais pour beaucoup moins cher, les Chinois vous proposent cette installation à une cinquantaine de dollars. Peut également servir d'abri de plage ou de châssis pour accélérer le mûrissement des citrouilles, courgettes ou autres cucurbitacées...
PS: Je me permets de rajouter quelques photos d'un trike GL15 à..galerie
..Et il y a encore plus rudimentaire, si tu as oublié les vêtements de pluie:
Dernière édition par g2loq le Jeu 15 Juin 2017 - 16:24, édité 3 fois (Raison : ajout de PS)
g2loq- Co-administrateur
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Pierre Henry est mort...
Pierre Henry est mort...
Ce type avait bouleversé la jeunesse de beaucoup d'entre-nous avec sa musique électronique, bien avant Michel Jarre..
R.I. P Maître et ... fais danser les anges !
Tout le monde se souvient de l' album magique "messe pour le temps présent" écrit pour un ballet de Maurice Béjart:
Ce type avait bouleversé la jeunesse de beaucoup d'entre-nous avec sa musique électronique, bien avant Michel Jarre..
R.I. P Maître et ... fais danser les anges !
Tout le monde se souvient de l' album magique "messe pour le temps présent" écrit pour un ballet de Maurice Béjart:
g2loq- Co-administrateur
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D'OÙ VIENT LE NOM MOTOCYCLETTE ?
D'OÙ VIENT LE NOM MOTOCYCLETTE ?
Depuis l'invention de la roue, l'homme a toujours perfectionné ses moyens de déplacement. A la fin du XIXeme siècle, avec la mise au point des premiers moteurs, des concepts fleurissent un peu partout pour s'affranchir de la traction animale. Bizarrement, les premiers véhicules motorisés ne seront pas à quatre roues. La plupart du temps ce seront des bicyclettes ou des tricycles trafiqués avec un moteur souvent placé un peu n'importe comment.
Le premier deux-roues motorisé a officiellement été inventée par Louis-Guillaume Perreaux avec le premier brevet déposé le 26 décembre 1868 et délivré le 16 mars 1869 sous le numéro 83691 pour "un vélocipède à grande vitesse". Ce brevet a été successivement modifié jusqu'en 1885. Ce véhicule fonctionnait à la vapeur. En fait, ce n'était qu'un prototype qui n'a jamais roulé d'une manière autonome. L'engin était fixée à un axe vertical et tournait en rond comme un manège, son chauffeur étant trop occupé à faire fonctionner le moteur.
De leur côté, les américains prétendent qu'en 1869, selon certains témoignages, un autre véhicule à deux roues mû par un moteur à vapeur, la Roper, aurait existé. Cependant, contrairement à l'invention de Perreaux, il n'en reste aucune trace, ni même un brevet prouvant son existence. Il semble n'avoir été qu'une attraction de fête foraine.
Le premier engin doté d'un moteur à combustion interne est la Reitwagen de Gotfried DAIMLER, en 1885. Cet engin avait été conçue dans le but de tester un moteur fonctionnant au pétrole. Il était équipé de roues latérales stabilisatrices, donc de quatre roues au total. Mais ces deux roues latérales ne touchant pas le sol lorsque l'engin était en mouvement, on peut raisonnablement avancer que la Daimler fut à la fois la première moto et le premier véhicule doté d'un moteur à combustion interne. La moto a précédée la voiture !
En 1887, le Français Félix Millet fabrique et vend quelques exemplaires d'une machine équipée d'un moteur à pétrole de 5 cylindres en étoile placé dans la roue arrière.
En 1894, HILDEBRAND-WOLFMULLER (Autriche) commercialise une moto équipée d'un bicylindre horizontal de 1 490cc qui bénéficie du premier véritable réseau de vente de l'histoire. Cette machine est considérée comme la première moto produite en série de l'histoire.
Les deux frères Eugène et Michel Werner, immigrés d'origine russe installés à Levallois-Peret, présentèrent au salon du cycle de Paris de 1897 une machine à deux roues pour laquelle ils avaient déposé le nom "Motocyclette". Le moteur, à soupape d'admission automatique et soupape d’échappement commandée, était fixé sur la fourche, au dessus de la roue avant qu'il entraînait par une courroie. Auparavant les deux roues motorisés étaient nommés autocyclette ou pétrolette (en référence au pétrole utilisé comme carburant).
La Motocyclette des deux frères fut vendue à plusieurs milliers d'exemplaires en France. Son succès fut tel qu'elle fut également fabriquée sous licence en Angleterre et en Allemagne. Plusieurs constructeurs la copièrent et le nom motocyclette fut communément employé pour désigner ce nouveau moyen de locomotion bien que ce nom ait été une marque déposée. En 1906, suite à une décision de justice à l'initiative du préfet de Paris qui trouvait ce nom tout à fait approprié pour ce type de véhicules, il fut décidé que ce terme désignerait désormais l'ensemble des véhicules à deux roues motorisés.
Ce sont aussi les frères Werner qui, les premiers, eurent l'idée de placer le moteur là où il se trouvent depuis, dans le bas du cadre, à hauteur du pédalier. Ils donnèrent ainsi à la toute jeune motocyclette sa forme définitive.
Et c'est encore eux qui, en 1903, construiront le premier bicylindre vertical, un 500cc.
Un an auparavant, en 1902, le français Auguste Bucquet s'engagea sur une moto Werner dans la célèbre course automobile Paris-Madrid. Alors qu'il était à la première place, l'épreuve fut arrêtée, après qu’il y ait eu plusieurs morts parmi les spectateurs et les pilotes de voiture. Les routes et les véhicules de cette époque n'étaient pas vraiment adaptés à ce genre de compétition qui, à mon avis, relevait alors plus de la folie pure que du sport.
NOTE: Son vrai nom était Hector Bucquet mais il fut surnommé "Auguste" en référence à l'architecte et artiste peintre du même nom (1840 -1914).
A partir de ce moment, le nombre de constructeurs, dont quelques un à l'imagination débordante, ne cessera d'augmenter pour atteindre plusieurs centaines avant la Seconde Guerre Mondiale. Certains ne produiront qu'une ou deux machines, d'autres deviendront de grandes entreprises de renommée mondiale. Mais l'arrivée de la guerre et les restrictions de matières premières sonneront le glas de la plupart d'entre-elles. Après la guerre, ce sera la démocratisation de l'automobile qui donnera le coup de grâce à celles qui avaient survécu au conflit.
Depuis l'invention de la roue, l'homme a toujours perfectionné ses moyens de déplacement. A la fin du XIXeme siècle, avec la mise au point des premiers moteurs, des concepts fleurissent un peu partout pour s'affranchir de la traction animale. Bizarrement, les premiers véhicules motorisés ne seront pas à quatre roues. La plupart du temps ce seront des bicyclettes ou des tricycles trafiqués avec un moteur souvent placé un peu n'importe comment.
Le premier deux-roues motorisé a officiellement été inventée par Louis-Guillaume Perreaux avec le premier brevet déposé le 26 décembre 1868 et délivré le 16 mars 1869 sous le numéro 83691 pour "un vélocipède à grande vitesse". Ce brevet a été successivement modifié jusqu'en 1885. Ce véhicule fonctionnait à la vapeur. En fait, ce n'était qu'un prototype qui n'a jamais roulé d'une manière autonome. L'engin était fixée à un axe vertical et tournait en rond comme un manège, son chauffeur étant trop occupé à faire fonctionner le moteur.
De leur côté, les américains prétendent qu'en 1869, selon certains témoignages, un autre véhicule à deux roues mû par un moteur à vapeur, la Roper, aurait existé. Cependant, contrairement à l'invention de Perreaux, il n'en reste aucune trace, ni même un brevet prouvant son existence. Il semble n'avoir été qu'une attraction de fête foraine.
Le premier engin doté d'un moteur à combustion interne est la Reitwagen de Gotfried DAIMLER, en 1885. Cet engin avait été conçue dans le but de tester un moteur fonctionnant au pétrole. Il était équipé de roues latérales stabilisatrices, donc de quatre roues au total. Mais ces deux roues latérales ne touchant pas le sol lorsque l'engin était en mouvement, on peut raisonnablement avancer que la Daimler fut à la fois la première moto et le premier véhicule doté d'un moteur à combustion interne. La moto a précédée la voiture !
En 1887, le Français Félix Millet fabrique et vend quelques exemplaires d'une machine équipée d'un moteur à pétrole de 5 cylindres en étoile placé dans la roue arrière.
En 1894, HILDEBRAND-WOLFMULLER (Autriche) commercialise une moto équipée d'un bicylindre horizontal de 1 490cc qui bénéficie du premier véritable réseau de vente de l'histoire. Cette machine est considérée comme la première moto produite en série de l'histoire.
Les deux frères Eugène et Michel Werner, immigrés d'origine russe installés à Levallois-Peret, présentèrent au salon du cycle de Paris de 1897 une machine à deux roues pour laquelle ils avaient déposé le nom "Motocyclette". Le moteur, à soupape d'admission automatique et soupape d’échappement commandée, était fixé sur la fourche, au dessus de la roue avant qu'il entraînait par une courroie. Auparavant les deux roues motorisés étaient nommés autocyclette ou pétrolette (en référence au pétrole utilisé comme carburant).
La Motocyclette des deux frères fut vendue à plusieurs milliers d'exemplaires en France. Son succès fut tel qu'elle fut également fabriquée sous licence en Angleterre et en Allemagne. Plusieurs constructeurs la copièrent et le nom motocyclette fut communément employé pour désigner ce nouveau moyen de locomotion bien que ce nom ait été une marque déposée. En 1906, suite à une décision de justice à l'initiative du préfet de Paris qui trouvait ce nom tout à fait approprié pour ce type de véhicules, il fut décidé que ce terme désignerait désormais l'ensemble des véhicules à deux roues motorisés.
Ce sont aussi les frères Werner qui, les premiers, eurent l'idée de placer le moteur là où il se trouvent depuis, dans le bas du cadre, à hauteur du pédalier. Ils donnèrent ainsi à la toute jeune motocyclette sa forme définitive.
Et c'est encore eux qui, en 1903, construiront le premier bicylindre vertical, un 500cc.
Un an auparavant, en 1902, le français Auguste Bucquet s'engagea sur une moto Werner dans la célèbre course automobile Paris-Madrid. Alors qu'il était à la première place, l'épreuve fut arrêtée, après qu’il y ait eu plusieurs morts parmi les spectateurs et les pilotes de voiture. Les routes et les véhicules de cette époque n'étaient pas vraiment adaptés à ce genre de compétition qui, à mon avis, relevait alors plus de la folie pure que du sport.
NOTE: Son vrai nom était Hector Bucquet mais il fut surnommé "Auguste" en référence à l'architecte et artiste peintre du même nom (1840 -1914).
A partir de ce moment, le nombre de constructeurs, dont quelques un à l'imagination débordante, ne cessera d'augmenter pour atteindre plusieurs centaines avant la Seconde Guerre Mondiale. Certains ne produiront qu'une ou deux machines, d'autres deviendront de grandes entreprises de renommée mondiale. Mais l'arrivée de la guerre et les restrictions de matières premières sonneront le glas de la plupart d'entre-elles. Après la guerre, ce sera la démocratisation de l'automobile qui donnera le coup de grâce à celles qui avaient survécu au conflit.
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Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Vivement le retour à l'esclavage !
On a dit beaucoup de mal de l’esclavage, néanmoins, j’estime que ce serait une mesure sociale à prendre rapidement. Mais avant que tu te demandes si un gros caillou ne m’est pas tombé sur la cafetière, écoute un peu mon argumentation. D’abord il faut un esclavage moderne. Fini l’esclavage racial qui allait chercher le « bois d’ébène » en Afrique.
Non ! Il faut encourager les circuits courts, faire local, un esclavage raisonné avec le souci de limiter l’empreinte carbone. Nos territoires sont riches de chômeurs qui pourront très bien faire l’affaire.
Ensuite s’assurer que l’esclave soit bien nourri et bien logé, l’esclavagiste y a tout intérêt pour avoir une main d’œuvre saine et en bonne santé… Il est maintenant prouvé que les esclaves qui construisaient les pyramides mangeaient du poulet ou de la viande tous les jours. Que demande le peuple ?
Justement, que demande le peuple ? Aujourd’hui avoir un boulot n’est parfois pas suffisant pour se loger et manger à sa faim. Tout le monde, sur le marché de l’emploi, espère un CDI. Quel meilleur CDI que celui d’être esclave ? C’est un travail à vie ! Pas de licenciements ! Alors bien sûr, il y a des inconvénients, à commencer par la paye. Mais enfin, même les communistes sont pour l’abolition du salariat, non ! C’est rétrograde le salaire, si tu manges à ta faim et que tu sois bien logé, ça sert à quoi ? A aller le dépenser au bistro en te gavant d’alcool et en jouant le reste en grattant des petits cartons ? Tout ça au détriment de ta santé physique et mentale. Non ! C’est rendre service au peuple en l’obligeant à ne pas consommer comme un con. Et les vacances ? Attends, tu crois que c’est du plaisir d’attraper des coups de soleil de te baigner dans de l’eau polluée ou d’aller te geler les cacahouètes à la montagne ?
Puis regarde, l’esclavage nous a apporté le blues, le gospel, la capoeira. C’est quand même autre chose que la pétanque, la belotte et le pastis, con !
Et la retraite, tu vas me dire ? Mais mon bon, demande à un jeune de te parler de sa retraite. Il te répond qu’il n’y arrivera pas, que d’ici là elle n’existera plus, que c’est un truc de vieux, emmerdant… Que son souci c’est un boulot et un toit. Aucune ambition, certes. Mais c’est comme ça maintenant.
A mon époque on revendiquait le droit à la paresse et celui de pendre les patrons, ça avait une autre gueule, mais c’était avant.
Alors, toujours convaincu que l’esclavage serait une mauvaise chose ?
Malheureusement, ce ne sera pas possible, et tu sais pourquoi ? Parce que les patrons seront contre ! Ça leur couterait trop cher des esclaves ! Ça les empêcherait de les presser comme des citrons et de les jeter après. Je les entends d’ici : « ça ne créera pas d’émulation pour progresser socialement » en clair ils ne me lécheront plus le cul et ne se jalouseront plus… Misère !!!
On a dit beaucoup de mal de l’esclavage, néanmoins, j’estime que ce serait une mesure sociale à prendre rapidement. Mais avant que tu te demandes si un gros caillou ne m’est pas tombé sur la cafetière, écoute un peu mon argumentation. D’abord il faut un esclavage moderne. Fini l’esclavage racial qui allait chercher le « bois d’ébène » en Afrique.
Non ! Il faut encourager les circuits courts, faire local, un esclavage raisonné avec le souci de limiter l’empreinte carbone. Nos territoires sont riches de chômeurs qui pourront très bien faire l’affaire.
Ensuite s’assurer que l’esclave soit bien nourri et bien logé, l’esclavagiste y a tout intérêt pour avoir une main d’œuvre saine et en bonne santé… Il est maintenant prouvé que les esclaves qui construisaient les pyramides mangeaient du poulet ou de la viande tous les jours. Que demande le peuple ?
Justement, que demande le peuple ? Aujourd’hui avoir un boulot n’est parfois pas suffisant pour se loger et manger à sa faim. Tout le monde, sur le marché de l’emploi, espère un CDI. Quel meilleur CDI que celui d’être esclave ? C’est un travail à vie ! Pas de licenciements ! Alors bien sûr, il y a des inconvénients, à commencer par la paye. Mais enfin, même les communistes sont pour l’abolition du salariat, non ! C’est rétrograde le salaire, si tu manges à ta faim et que tu sois bien logé, ça sert à quoi ? A aller le dépenser au bistro en te gavant d’alcool et en jouant le reste en grattant des petits cartons ? Tout ça au détriment de ta santé physique et mentale. Non ! C’est rendre service au peuple en l’obligeant à ne pas consommer comme un con. Et les vacances ? Attends, tu crois que c’est du plaisir d’attraper des coups de soleil de te baigner dans de l’eau polluée ou d’aller te geler les cacahouètes à la montagne ?
Puis regarde, l’esclavage nous a apporté le blues, le gospel, la capoeira. C’est quand même autre chose que la pétanque, la belotte et le pastis, con !
Et la retraite, tu vas me dire ? Mais mon bon, demande à un jeune de te parler de sa retraite. Il te répond qu’il n’y arrivera pas, que d’ici là elle n’existera plus, que c’est un truc de vieux, emmerdant… Que son souci c’est un boulot et un toit. Aucune ambition, certes. Mais c’est comme ça maintenant.
A mon époque on revendiquait le droit à la paresse et celui de pendre les patrons, ça avait une autre gueule, mais c’était avant.
Alors, toujours convaincu que l’esclavage serait une mauvaise chose ?
Malheureusement, ce ne sera pas possible, et tu sais pourquoi ? Parce que les patrons seront contre ! Ça leur couterait trop cher des esclaves ! Ça les empêcherait de les presser comme des citrons et de les jeter après. Je les entends d’ici : « ça ne créera pas d’émulation pour progresser socialement » en clair ils ne me lécheront plus le cul et ne se jalouseront plus… Misère !!!
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Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
pour apporter de l'eau à ton moulin Christian ...
Mon père me disait : "le paroxisme de l'esclavage ... est le travail ... "librement" salarié "
Il avait entièrement raison ... paix à son âme
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Le moment où ils prennent nos clés arrive ... pour tout le monde
Je fais ma petite recherche matinale des "actualités goldwing" ce matin et je tombe sur cet article du :
Norwalk Reflector
BY JIM BUSEK • AUG 15, 2017 AT 10:00 AM
... et sur la tronche de Jim Busek qui me fait penser à quelqu'un du forum que je connais bien, tel qu'il pourrait apparaître dans un quart de siècle...
Comment ça tu n'y comprends que pouic à ce qu'il raconte !
Bon... Submergé par une vague de serviabilité que j'ai du mal à refréner, je vais te le traduire car il m'a suscité une réflexion instructive (peut être parce que je suis également concerné par ce quart de siècle en plus ?!
Et toi, y penses-tu parfois ? Es-tu prêt pour l'instant de raccrocher tes clés ?
Alors, en attendant... Gaz !!!
Le moment où ils prennent nos clés arrivera ... pour tout le monde
Il arrive un moment où vous êtes vieux et faible, où vous ne voyez plus très bien et devenez dangereux pour tous sur la route. C'est alors que quelqu'un -souvent un enfant d'alors, auquel vous avez appris à conduire- prend les clés de votre voiture.
Personne ne se prépare à cet instant.
C'est presque toujours le bon choix à faire. Mais, c'est un moment très difficile à vivre pour la personne dont on prend les clés. Surtout si cette personne est un homme.
En général, cette confiscation des clés signifie que vous en avez eu largement assez, ou à peu près.
Vous n'êtes plus indépendant dans votre mobilité; Dorénavant, vous devrez toujours demander une assistance pour vous déplacer.
Vous ne pourrez plus conduire en secret vers des lieux de restauration rapide pour acheter des produits qui ne sont pas dans votre régime. Vous ne pourrez plus faire des courses, faire une balade ou accéder à vos rendez-vous sans pilote.
Je n'en suis pas encore là, Dieu merci.
Mais j'ai réfléchi il y a quelques mois quand j'ai vendu ma moto. C'est une mini-étape vers le "ne plus conduire du tout"...
Pour l'instant, j'en suis simplement à ne plus "tout conduire".
J'ai eu des motos une grande partie de ma vie. En fait, je n'avais pas de voiture avant mes 22 ans. J'avais un scooter au lycée; Une Honda Super 90 mes deux premières années universitaires; Une Triumph Daytona 500 pendant six semaines en 1967 jusqu'à son vol; Une autre Daytona 500 lorsque l'argent de l'assurance est arrivé; Et une Honda CB750 lors de son introduction en 1970.
Après cela, il y eu un long intermède sans moto. Puis, en 1999, j'ai acheté une Honda Goldwing pour refaire un voyage que j'avais effectué vers l'ouest en 1970. Quelques années plus tard, j'ai acheté une Goldwing GL1500 de 89, que je possédais encore jusqu'au mois de mai dernier.
C'est alors que j'en pris des photos et l'ai mise en vente sur LBC. Elle fut vendue en une demi-heure: Il m'a fallu plus de temps pour créer l'annonce que pour vendre la moto...
Heureusement, je ne regrette pas cette décision. J'ai roulé 50 ans en moto sans accident, et c'est cela la vraie récompense. Dernièrement, j'ai eu d'autres pôles d'intérêt et je ne faisait plus autant de moto, de toute façon.
En ce qui concerne le jour où je ne pourrai plus conduire une voiture également -eh bien, vous aussi ne pourrez peut-être plus en conduire, non plus, à cet instant là ! Et ceci, non pas nécessairement parce que vous -comme moi- serez vieux comme Mathusalem, mais en fait, parce qu(il y a de grandes chances pour que même si vous êtes un adolescent en cet instant, vous n'aurez presque certainement plus à conduire très longtemps.
C'est parce que la voiture auto-conduite arrive !
J'ai vu un titre dans un article récent d' USA Today qui disait: "Honda se dirige vers les voitures autonomes d'ici à 2025."
"La société a déclaré que son objectif était d'introduire des véhicules «hautement automatisés» d'ici là; Ayant la capacité de gérer presque toutes les situations sur la route sans intervention du conducteur".
Cela vous semble impossible? Des voitures autonomes sur la route dans seulement huit ans?
Tenez compte du fait que dans l'article, selon l'auteur, la perspective de 2025 "pourrait mettre Honda plusieurs années derrière ses concurrents dans la course furieuse pour remodeler les transports individuels". Derrière!
En d'autres termes, nous pouvons nous attendre à voir des voitures autonomes sur la route bien plus tôt qu'en 2025.
Je sais, je sais. Cela semble impossible. Cela semble fou. Mais c'est à peu près ce que chaque propriétaire de cheval a dit en 1900 lorsque les premières voitures sont arrivées sur les routes...
Dans le même ordre d'idées et à une époque plus proche, personne ne pouvait imaginer que l'on voudrait avoir un ordinateur à la maison. Que faire avec une telle chose? Seuls les scientifiques, les entreprises et les banques et autres ont besoin d'ordinateurs. Pourquoi en vouloir un à la maison?
Pareillement, avez-vous songé un instant que votre téléphone vous serait absolument indispensable? Que vous pourriez le prendre partout avec vous? Et que vous le consulteriez sans cesse?
C'est comme ça avec les voitures autonomes. Je ne sais pas comment tout se mettra en place. Mais cela finira par réduire le nombre de voitures sur la route de plus de la moitié; Par libérer une surface en milliers d'hectares, utilisée actuellement pour le stationnement dans chaque ville; Et par limiter, voire éliminer notre dépendance vis-à-vis des pays producteurs de pétrole. Il n'y aura plus d'embouteillages et pratiquement plus aucun accident. Un temps considérable et des vies innombrables seront sauvés.
Et ce n'est que la partie émergée de l'iceberg. La voiture autonome révolutionnera le monde aussi radicalement que le fit 'automobile originale, elle-même.
La révolution débutera dans les grandes villes, mais elle viendra plus vite que n'importe lequel d'entre nous ne l'imagine.
En fait, avec un peu de chance, au moment où je devrai abandonner mes clés de voiture, vous abandonnerez les vôtres...
Jim Busek est un rédacteur free-lance qui vit à Norwalk.
On peut le joindre par e-mail à: jimbusek@hotmail.com
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Le terrorisme nouveau est arrivé!
Le terrorisme nouveau est arrivé!
Enfin le terrorisme se démocratise. Il y en avait marre de ces terroristes colorés, petits délinquants minables, habitants des banlieues pauvres, des quartiers malfamés, radicalisés en prison et qui tuaient puis criaient Allah Akbar en se faisant descendre par la police. Il fallait renouveler le casting et le scénario.
Le terrorisme nouveau est arrivé, un peu comme le Beaujolais il a un gout un peu différent chaque fois. Ce coup-ci c’est un retraité bien blanc, riche comme Crésus, pas vraiment religieux, pas du tout rebelle, plutôt un exemple de réussite sociale aux USA. C’est-à-dire qu’il a dû plumer pas mal de gens en spéculant dans l’immobilier. Bref, un mec normal, blanc, comme disait Coluche. Et là, badaboum ! Ce retraité, au lieu de se la couler douce à Miami, il choisit de perpétrer un massacre.
Bon, je conçois qu’on n’aime pas la country, mais de là à faire un carton sur ceux qui l’écoutent… Depuis le Bataclan on sait que la musique adoucit les meurtres (c’est Churchill qui m’a dit de la replacer)… Et là, on peut quand même remarquer la supériorité de l’homme blanc, 58 morts et plus de 200 blessés, c’est un record ! Pourquoi a-t-il fait ça ? Justement, pour être dans le livre des records, peut-être ? En plus il n’a même pas donné la satisfaction à la police de le descendre.
Et Trump dans tout ça ? On pourrait lui retourner son tweet du Bataclan « si les gens avaient été armés les terroristes auraient fait moins de morts » … « si les Américains étaient moins armés le terroriste aurait fait moins de morts ». Mais voilà, Il n’y a pas de lien avec le « terrorisme », ils sont marrants ces ricains ! Parce que faire un carton dans la foule c’est pas du terrorisme ? C’est vrai qu’aux Etats Unis cela devient un fait divers… Il y a en moyenne une fusillade par jour !
Enfin le terrorisme se démocratise. Il y en avait marre de ces terroristes colorés, petits délinquants minables, habitants des banlieues pauvres, des quartiers malfamés, radicalisés en prison et qui tuaient puis criaient Allah Akbar en se faisant descendre par la police. Il fallait renouveler le casting et le scénario.
Le terrorisme nouveau est arrivé, un peu comme le Beaujolais il a un gout un peu différent chaque fois. Ce coup-ci c’est un retraité bien blanc, riche comme Crésus, pas vraiment religieux, pas du tout rebelle, plutôt un exemple de réussite sociale aux USA. C’est-à-dire qu’il a dû plumer pas mal de gens en spéculant dans l’immobilier. Bref, un mec normal, blanc, comme disait Coluche. Et là, badaboum ! Ce retraité, au lieu de se la couler douce à Miami, il choisit de perpétrer un massacre.
Bon, je conçois qu’on n’aime pas la country, mais de là à faire un carton sur ceux qui l’écoutent… Depuis le Bataclan on sait que la musique adoucit les meurtres (c’est Churchill qui m’a dit de la replacer)… Et là, on peut quand même remarquer la supériorité de l’homme blanc, 58 morts et plus de 200 blessés, c’est un record ! Pourquoi a-t-il fait ça ? Justement, pour être dans le livre des records, peut-être ? En plus il n’a même pas donné la satisfaction à la police de le descendre.
Et Trump dans tout ça ? On pourrait lui retourner son tweet du Bataclan « si les gens avaient été armés les terroristes auraient fait moins de morts » … « si les Américains étaient moins armés le terroriste aurait fait moins de morts ». Mais voilà, Il n’y a pas de lien avec le « terrorisme », ils sont marrants ces ricains ! Parce que faire un carton dans la foule c’est pas du terrorisme ? C’est vrai qu’aux Etats Unis cela devient un fait divers… Il y a en moyenne une fusillade par jour !
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Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
31 octobre 2017
Liberté Egalité Fortunité
Il faut arrêter de dire du mal des riches, enfin !
Nous sommes en république, être riche c’est être libre.
La pauvreté c’est le contraire, c’est la contrainte et la contrainte ce n’est pas inscrit dans les valeurs de la France. La Liberté, si !
Qui irait dans les palaces ? Qui achèterait des yachts ? Qui construirait des résidences majestueuses ? Qui spéculerait en bourse ?
Ce ne sont pas les pauvres, ne comptez pas sur eux pour relancer l’économie, trop préoccupés par leurs petits soucis quotidiens et toujours à se plaindre.
« On a peur de ne pas arriver à la fin du mois » mais les riches aussi sont angoissés par la fin de leur moi. Ils ont d’ailleurs plus à perdre qu’eux. Lorsque tu n’as rien, tu n’as aucun souci de gestion ! Ni de digestion d’ailleurs ! Qu’on arrête un peu d’accabler ceux qui ont tout ! Ils ne l’ont pas toujours volé, ils l’ont souvent gagné à la sueur du front des pauvres.
Comment ça « les riches ne payent pas d’impôts » ? Mais c’est normal, c’est par soucis d’égalité avec les pauvres, là aussi c’est inscrit sur les frontons des mairies, l’Egalité.
Puis, vous savez combien ça leur coûte en conseillers financiers, experts comptables et avocats ? Ah les pauvres n’ont pas ces tracas!
Et la fraternité me direz-vous ? Ils la célèbrent aussi ! Mais entre eux ! C’est normal ! Pour être frères il faut appartenir à la même famille ! Complices au Lion club, au Rotary, au Medef…
Les pauvres ne sont que des envieux, pas les riches, a-t-on vu un homme fortuné envier un clochard ? Non ! C’est bien la preuve qu’ils n’éprouvent aucune jalousie…
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Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Merci patron
Par Romain Rouanet
C’est arrivé près de chez quelqu’un
Il est de certains actes qui troublent le sens commun et prêtent à une franche perplexité tellement ils entrent en contradiction avec le confort tranquille de la généralisation rassurante.
Par exemple, comment ne pas être stupéfait quand on apprend qu’un prof a travaillé plus de quinze heures dans la semaine sans se plaindre d’épuisement ?
Comment ne pas être éberlué quand on croise un gauchiste de gauche qui ne s’autoflagelle pas parce qu’il est blanc ?
De la même façon, comment ne pas tiquer devant l’ubuesque Jean-Louis Brissaud, PDG de Starterre à Saint-Fons près de Lyon, qui a sciemment transgressé le code de déontologie du MEDEF le 5 octobre dernier en redistribuant les bénéfices annuels aux salariés, alors qu’il y a tant d’actionnaires qui meurent de faim dans le monde chaque jour.
C’est à l’occasion des 25 ans de cette PME en plein essor – 28% de croissance, de quoi faire rougir de jalousie les cocos chinois – que son dirigeant décide pour la beauté du geste, et parce que ça fait de la pub gratuite grâce aux réseaux sociaux, de faire croquer quelques miettes à ses petites fourmis laborieuses. Ainsi, les 1,6 millions de bénef’ ont été répartis à l’ensemble des 103 salariés de la boîte au prorata de l’ancienneté.
La bleusaille recrutée il y a trois mois a donc reçu une modeste prime d’une valeur équivalente à celle d’un RSA à taux plein, ce qui permet toutefois de vivre dans l’opulence pendant au moins six mois quand on a le train de vie d’un assisté.
Le vieux briscard aux vingt piges de placard a quant à lui pu encaisser la bagatelle de 35 000 €, ce qui est ric-rac pour tenir plus de six mois quand on a le train de vie d’un député, ce que ne contredira pas Henri Guaino qui, au passage, a un nom de fiente mais c’est pas moi qui ai commencé.
Tout ceci ferait partie de « l’ADN de l’entreprise » qui, outre les primes mensuelles sur l’intéressement, n’hésite pas à faire du management participatif, c’est-à-dire un truc de gonzesse qui prend aussi en compte l’aspect humain derrière le salarié. On croit rêver.
Bon après, attention, comme on le dit après chaque attentat : pas d’amalgame.
Ce n’est pas parce qu’un patron s’est montré une fois généreux que tous les autres patrons ne sont pas d’horribles personnages, et je dis ça sans animosité particulière pour le président de la république.
Ce n’est pas parce qu’on peut croiser de temps en temps un arabe qui n’a pas l’air d’être ronchon que tous les autres ne restent pas de potentiels terroristes. Le Front opine, avec véhémence. Ce n’est pas parce qu’une actrice accepte de temps en temps une promotion canapé avec le sourire de l’ambition que toutes les autres n’ont pas été violées. Hollywood opine, en silence. Ce n’est pas parce qu’on parle en boucle des attentats qui comptent que ça doit devenir une rengaine pour tous ceux qui se passent loin de chez nous, sinon on aurait plus le temps de parler de Neymar. Mogadisco opine, dans l’indifférence.
En fait, on se retrouve ici avec un cas concret d’exception qui confirme la règle.
Parce que franchement, si les patrons commencent à devenir de vrais être humains, où va le monde, je te le demande ?
Par Romain Rouanet
C’est arrivé près de chez quelqu’un
Il est de certains actes qui troublent le sens commun et prêtent à une franche perplexité tellement ils entrent en contradiction avec le confort tranquille de la généralisation rassurante.
Par exemple, comment ne pas être stupéfait quand on apprend qu’un prof a travaillé plus de quinze heures dans la semaine sans se plaindre d’épuisement ?
Comment ne pas être éberlué quand on croise un gauchiste de gauche qui ne s’autoflagelle pas parce qu’il est blanc ?
De la même façon, comment ne pas tiquer devant l’ubuesque Jean-Louis Brissaud, PDG de Starterre à Saint-Fons près de Lyon, qui a sciemment transgressé le code de déontologie du MEDEF le 5 octobre dernier en redistribuant les bénéfices annuels aux salariés, alors qu’il y a tant d’actionnaires qui meurent de faim dans le monde chaque jour.
C’est à l’occasion des 25 ans de cette PME en plein essor – 28% de croissance, de quoi faire rougir de jalousie les cocos chinois – que son dirigeant décide pour la beauté du geste, et parce que ça fait de la pub gratuite grâce aux réseaux sociaux, de faire croquer quelques miettes à ses petites fourmis laborieuses. Ainsi, les 1,6 millions de bénef’ ont été répartis à l’ensemble des 103 salariés de la boîte au prorata de l’ancienneté.
La bleusaille recrutée il y a trois mois a donc reçu une modeste prime d’une valeur équivalente à celle d’un RSA à taux plein, ce qui permet toutefois de vivre dans l’opulence pendant au moins six mois quand on a le train de vie d’un assisté.
Le vieux briscard aux vingt piges de placard a quant à lui pu encaisser la bagatelle de 35 000 €, ce qui est ric-rac pour tenir plus de six mois quand on a le train de vie d’un député, ce que ne contredira pas Henri Guaino qui, au passage, a un nom de fiente mais c’est pas moi qui ai commencé.
Tout ceci ferait partie de « l’ADN de l’entreprise » qui, outre les primes mensuelles sur l’intéressement, n’hésite pas à faire du management participatif, c’est-à-dire un truc de gonzesse qui prend aussi en compte l’aspect humain derrière le salarié. On croit rêver.
Bon après, attention, comme on le dit après chaque attentat : pas d’amalgame.
Ce n’est pas parce qu’un patron s’est montré une fois généreux que tous les autres patrons ne sont pas d’horribles personnages, et je dis ça sans animosité particulière pour le président de la république.
Ce n’est pas parce qu’on peut croiser de temps en temps un arabe qui n’a pas l’air d’être ronchon que tous les autres ne restent pas de potentiels terroristes. Le Front opine, avec véhémence. Ce n’est pas parce qu’une actrice accepte de temps en temps une promotion canapé avec le sourire de l’ambition que toutes les autres n’ont pas été violées. Hollywood opine, en silence. Ce n’est pas parce qu’on parle en boucle des attentats qui comptent que ça doit devenir une rengaine pour tous ceux qui se passent loin de chez nous, sinon on aurait plus le temps de parler de Neymar. Mogadisco opine, dans l’indifférence.
En fait, on se retrouve ici avec un cas concret d’exception qui confirme la règle.
Parce que franchement, si les patrons commencent à devenir de vrais être humains, où va le monde, je te le demande ?
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Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Corrida Dada!
Karakamanière
J'en connais qui défendent la corrida sous prétexte de "traditions".
Mais, chers amis, la tradition dans les amphithéâtres romains ce n'était pas les corridas! Oh que non!
Il y avait ces fantastiques combats de gladiateurs! Avec leurs habits de lutteurs et leur armes luisantes de sang humain au soleil, ça avait de la gueule ça, messieurs.
Ah! c'était autre chose que de s'habiller avec des bas roses et des panties à pompons.. Puis, un coup sur deux: couic! Puigdemont dans sa toge rose baissait le pouce vers le sol et la gorge était tranchée (art terre).
Et surtout, la tradition que je regrette c'est les chrétiens aux lions, ça c'était du spectacle! Cruel? Comment ça cruel! Mais il ne faut pas croire ces légendes qui prétendent que les chrétiens se faisaient boulotter par les lions.
La preuve? Il reste beaucoup plus de chrétiens que de lions. Non! Non! C'était l'inverse!
Et j'en apporte la preuve, on dit encore de nos jours "bouffer du lion".
Si les chrétiens mourraient c'était de trop en bouffer justement, d'ou l'expression "étouffe chrétien" qui confirme mes dire.
Non, même si certains chrétiens se faisaient manger, c'était le paradis assuré, pas l'exil vers Bruxelles quand même…
Karakamanière
J'en connais qui défendent la corrida sous prétexte de "traditions".
Mais, chers amis, la tradition dans les amphithéâtres romains ce n'était pas les corridas! Oh que non!
Il y avait ces fantastiques combats de gladiateurs! Avec leurs habits de lutteurs et leur armes luisantes de sang humain au soleil, ça avait de la gueule ça, messieurs.
Ah! c'était autre chose que de s'habiller avec des bas roses et des panties à pompons.. Puis, un coup sur deux: couic! Puigdemont dans sa toge rose baissait le pouce vers le sol et la gorge était tranchée (art terre).
Et surtout, la tradition que je regrette c'est les chrétiens aux lions, ça c'était du spectacle! Cruel? Comment ça cruel! Mais il ne faut pas croire ces légendes qui prétendent que les chrétiens se faisaient boulotter par les lions.
La preuve? Il reste beaucoup plus de chrétiens que de lions. Non! Non! C'était l'inverse!
Et j'en apporte la preuve, on dit encore de nos jours "bouffer du lion".
Si les chrétiens mourraient c'était de trop en bouffer justement, d'ou l'expression "étouffe chrétien" qui confirme mes dire.
Non, même si certains chrétiens se faisaient manger, c'était le paradis assuré, pas l'exil vers Bruxelles quand même…
g2loq- Co-administrateur
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Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Enfin ! On va pouvoir aimer sa Goldwing à en perdre la tête !
L'anastomose cephalosomatique vient au secours...
Par Elena Sender le 20.11.2017 à 18h38
"Nous avons réalisé la première transplantation de tête humaine"
L’équipe de Xiaoping Ren et Sergio Canavero a réalisé en Chine une transplantation de tête d’un donneur sur le corps d’un receveur, tous deux décédés. Une sorte de répétition générale avant de tenter l’intervention avec un patient receveur vivant.
Le neurochirurgien italien Sergio Canavero annonce la première greffe tête/corps humaine postmortem.
A. DI MARCO/AP/SIPA
"La première greffe de tête humaine a été réalisée", a triomphé le neurochirurgien italien Sergio Canavero, lors d'une conférence de presse à Vienne le 17 novembre. "La chirurgie a duré 18 heures. Tout le monde disait que c'était impossible mais cela a été un succès". L'équipe menée par le professeur chinois Xiaoping Ren de Harbin Medical University (Chine) va publier l'étude dans Surgical neurology international que Sciences et Avenir s'est procuré. La publication détaille l'opération qui a consisté à transplanter, pour la première fois au monde, le corps d'un donneur (décédé) sous la tête d'un receveur, décédé également. Car cette opération baptisée chirurgicalement anastomose cephalosomatique (ACS) a été mise en oeuvre sur deux cadavres.
Une sorte de répétition générale...
L’objectif ? Une sorte de répétition générale avant de tenter l’intervention avec un patient receveur vivant. "L’ACS est considérée comme la seule option thérapeutique pour un certain groupe de maladies neuromusculaires (comme la maladie de Duchenne ou la sclérose latérale amyotrophique, Ndlr) qui jusqu’à présent sont incurables par d’autres moyens", affirment les auteurs en introduction.
Selon eux, la connexion de la tête du malade à un nouveau corps, fonctionnel, pourrait leur offrir une chance supplémentaire. En effet, des patients comme Valery Spiridonov souffrant de la maladie de Werdnig-Hoffman, proche de la maladie de Charcot, se disent prêts à être volontaire. "Depuis trop longtemps, la nature nous a dicté ses règles, argumente le truculent Sergio Canavero. Nous sommes entrés dans un âge où nous pouvons prendre notre destin en main.Ça va tout changer".
Pour rappel l’idée de greffe de tête, ou plutôt de greffe de corps, est née en 1970 lorsque le neurochirurgien américain Robert White de la Case Western Reserve University (Cleveland, Ohio) a tenté l’intervention chez le singe Rhésus, qui a survécu 36 heures, dont trois éveillées. L’animal ayant les sens (ouïe, odorat, vision, goût) intacts mais restant paralysé, la moelle épinière ne s’étant pas reconnectée. "Aujourd’hui nous avons les techniques pour accomplir cette reconnexion", assure Sergio Canavero qui travaille depuis plusieurs années à mettre au point un protocole nommé Heaven (head anastomosis venture) / AHBR (allogenic head body reconstruction), dont il a eu l'initiative alors qu'il était neurochirurgien à l’hôpital de Turin (Italie). Heaven comprenant notamment, deux points cruciaux, le protocole de reconnexion de la moelle épinière, baptisé GEMINI et la conservation de la tête pendant l’opération, qu’il a testée chez le singe, consistant en une hypothermie couplée à une circulation sanguine croisée via des canules permettant au cerveau de rester alimenté en oxygène.
Un véritable travail d'orfèvre pour tout reconnecter
Après avoir réalisé cette procédure sur des modèles animaux, Canavero, associé à l'équipe chinoise de Ren, s’essaie donc à présent sur l’humain. Ainsi, selon la publication, deux équipes de cinq chirurgiens ont réalisé simultanément deux décapitations sur deux hommes de même gabarit "qui ont fait don de leur corps à la recherche, et dont les familles ont signé un consentement" approuvé par le bureau Human Research Ethics de l’Université médicale Harbin.
Puis, la tête de l'un (receveur) a été reconnectée au corps de l'autre (donneur). Un véritable travail d’orfèvre fait d’anastomoses - sutures - des vaisseaux et des nerfs. Certains nerfs comme les nerfs phréniques qui innervent le diaphragme venaient du donneur. D’autres, comme le nerf vague qui part du cerveau du receveur, ont dû être rabouté à celui du corps pour innerver les organes. Les vaisseaux sanguins aussi ont été reconnectés un à un. Les auteurs précisant que la procédure sur un corps vivant (qui saigne) serait plus longue. L’autre grand écueil de l’intervention était d’assurer la stabilité de la tête une fois reconnectée pour "assurer une fusion de la moëlle épinière réussie". En fin d’opération une orthèse cervicothoracique a été mise en place.
S’agissant de cadavres (qui ne saignent pas), il est difficile de juger vraiment du résultat!
L’opération a duré 18 heures en tout de la première incision au dernier point de suture. Un succès ? Impossible à dire sur des patients décédés. "La description sur cadavre n’a rien d’exceptionnel. Technologiquement c’est faisable", commente en effet Jocelyne Bloch, professeure de neurochirurgie au Centre Hospitalier universitaire de Lausanne, spécialiste des nouvelles techniques chirurgicales. "Les deux points, stabiliser la tête (par fixation standard de la colonne) et vasculariser tous les territoires du cerveau en continu sont en effet indispensables. Les techniques d’anastomoses des vaisseaux réalisées sont assez ingénieuses". Elle souligne néanmoins que ne s’agissant que de cadavres (qui ne saignent pas) il est difficile de juger vraiment du résultat.
"Si d’un point de vue technique chirurgicale c’est un défi - car il faut garder le cerveau vascularisé pendant toute l’opération - je pense qu'il pourrait être relevé, poursuit la neurochirurgienne. En revanche d’un point de vue éthique, cela n’a aucun sens. On crée là un tétraplégique complet (car pour l'heure la fusion de la moëlle épinière n'a pas été prouvée) et qui devra être toute sa vie sous traitement immunosuppresseur pour éviter le rejet (de la tête)….A quoi cela rime ?"
Lors des étapes précédentes, déjà le comité d’éthique de l'Association Européenne des sociétés de neurochirurgie EANS avait réagi. "Or, dans l’état actuel des choses, cette procédure n’améliorera pas la santé du patient car il est peu probable qu’il retrouve une fonction neurologique, ni même qu’il survive… Par ailleurs, pensez aux organes du potentiel donneur de la transplantation corporelle, qui pourraient être plus utiles à beaucoup de patients (au lieu d'un) en attente de greffes", déclarait Marike Broekman, neurochirurgienne de l'association. Sans parler des questions juridiques.
Aujourd'hui les réactions des spécialistes fusent. "À moins que Canavero ou Ren ne fournissent une preuve réelle qu'ils peuvent effectuer une greffe du corps entier, ou plus adéquatement, sur un gros animal qui récupère une fonction suffisante pour améliorer la qualité de vie, tout ce projet est moralement mauvais", a ainsi également déclaré James Fildes, chercheur principal au Centre de Transplantation, de l'hôpital Universitaire de Manchester Sud, au journal britannique The Independent.
Répondant pied à pied aux critiques, l’équipe de Xiaoping Ren poursuit néanmoins son chemin en Chine. Selon leur évaluation une ACS entière pourrait donc être conduite en moins de 36 heures, anésthésie et hypothermie incluses. "Nous pensons que quatre équipes de quatre chirurgiens est le nombre minimum pour mener à bien l’opération", concluent les chercheurs. Quand ? Pas avant la prochaine étape. Elle consiste à effectuer un échange de tête complet entre des donneurs d'organes en mort cérébrale mais cœur battant.
g2loq- Co-administrateur
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L'Pop ou le Canadian Man n'auraient pas dit mieux !
L'Pop ou le Canadian Man n'auraient pas dit mieux !
Putain de nostalgie !
Évidemment, j’aurais dû te parler des conneries de Plenel, Imam de la Mosquée de Médiapart, qui prend sa moustache pour la barbe du Prophète et toute caricature de sa vaniteuse personne pour une trahison de la Divine Parole.
J’aurais également pu t’entretenir des intellos en peau de lapin et des humoristes à la mie de pain qui renvoient dos à dos la rédaction de Charlie, menacée de mort, et celle de Médiapart, menacée dans son orgueil et qui pensent ainsi être au-dessus de la mêlée alors qu’ils sont simplement en dessous de tout.
Il aurait été malin de te causer du montage antisémite que cette vieille chose flasque de Filoche a piqué à cet étron gluant de Soral et qui a entraîné de la part de l’ancien inspecteur du travail, non pas une excuse par c’était antisémite mais un vague borborygme parce que c’était pris au mauvais endroit.
Ca aurait été malin de te raconter comment Jupiter Macron réinvente la Démocratie participative en étant le seul participant au choix du nouveau chef des Enmarchistes.
Tu aurais peut-être voulu savoir comment, à chaque jour qui passe, Wauquiez arrive à mener le pédalo de Les Républicains encore plus à Droite, quitte à attaquer la falaise.
La logique géopolitique exigerait que je te cause de la tarte dans la tronche que vient de se prendre notre cousine Germaine, Tata Angela qui n’a plus de majorité et qui est dans la Gross Scheisse, ce qui risque de nous y entraîner, qu’est-ce qu’on se poile…
Et aussi du psychopathe de Pyongyang versus le sociopathe de Washington, des Saoudiens qui veulent casser la gueule des Iraniens mais au Liban pendant que le Hezbollah continue ses massacres en Syrie, et je ne te raconte même pas les derniers rapports catastrophiques sur les camps de migrants en Libye et le réchauffement climatique qui a passé la 4è, histoire de nous arriver plus vite que prévu sur le coin de la tronche.
Bref, y avait de quoi faire et je ne doute pas que mes petits camarades scribouillards ou crobardeurs du Coq vont se faire un devoir de t’informer de tout ça. Seulement, moi qui te cause, j’ai eu 16 piges en 1980. Et quand tu as eu fini tes crises d’acné au début des Eighties, soit tu écoutais du Abba et Celebration de Kool and The Gang, soit tu pogotais sur Clash et tu te déchirais les oreilles avec Touch too much, sur le Highway to hell, le dernier où Bon Scott faisait encore sauter la jeunesse avant de claquer comme un con à même pas 34 ans, et You shook me all night long, poussé à mort dans les aigus par un Brian Johnson au sommet de son art. Soit tu écoutais du Dick Rivers et du Daniel Guichard, mais alors, moi, je ne te causais pas, faudrait quand même pas déconner, non plus.
Alors franchement, le lendemain de la mort de Malcolm Young, co-fondateur avec son frère de 16 ans, Angus, d’AC/DC et guitariste rythmique de génie, j’ai pas bien envie de te raconter le marigot politique et de te dire ce que je pense de ceci ou cela, de toute façon, ça n’y changera rien.
Tu vois, ma jeunesse est morte un soir d’octobre 1980, le 29, pour être précis, quand Brassens a cassé sa pipe au lieu de la fumer. J’aime toujours Brassens, Tonton Georges, y a pas mieux pour trousser un texte qui te met sur le cul avec une musique tellement plus complexe que ce que les cons imaginent. Mais question riff, honnêtement, tu repasseras.
Un autre soir, en 2002, assis dans un restau avec une demoiselle que j’avais fermement l’intention de pousser à des extrémités que la morale réprouve et Marc Dorcel filme, cette conne m’a pourri la soirée, niqué la libido et fait saigner mon adolescence en m’annonçant, comme si de rien n’était, la mort de Joe Strummer.
Et depuis, fini Joey Ramones, ciao Lemmy Kilminster, bye-bye Bowie, et maintenant, c’est Malcolm Young qui défuncte. Brian Johnson est devenu sourd, Phil Rudd s’est barré, Cliff Williams se consacre à la pêche, reste ce pauvre vieil ado d’Angus, mais qui n’est plus que la caricature de lui-même.
Et si c’est pour voir Axl Rose se dandiner en poussant des glapissements de teckel castré, merci, mais moi, j’arrête AC/DC. Putain, que c’est loin, ma jeunesse !
Mais où sont les neiges d’antan, bordel ?
par Naqdimon Weil
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Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Docteur
Tout ce qui est écrit plus haut : C'est de toi ????
Alors la CHAPEAU
Tout ce qui est écrit plus haut : C'est de toi ????
Alors la CHAPEAU
Invité- Invité
Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Meueuh nan, camarade !
C'est Naqdimon Weil Tel qu'il est dit dans sa signature / lien tout en bas de page
g2loq- Co-administrateur
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Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Tain!, je me disais quel CUL ture ce Docteur,
Bon t'es pas mal quand même !!
A+
Bon t'es pas mal quand même !!
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Invité- Invité
Re: Billets d'humeur / Billets d'humour
Merci.
Mais tu vois, en plus, 16 ans en 1980 :C'est pas ma génération -malheureusement !
Mais tu vois, en plus, 16 ans en 1980 :C'est pas ma génération -malheureusement !
g2loq- Co-administrateur
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