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CIRCUIT DE REFROIDISSEMENT - PARTIE 1/2 - Canalisations – thermostat – sonde – thermo contact ...
4 participants
Page 1 sur 1
CIRCUIT DE REFROIDISSEMENT - PARTIE 1/2 - Canalisations – thermostat – sonde – thermo contact ...
Hello, every body, tout le monde
Bonjour,
Il s’agit du dernier épisode concernant le démontage du circuit de refroidissement de la GL1100.
(Vu la longueur et le nombre de photos, j'ai été obligé de le traiter en 2 parties.)
Laissez-moi vous présenter cet épisode d’une façon un peu... particulière...
N’HESITEZ PAS A MONTER LE SON !!!
Revenons sur terre pour y voir maintenant les canalisations supérieures.
Celles ci permettent au liquide de refroidissement sortant des culasses, chaud et fatigué, d’aller rejoindre le radiateur afin d’y être rafraîchi et de prendre un juste repos... A peine se pose-t-il, qu’il est à nouveau happé par la pompe à eau et réinjecté dans les culasses...
Il y a deux culasses. Nous avons 2 coudes de sortie, reliés à 2 canalisations, qui dirigent le liquide vers le boitier central de thermostat.
Ledit boitier contient, outre le thermostat, une sonde de température. Son couvercle contient un thermo contact.
Le rôle du thermostat est d’interdire le passage du liquide de refroidissement, tant qu’il n’atteint pas une certaine température. Le refroidissement ne devient opérant que lorsque le moteur est chaud.
La sonde de température n’est autre qu’une résistance CTN (coefficient de température négatif), c’est à dire que sa résistance diminue lorsque la température augmente. Le courant traversant cette résistance CTN alimente le galvanomètre du tableau de bord qui indique la température.
Quant au thermo contact, ce gredin ne trouve rien de mieux à faire que de se mettre en court circuit lorsque la température atteint un certain seuil. Comme il est en série avec l’alimentation du ventilateur de radiateur, lorsque la température atteint ce seuil, le ventilateur se met à tourner...
Elle est pas belle la vie ???
Pour démonter les canalisations, il faut démonter les coudes, une simple clef à pipe de 10 devrait suffire... je dis bien « devrait » car en mécanique, il y a toujours quelques choses qui coince, qui bloque, qui casse... en un mot, qui merde...
Donc là, ce sont les coudes qui restent collés aux culasses.
C’est mal me connaître...
Je me munis d’un levier avec lequel, si j’avais un point d’appui, je pourrais soulever le monde... (Sacré Archimède... C’est pas le dernier pour la déconne...)
Comme je n’ai pas l’intention de soulever le monde, mais juste les coudes... j’y arrive assez facilement... disons à 7 sur une échelle des difficultés de 1 à 10... On dira 6.5 parce que c’est vous... Pas la peine d’espérer mieux... Bon 6, mais à charge de revanche...
Les coudes enlevés, les canalisations viennent toutes seules.
Je peux observer la présence d’une sorte de tartre, au niveau des joints des tubes de canalisation.
Lors des démontages, certains joints sont secs de chez sec. Je me demande même pourquoi ça ne fuyait pas plus que ça lors des essais...
On voit bien que de la pâte avait été ajoutée au joint de couvercle, là où une vis s’est cassée... Il n’y a pas de hasard...
Je démonte ensuite le couvercle de thermostat, dans lequel je remarque la présence d’une sorte de boue blanchâtre.
Pas de mauvaise surprise, Le thermostat est bien là... Il m’attend patiemment.
Il y a sur le thermostat une sorte de petit trou, avec un petit « pipion » qui bouge dans le trou.
On dirait que ce petit trou sert à ce que la fermeture du thermostat ne soit pas entièrement étanche. Le petit « pipion » bouche plus ou moins le trou, on ne sait pas ce qu’Honda a voulu faire...
Mais ça doit servir à quelque chose...
En mon fort intérieur, je me dis que ce trou avec « pipion » doit servir à équilibrer les pressions au sein du circuit de refroidissement.
Mais, je n’en suis pas sûr.
Je démonte le boitier de thermostat, en prenant garde à la douille et son joint.
Je démonte la sonde de température.
Ainsi que le thermo contact. Le cache caoutchouc du thermo contact se tire vers l’arrière, il faut forcer un peu...
NB : Contrairement à la pompe à eau, je n’ai pas trouvé de kit pour l’ensemble des joints des canalisations supérieures. J’ai donc commandé chaque joint par sa référence.
Je conserve précieusement l’ensemble des pièces ; thermostat, sonde et thermo contact...
pour un traitement ultérieur... très prochain...
Le village est endormi sous l’épaisse obscurité d’une nuit sans lune...
Un silence de plomb écrase chaque habitation.
Les honnêtes gens sont endormis, d’un sommeil juste et réparateur, enfouis dans la quiétude d’un bourg serein.
Pourtant...
Nuitamment...
Une silhouette noire et inquiétante, se meut autour d’une des maisons.
Son ombre glisse sur les murs, et s’insinue dans les plus étroits entrebâillements. Elle avance, silencieuse, insidieuse et reptilienne.
La porte d’entrée s’entre-ouvre à peine et, le temps d’un éclair, l’ombre est déjà dans la maison endormie. Aucun bruit n’a trahi cette intrusion nocturne.
La silhouette se dirige vers la cuisine de céans.
Le chat, « Baicile » (*) ne semble pas effrayé par cette présence. Il la regarde d’un œil éteint... Cependant il veille.
La silhouette craque une allumette.
Serait ce un pyromane ? Un cambrioleur ? Un mangeur d’enfant ? ... Ou pire encore...
La lumière de la flamme éclaire le visage émacié du visiteur nocturne.
Cet éclairage donne un air démoniaque et effrayant au faciès de l’intrus, ces yeux rougeoient devant la danse de la petite flamme. C’est le diable en personne.
Il se soulage de quelques objets contondants sur la table de la cuisine. Son ombre chatoie dans la pièce.
Le chat quitte furtivement la cuisine, comme s’il avait été dérangé. Il file vers l’étage où se trouvent les chambres. Il sait que cette présence est une menace. Son miaulement réveille la maîtresse des lieux.
Alarmée par des bruits inhabituels, la maîtresse de maison se dirige doucement vers la cuisine pour y surprendre le malfaiteur.
Sur le pas de porte de la cuisine, elle glisse une main furtive jusqu’à l’interrupteur... elle allume la lumière de la cuisine et...
Découvrant l’individu, son hurlement d’horreur retentit dans la maison...
Le cri déchirant, se répand dans tout le village...
Les maisons les plus proches s’éclairent. Quelques têtes passent aux fenêtres... Quel animal avait pu pousser un tel hurlement d’effroi ???
...Quelques minutes plus tard, le village retombait dans sa torpeur.
L’intrus n’était autre que votre serviteur (moi même, en l’occurrence...).
J’avais beau expliquer à mon épouse que je ne voulais que tester certaines pièces de ma moto... à l’aide de la gazinière et des casseroles... et que, pour ne pas l’inquiéter sur le devenir des ustensiles, j’avais décidé de faire ces tests nuitamment, durant son sommeil...
Celle ci ne l’entendait pas de cette oreille...
D’ailleurs, elle ne le voyait pas non plus de cet œil...
Peut-on dire qu’elle ne le touchait pas de ce doigt ? Qu’elle ne le sentait pas de ce nez ?
En tout cas, elle ne le goûtait pas de cette langue...
(*) mon chat ne s’appelle pas « Baicile ». Cependant, j’ai trouvé amusant de l’appeler ainsi le temps de ce post. Car le chat est un félin... et félin « Baicile ».
Après de longues et âpres négociations, j’ai pu poursuivre mes expériences dans la cuisine...
Je suis obligé d'interrompre momentanément ce post, vu sa longueur et le nombre de photos, il faut que je le traite en 2 parties.
Pey
Bonjour,
Il s’agit du dernier épisode concernant le démontage du circuit de refroidissement de la GL1100.
(Vu la longueur et le nombre de photos, j'ai été obligé de le traiter en 2 parties.)
Laissez-moi vous présenter cet épisode d’une façon un peu... particulière...
N’HESITEZ PAS A MONTER LE SON !!!
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Revenons sur terre pour y voir maintenant les canalisations supérieures.
Celles ci permettent au liquide de refroidissement sortant des culasses, chaud et fatigué, d’aller rejoindre le radiateur afin d’y être rafraîchi et de prendre un juste repos... A peine se pose-t-il, qu’il est à nouveau happé par la pompe à eau et réinjecté dans les culasses...
Il y a deux culasses. Nous avons 2 coudes de sortie, reliés à 2 canalisations, qui dirigent le liquide vers le boitier central de thermostat.
Ledit boitier contient, outre le thermostat, une sonde de température. Son couvercle contient un thermo contact.
Le rôle du thermostat est d’interdire le passage du liquide de refroidissement, tant qu’il n’atteint pas une certaine température. Le refroidissement ne devient opérant que lorsque le moteur est chaud.
La sonde de température n’est autre qu’une résistance CTN (coefficient de température négatif), c’est à dire que sa résistance diminue lorsque la température augmente. Le courant traversant cette résistance CTN alimente le galvanomètre du tableau de bord qui indique la température.
Quant au thermo contact, ce gredin ne trouve rien de mieux à faire que de se mettre en court circuit lorsque la température atteint un certain seuil. Comme il est en série avec l’alimentation du ventilateur de radiateur, lorsque la température atteint ce seuil, le ventilateur se met à tourner...
Elle est pas belle la vie ???
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Pour démonter les canalisations, il faut démonter les coudes, une simple clef à pipe de 10 devrait suffire... je dis bien « devrait » car en mécanique, il y a toujours quelques choses qui coince, qui bloque, qui casse... en un mot, qui merde...
Donc là, ce sont les coudes qui restent collés aux culasses.
C’est mal me connaître...
Je me munis d’un levier avec lequel, si j’avais un point d’appui, je pourrais soulever le monde... (Sacré Archimède... C’est pas le dernier pour la déconne...)
Comme je n’ai pas l’intention de soulever le monde, mais juste les coudes... j’y arrive assez facilement... disons à 7 sur une échelle des difficultés de 1 à 10... On dira 6.5 parce que c’est vous... Pas la peine d’espérer mieux... Bon 6, mais à charge de revanche...
Les coudes enlevés, les canalisations viennent toutes seules.
Je peux observer la présence d’une sorte de tartre, au niveau des joints des tubes de canalisation.
Lors des démontages, certains joints sont secs de chez sec. Je me demande même pourquoi ça ne fuyait pas plus que ça lors des essais...
On voit bien que de la pâte avait été ajoutée au joint de couvercle, là où une vis s’est cassée... Il n’y a pas de hasard...
Je démonte ensuite le couvercle de thermostat, dans lequel je remarque la présence d’une sorte de boue blanchâtre.
Pas de mauvaise surprise, Le thermostat est bien là... Il m’attend patiemment.
Il y a sur le thermostat une sorte de petit trou, avec un petit « pipion » qui bouge dans le trou.
On dirait que ce petit trou sert à ce que la fermeture du thermostat ne soit pas entièrement étanche. Le petit « pipion » bouche plus ou moins le trou, on ne sait pas ce qu’Honda a voulu faire...
Mais ça doit servir à quelque chose...
En mon fort intérieur, je me dis que ce trou avec « pipion » doit servir à équilibrer les pressions au sein du circuit de refroidissement.
Mais, je n’en suis pas sûr.
Je démonte le boitier de thermostat, en prenant garde à la douille et son joint.
Je démonte la sonde de température.
Ainsi que le thermo contact. Le cache caoutchouc du thermo contact se tire vers l’arrière, il faut forcer un peu...
NB : Contrairement à la pompe à eau, je n’ai pas trouvé de kit pour l’ensemble des joints des canalisations supérieures. J’ai donc commandé chaque joint par sa référence.
Je conserve précieusement l’ensemble des pièces ; thermostat, sonde et thermo contact...
pour un traitement ultérieur... très prochain...
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Le village est endormi sous l’épaisse obscurité d’une nuit sans lune...
Un silence de plomb écrase chaque habitation.
Les honnêtes gens sont endormis, d’un sommeil juste et réparateur, enfouis dans la quiétude d’un bourg serein.
Pourtant...
Nuitamment...
Une silhouette noire et inquiétante, se meut autour d’une des maisons.
Son ombre glisse sur les murs, et s’insinue dans les plus étroits entrebâillements. Elle avance, silencieuse, insidieuse et reptilienne.
La porte d’entrée s’entre-ouvre à peine et, le temps d’un éclair, l’ombre est déjà dans la maison endormie. Aucun bruit n’a trahi cette intrusion nocturne.
La silhouette se dirige vers la cuisine de céans.
Le chat, « Baicile » (*) ne semble pas effrayé par cette présence. Il la regarde d’un œil éteint... Cependant il veille.
La silhouette craque une allumette.
Serait ce un pyromane ? Un cambrioleur ? Un mangeur d’enfant ? ... Ou pire encore...
La lumière de la flamme éclaire le visage émacié du visiteur nocturne.
Cet éclairage donne un air démoniaque et effrayant au faciès de l’intrus, ces yeux rougeoient devant la danse de la petite flamme. C’est le diable en personne.
Il se soulage de quelques objets contondants sur la table de la cuisine. Son ombre chatoie dans la pièce.
Le chat quitte furtivement la cuisine, comme s’il avait été dérangé. Il file vers l’étage où se trouvent les chambres. Il sait que cette présence est une menace. Son miaulement réveille la maîtresse des lieux.
Alarmée par des bruits inhabituels, la maîtresse de maison se dirige doucement vers la cuisine pour y surprendre le malfaiteur.
Sur le pas de porte de la cuisine, elle glisse une main furtive jusqu’à l’interrupteur... elle allume la lumière de la cuisine et...
Découvrant l’individu, son hurlement d’horreur retentit dans la maison...
Le cri déchirant, se répand dans tout le village...
Les maisons les plus proches s’éclairent. Quelques têtes passent aux fenêtres... Quel animal avait pu pousser un tel hurlement d’effroi ???
...Quelques minutes plus tard, le village retombait dans sa torpeur.
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L’intrus n’était autre que votre serviteur (moi même, en l’occurrence...).
J’avais beau expliquer à mon épouse que je ne voulais que tester certaines pièces de ma moto... à l’aide de la gazinière et des casseroles... et que, pour ne pas l’inquiéter sur le devenir des ustensiles, j’avais décidé de faire ces tests nuitamment, durant son sommeil...
Celle ci ne l’entendait pas de cette oreille...
D’ailleurs, elle ne le voyait pas non plus de cet œil...
Peut-on dire qu’elle ne le touchait pas de ce doigt ? Qu’elle ne le sentait pas de ce nez ?
En tout cas, elle ne le goûtait pas de cette langue...
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(*) mon chat ne s’appelle pas « Baicile ». Cependant, j’ai trouvé amusant de l’appeler ainsi le temps de ce post. Car le chat est un félin... et félin « Baicile ».
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Après de longues et âpres négociations, j’ai pu poursuivre mes expériences dans la cuisine...
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Je suis obligé d'interrompre momentanément ce post, vu sa longueur et le nombre de photos, il faut que je le traite en 2 parties.
Pey
Invité- Invité
g2loq- Co-administrateur
- Messages : 22938
Date d'inscription : 29/04/2013
Age : 70
Re: CIRCUIT DE REFROIDISSEMENT - PARTIE 1/2 - Canalisations – thermostat – sonde – thermo contact ...
moi je sais à quoi il sert ce trou avec le "pipion" que tu retrouves sur tous les calorstats de tout les vehicules! mais comme je ne sais point ecrire comme touai je vais reflechir comment j'te la sert!
v
Maxime
Maxrunner31- Membre incontournable !
- Messages : 1728
Date d'inscription : 13/04/2016
Age : 61
Re: CIRCUIT DE REFROIDISSEMENT - PARTIE 1/2 - Canalisations – thermostat – sonde – thermo contact ...
Laurent,
trop forts tes reportages mécaniques et maintenant la vidéo Star Wars
trop forts tes reportages mécaniques et maintenant la vidéo Star Wars
_________________
Santé, prospérité et jouissance éternelles!
xav49- Membre incontournable !
- Messages : 2680
Date d'inscription : 26/08/2013
Age : 63
le rôle du "pipion"
Hello, every body, tout le monde
bonjour à vous.
Et bonne année.
Je remercie l'internaute (restons discrets...) qui a répondu au présent post et qui,
pour la modique somme de 50 Euros, m'a fourni la réponse tant attendue... (1) et (*)
Le rôle joué par le "pipion" du thermostat de ma pauvre GL1100 , voire de tous les thermostats du monde... Et si toutefois, les aéronefs intra ou extra terrestres en étaient munis, le trou avec "pipion" aurait la même fonction...
En effet, ce trou avec "pipion" doit être placé vers le haut quand vous replacez le thermostat... (la photo de mon post le montrait en effet dans cette position).
En fait, c'est fait pour évacuer l'air du circuit de refroidissement. En général, l'air étant au dessus du liquide, il est préférable que le trou avec "pipion" soit vers le haut. Pour la GL1100, il n'y a plus de doute possible... Une seule solution s'offre à vous.
(1) : Je tiens à préciser à cet internaute anonyme a été payé en billets de 12.50 Euros... 4 billets de 12.50 EUROS qui seront difficiles à écouler.
(*) : Sur cette réponse, comme sur mes posts, je vous fait confiance pour prendre au sérieux ce qui doit l'être... Mes errements ne sont destinés qu'à essayer de vous amuser... Et m'amuser aussi...
Pey
bonjour à vous.
Et bonne année.
Je remercie l'internaute (restons discrets...) qui a répondu au présent post et qui,
pour la modique somme de 50 Euros, m'a fourni la réponse tant attendue... (1) et (*)
Le rôle joué par le "pipion" du thermostat de ma pauvre GL1100 , voire de tous les thermostats du monde... Et si toutefois, les aéronefs intra ou extra terrestres en étaient munis, le trou avec "pipion" aurait la même fonction...
En effet, ce trou avec "pipion" doit être placé vers le haut quand vous replacez le thermostat... (la photo de mon post le montrait en effet dans cette position).
En fait, c'est fait pour évacuer l'air du circuit de refroidissement. En général, l'air étant au dessus du liquide, il est préférable que le trou avec "pipion" soit vers le haut. Pour la GL1100, il n'y a plus de doute possible... Une seule solution s'offre à vous.
(1) : Je tiens à préciser à cet internaute anonyme a été payé en billets de 12.50 Euros... 4 billets de 12.50 EUROS qui seront difficiles à écouler.
(*) : Sur cette réponse, comme sur mes posts, je vous fait confiance pour prendre au sérieux ce qui doit l'être... Mes errements ne sont destinés qu'à essayer de vous amuser... Et m'amuser aussi...
Pey
Invité- Invité
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